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grèves

  • La France malade du socialisme

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Le mouvement enclenché en France contre la réforme des retraites est tout à la fois grotesque et consternant.

    Il est grotesque parce que la France apparaît une fois de plus pour ce qu’elle est : un pays où les grèves, les manifestations accompagnées parfois d’émeutes, font partie d’une sorte de folklore local qui n’existe, sous cette forme et à ce degré, dans aucun autre pays développé de la planète.

    Le réceptionniste d’un hôtel, où j’ai résidé lors d’un bref séjour en France au mois de novembre dernier et à qui je disais que je ne pouvais pas passer quelques jours en France sans être confronté à une grève, m’avait répondu que grèves et manifestations font partie des traditions françaises.

    Sa remarque m’avait fait sourire à l’époque et j’avais pensé qu’il avait raison.

    J’ai écrit dans un article, il y a quelques années, qu’il y avait en France deux saisons, celle allant de septembre au mois de juin de l’année suivante, la saison des grèves, et les mois de juillet et août, au cours desquels les grévistes se reposent ou partent en vacances pour reprendre des forces en vue des prochaines grèves – et la description à laquelle j’avais ainsi procédé me semble toujours pertinente.

    Le mouvement contre la réforme des retraites me paraît grotesque, oui.

    Il me paraît consternant aussi, parce qu’il repose (ce qui est très souvent le cas lorsqu’il y a des grèves en France) sur une ignorance de l’économie très répandue au sein de la population et au sein de la gauche politique. Et ce doit être dit et répété : le système de retraites français est en situation de faillite et ne peut pas être sauvé.

    La réforme que propose le gouvernement peut être comparée au célèbre emplâtre sur une jambe de bois, ou à un rafistolage très provisoire et vain.

    Le fondement du système est, je l’ai déjà dit, et je dois le répéter, ce qui s’appelle la répartition, mais il ne répartit pas : il prend aux uns pour donner aux autres, il distribue.

    C’est un système de redistribution qui ne dit pas son nom, et ce système relève de l’escroquerie. Il dit aux salariés qu’on prélève sur leurs salaires une cotisation pour leur propre retraite. En réalité, l’argent qu’on leur prend sert à payer les pensions des gens qui sont déjà à la retraite. Et les salariés en activité sont censés compter sur les salariés que seront en activité lorsqu’eux-mêmes partiront à la retraite.

    Il reste aux salariés en activité à espérer qu’il y aura encore assez de salariés à ce moment pour cela, et que les salaires de ces salariés seront suffisamment élevés pour que la retraite versée reste assez proche des chiffres qu’on leur annonce.

    La réalité est que ce n’est pas sûr et qu’il n’y aura probablement pas assez de salariés.

    Quand le système a été créé, il y avait environ 5 salariés pour un retraité. Il reste aujourd’hui 1,7 salarié pour un retraité. D’ici à 2035, il restera 1,5 salarié pour un retraité. Un calcul mathématique simple permet de comprendre que le poids du retraité sur les salariés est écrasant et que ce qui est prélevé sur les salaires aujourd’hui n’est pas du tout suffisant pour payer les retraites.

    Des artifices comptables permettent de maquiller les chiffres et de dissimuler la réalité qui est celle d’un puits sans fonds où la richesse qui subsiste dans le pays va continuer à s’engloutir.

    Quand je travaillais en France, il y a un quart de siècle, dans des cercles libéraux, on parlait d’un retour indispensable et urgent à un système de capitalisation, et on constatait aussi que proposer ce retour était politiquement impensable en France.

    Aujourd’hui, cela reste impensable, et il est de toute façon trop tard. Les grévistes ne pourront pas obtenir satisfaction, car les caisses sont plus que vides, et les déficits se creusent.

    Les dirigeants politiques qui disent le contraire pratiquent l’analphabétisme économique cynique et volontaire pour garder leurs électeurs.

    Le gouvernement français est dans une impasse. L’avenir de la France est sombre et désespérant. Je l’écris avec une infinie tristesse. Il y a longtemps que la France est malade du socialisme, et la maladie socialiste qui frappe la France a de nombreuses autres dimensions. Je crains fort que la maladie soit mortelle. J’éprouve de la pitié pour les pauvres Français qui vont devenir plus pauvres.

     

    Auteur

  • Préavis de grèves dans les transports dès le 1er juillet.

