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émeutes

  • Après les émeutes urbaines de ce début juillet, le coût des dégâts indemnisables par les compagnies d’assurance est déjà trois fois plus élevé que pour celles de 2005

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2023

    Le coût des dégâts indemnisables par les compagnies d’assurance est déjà trois fois plus élevé que pour les violences urbaines de 2005. Et toutes les déclarations de sinistre ne leur sont pas encore parvenues.

    Elles ont duré trois fois moins longtemps mais vont coûter trois fois plus cher. Selon le bilan provisoire publié ce mardi matin par France assureurs, les émeutes consécutives à la mort de Nahel représentent 650 millions d’euros de dégâts indemnisables pour un total de 11 300 sinistres. En moins d’une semaine. « Pour 90 % de cette somme, il s’agit de sinistres qui ont touché les professionnels et les collectivités locales », nous précise la fédération des assureurs.

    En 2005, les violences urbaines avaient donné lieu à l’indemnisation de 10 000 sinistres mais sur trois semaines. Surtout, 82 % concernaient des véhicules – assurés tous risques ou avec une garantie incendie pour pouvoir être pris en charge – ce qui n’avait porté la facture pour les compagnies d’assurance qu’à 204 millions d’euros au total.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Émeutes : les dealers ont sifflé la fin de la partie

    Publié par Guy de Laferrière le 08 juillet 2023

    7 Juillet 2023, 06:56am | Publié par Thomas Joly

    Ce ne sont pas les Macron et autre Darmanin qui ont ramené le calme dans les cités exotiques, jusqu’à la prochaine explosion, avec armes à feu  cette fois. Non, ces « zones de non droit » que les derniers résidents « de souche » et immigrés intégrés à la société française cherchent à fuir, sont sous la suzeraineté de néo-féodaux. Ces derniers ont presque droit de vie et de mort sur les habitants de tous ces « quartiers difficiles ». Sont-ils dans ces nouveaux fiefs, les descendants de Barbaresques conquérants qui, par-delà les siècles, sembleraient vouloir prendre leur revanche ?

    1.300 bâtiments incendiés ou sévèrement dégradés, et pas moins de 5.700 véhicules carbonisés, des millions d’euros de dégâts plus tard, les maîtres du trafic de drogue ayant estimé, qu’à la longue, les émeutes étaient nuisibles pour leur business, ils ont sifflé la fin de la récré !

    « Ça suffit les petits, les grands frères ont autre choses à faire que d’aller à la dépouille »… Le juteux trafic de stups. doit reprendre, et les désordres sont évidemment nuisibles au commerce. Que chacun reprenne sa place, les caïds au sommet de la pyramide, et les guetteurs aux marges des cités, à leur poste, pour prévenir de l’éventuelle arrivée des « keufs ».

    Demain, sans l’avouer, combien de maires et autres élus municipaux négocieront la paix sociale avec les « grands frères », maitres de la rue et des barres d’immeubles, des plus grandes conurbations aux plus petites zones d’