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2021

    Préavis de grèves dans les transports dès le 1er juillet. Journées d'action pendant tout le mois aussi bien chez Air France qu'à la SNCF.
    Un fléau chasse l'autre. Le COVID s'estompe un peu. Les syndicats politisés se réactivent au moment où nos compatriotes préparent leurs vacances.
    Ni vaccin, ni gestes-barrières, ni distanciation sociale contre le virus rouge qui, régulièrement, prend les Français en otages, bloque leurs déplacements, perturbe la vie publique, saboté l'économie et condamne le Pays à des journées entières de confinement punitif.
    JFT.
    Peut être une image de 1 personne, position debout, plein air et foule
     
     
     
     
     
     
     
  • Agacé par les grèves, un restaurateur propose aux cheminots un « stage de pénibilité »

    Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2020

     

    Une perte de 20.000 euros de chiffres d’affaires, des salariés contraints de dormir sur place et des dizaines de réservations annulées… Confronté à de graves difficultés financières et d’organisation depuis le début des grèves,  s’est pourtant fendu d’une annonce plutôt cocasse, mercredi dernier, en proposant « un stage rémunéré de sensibilisation à la pénibilité » aux cheminots grévistes.

    « La pénibilité, c’est ce que vivent les artisans, infirmiers, policiers, pompiers et j’en passe… mais la pénibilité ne me dit pas que tu sais ce que c’est vraiment », écrit-il sur son compte Facebook. Sur un ton sarcastique, le patron de La Salle à manger (Boulogne-Billancourt) explique avoir déjà perdu 30 % de sa clientèle et propose, le lendemain, d’échanger son restaurant contre un poste à la RATP, dans une annoncé diffusée sur leboncoin.

    Sur TripAdvisor et Google, les réactions sont immédiates : « Déçue », « Fuyez », « La cantine de la RATP est bien meilleure et moins chère », écrivent des internautes, appelant au boycott de l’établissement. Malgré de nombreux messages de soutien, Mathias Danjou déclare également être victime de harcèlement et de propos diffamatoires. Samedi matin, le patron de La Salle à manger découvre ses pots de fleurs brisés.

    Une semaine plus tard, le restaurateur diffuse une photo de matelas entreposés dans son restaurant : « La salle à manger va bientôt devenir un hôtel… Attention, humour pour ceux qui n’auraient pas compris. On risque de me traiter d’escroc capable de faire payer les nuitées à mon staff… Bon, je ne mettrai pas l’annonce dans Le bon coin, cette fois car j’ai eu ma dose d’insultes. En réalité, voici les matelas de mon staff qui dort sur place. Chacun sa chauffeuse, chacun sa couleur (version Tonton David, pour les anciens). Vivement la fin du cauchemar… »

    Ce matin, malgré un carnet de réservations plus fourni, Mathias Danjou explique ne pas pouvoir assurer ses charges, qui s’élèvent à 50.000 € par mois. « Du jamais-vu en 10 ans d’exploitation », regrette-t-il. Le ton n’est plus à la légèreté. Il conclut en signant : « Le mauvais patron raciste et démago.

    Maud Protat-Koffler

    Journaliste en formation

    Source : bvoltaire

  • Grèves : cette énorme facture humaine qu’on ne veut pas voir

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2019

    Grèves : cette énorme facture humaine qu’on ne veut pas voir

    Et bien que les habitudes de ces mouvements de grève intempestifs soient maintenant ancrées dans la population, l’extension-surprise de ce mouvement-ci provoque son lot de petites adaptations intéressantes dans la façon dont les uns et les autres gèrent ces ♩ périodes amusantes ♪ ou l’entraide ♫, la débrouille ♬ et la bonne humeur ♪♪ permettent de surmonter les petits tracas ♩ du quotidien youpi youpi ❥❥.

    C’est ainsi qu’on voit apparaître des rames de train réservées aux personnes vulnérables, c’est-à-dire les handicapés, les personnes âgées et les femmes. Dans la France de 2020 (pour ainsi dire), voilà qui laisse quelque peu songeur à plusieurs titres, au-delà de la légitime interrogation sur le fait de considérer d’emblée que les femmes seraient vulnérables (tout le monde sait que, depuis #metoo et le féminisme de combat, oser penser qu’elles le seraient est coupable d’un tribunal, au moins médiatique).

    En effet, l’apparition de cette nouvelle ségrégation à la suite des grèves permet surtout de mettre en exergue que les grèves ne provoquent pas seulement des petits désagréments pour ceux qui voudraient se déplacer. À ces derniers, les grévistes et leurs sympathisants s’empressent généralement de répondre qu’après tout, ce mouvement permet de défendre aussi les acquis de ceux qui ne peuvent pas faire grève (mais bien sûr !) et qu’après tout, il existe plein d’alternatives viables pour se passer du train, m’voyez. Circulez (ou essayez), il n’y a rien à voir.

    Malheureusement, c’est un peu court : s’il y a des voitures de train maintenant réservées aux « personnes vulnérables », c’est précisément parce que la grève aggrave la situation de ces personnes. Et elles ne sont pas les seules à supporter un coût très important de ces mouvements sociaux de plus en plus arbitraires et de moins en moins justifiables.

    Surtout si l’on tient compte de la vraie facture de ces grèves, cette facture que les médias, les syndicats et les politiciens s’empressent de nous cacher et que pourtant tous les Français devront payer, parfois d’un coût exorbitant.

    Il m’est difficile de trouver les mots assez durs pour exprimer le mépris que je peux avoir de ces grévistes. Attention, je dis ça non parce qu’ils font la grève : confortablement installés dans leur petit nid douillet d’acquis sociaux et de privilèges moelleux payés par les autres, je comprends fort bien qu’ils se battent pour les conserver en l’état le plus longtemps possible. C’est humain…

    En revanche, qu’il leur soit permis de paralyser tout le pays est parfaitement odieux : c’est une insulte à ceux qui doivent travailler et n’ont justement pas ces privilèges ou la sûreté de l’emploi. C’est un camouflet à tous ceux qui payent leur abonnement, qui se comportement comme des citoyens modèles et n’ont jamais fraudé. C’est une injure crachée à la figure de ceux qui n’ont pas d’autres moyens de se déplacer que le train, généralement les plus pauvres, ceux qui par leur travail, leurs impôts, leurs taxes et surtout leurs cotisations, payent les largesses accordées à ces grévistes qui leur nuisent directement. C’est aussi un scandale jeté dans les bras du législateur qui avait, jadis, voté un service minimum que l’État, dans son incompétence, est infoutu de faire appliquer. C’est enfin un échec lamentable de plus à porter au débit des institutions républicaines françaises qui, encore une fois, s’aplatissent devant les forts, les collectivistes syndiqués, pour ensuite écraser les faibles de taxes, d’impôts et (le cas échéant) de coups de LBD.

    Et au-delà de ces éléments, il y a bien sûr le coût économique évident : ces grèves paralysent l’activité économique d’une partie du pays. Comme en témoigne cette restauratrice (une chef d’entreprise parmi des milliers, en réalité), ces incessantes périodes de caprices interruptifs pour un tout petit pourcentage minoritaire de grévistes entraînent des pertes, des déficits et des dettes pour un nombre considérable d’entreprises, qui se traduiront inévitablement par des faillites et la mise au chômage de centaines, de milliers de salariés.

    Merci aux grévistes.

    Si c’était le seul coût, peut-être pourrait-il être ignoré (encore que ce pays ne puisse pas trop fanfaronner sur son taux de chômage). Mais cette grève entraîne d’autres problèmes, bien plus graves encore.

    Qui remboursera les énormes dégâts causés par ces grévistes qui ont jugé bon de couper le courant à Béziers il y a quelques jours ?

    Combien de blessés dans les rues des grandes villes parmi ceux qui, forcés par la grève de recourir à des moyens de déplacement alternatifs, se retrouvent à voyager à trottinette ou en vélo et se fracturent un membre… ou subissent un traumatisme grave ?

     

    BFMTV @BFMTV

    Les accidents de vélos et trottinettes se multiplient à Paris depuis le début de la grève

    Vidéo intégrée
     
    Là encore, difficile de ne pas dire merci à ces grévistes pour tous ces blessés et tous ces arrêts de travail qui, sécurité sociale obligatoire oblige, seront plus ou moins couverts et qui ne viendront pas gréver (!) à leur tour les comptes sociaux.

    Ces grèves, c’est aussi l’occasion de générer une masse considérable de petits tracas qui se traduiront directement, en plus de ces faillites, de ces destructions de matériel, de ces blessés multiples et de ces déficits sociaux, par rien moins que des morts.

    Eh oui : la grève, c’est une façon ludique, corporatiste, collectiviste, amusante et parfaitement décontractée de tuer des gens qui n’avaient rien demandé à personne.

    J’exagère ? J’aimerai bien, mais non.

    Les dons du sang ont nettement diminué pendant cette période de grève d’une certaine catégorie de privilégiés. Comme l’explique le docteur François Charpentier, porte-parole de l’Établissement Français du Sang, « Un don c’est potentiellement 3 vies sauvées ». Cette grève, avec ses 5000 dons de retard, c’est potentiellement 15.000 morts.

    Merci aux grévistes.

    Et s’en tenir aux dons serait un peu court.

    Il ne faudrait pas oublier tous ces conducteurs qui ont été forcés de prendre leur voiture ou leur moto dans des conditions de route de plus en plus défavorables, pour se rendre au travail et, pour certains, ne jamais l’atteindre : ce sont ces pères ou ces mères de famille qui se tueront sur la route, après avoir été forcés de prendre un véhicule pas toujours vaillant, dans des conditions de route qu’ils ne maîtrisent plus (pour avoir trop longtemps compté sur les trains qui, maintenant, ne passent plus).

    Ces grèves, c’est combien de motards du dimanche qui passeront sous les roues d’un camion parce que eh oui pas de train ma brave dame ? Combien de gens mourront dans une ambulance coincée dans un bouchon routier record ?

    Statistiquement, ce mois de décembre verra le nombre de blessés et de morts sur la route augmenter : la fatigue et le stress accumulés par l’occurrence inévitable de ces déplacements imprévus (et non désirés) à la suite de ces mouvements d’enfants gâtés provoquera inévitablement plus d’accidents, dont certains fatals. Les chiffres seront timidement relayés, mais déjà, l’augmentation de la location de voitures et de motos n’est pas à mettre en doute : lorsqu’on augmente le nombre de personnes qui voyagent, lorsqu’on augmente le nombre de kilomètres parcourus, lorsqu’on augmente les temps de trajets, on augmente statistiquement le nombre de morts.

    Le chiffre sera probablement camouflé et minimisé, mais il y aura bel et bien des morts et des accidentés à cause de ces grèves.

    Merci aux grévistes.

    Enfin et quasiment comme une cerise sur le gâteau global de ces protestations capricieuses, qui viendra faire le calcul des montagnes d’énergies fossiles cramées en pure perte dans ces bouchons que ces grèves ont provoqués ? Ah, qu’elle est belle, l’écologie de façade qui ne tient pas devant la ô combien terrible menace d’une égalité de traitement (des pensions, en plus, horreur des horreurs) !

    Tant au gouvernement qui n’aura jamais le courage d’en finir avec le monopole, les privilèges et les passe-droits de ces professions gâtées, que dans les médias qui sont tous acquis à la cause des grévistes, qu’au sein même de toute la société qui s’empressera de mettre un mouchoir sur toutes les dérives qu’on a dû subir, on se gardera bien de faire le bilan carbone de ces exactions et de leurs conséquences. Peu importe les dégradations qu’a provoquées une bande d’hystériques en choisissant d’accélérer nettement l’obsolescence de trottinettes parisiennes. Cette facture écologique-là ne sera mentionnée par personne.

    Ces grèves à répétition sont une facture énorme que tout le pays se doit, ensuite, de payer péniblement, écologiquement, financièrement, socialement, politiquement, et surtout humainement : certains paient littéralement de leur vie l’incurie de ces services publics lamentables.

    Ce pays est foutu.

     

     

    Par h16 Source : ndf

  • Grèves, manifestations, émeutes... Vers le chaos.

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France

    C'est une règle reconnue: confronté à une difficulté, tout dirigeant politique a tendance à vouloir refaire ce qui a déjà fonctionné une fois.

    Pour avoir réussi — mais pour combien de temps ? — à endiguer le mouvement des Gilets jaunes à défaut d'avoir pu en calmer la juste colère, Macron espère, par la concertation, le débat, la conciliation et la procrastination, pouvoir éviter que les grognes catégorielles qui montent contre la réforme des retraites et la mobilisation des personnels hospitaliers ne se cristallisent et se transforment, attisées et encadrées par les syndicats politiques, en tsunami social.
     
    La paralysie quasi totale des réseaux de la RATP vendredi dernier apparaît comme un sévère coup de semonce, en attendant les mouvements qui se préparent à la SNCF et dans la fonction publique pour la sauvegarde des privilèges acquis grâce aux scandaleux régimes spéciaux, tandis que les professions libérales entendent bien se faire entendre pour défendre leurs caisses autonomes.
     
    Débats donc, encore et encore, y compris sur l'immigration pour tenter de faire croire au bon peuple que ses préoccupations sont entendues, comprises et seront prises en compte. 
     
    Pour autant, cette fois, l'Exécutif n'a pas, face à lui, un mouvement désordonné mais des organisations aguerries, des centrales politisées, des militants structurés et disciplinés dont l'objectif reste révolutionnaire et la méthode stratégique "l'agrégation des luttes".
     
    La résurgence des manifestations violentes noyautées par les activistes gauchistes comme on a pu le constater samedi à Nantes et comme on le verra sans nul doute samedi prochain à Paris, la perspective de grèves perlées ou massives qui paralyseraient le Pays, la lassitude et le manque de moyens des forces de l'ordre dont les conditions d'emploi sont incohérentes et inadaptées, peuvent créer demain les conditions d'un chaos dont sauront profiter non seulement les organisations d'extrême gauche, mais aussi, et sans doute surtout, les racailles venues d'ailleurs, sans parler de l'islamisme politique qui, dans de nombreuses villes, n'attend que la désagrégation des pouvoirs publics pour étendre son emprise.
     
    Face à ces menaces, le pouvoir, le dos au mur, tergiverse et blablate.
     
    Le grand mensonge de la Macronie est d'avoir voulu faire croire qu'il était le parti de l'ordre. Il n'est que celui de la faiblesse et de l'impuissance alors que la France a désormais un besoin vital d'un pouvoir national fort et autoritaire. 
     
    Urgemment !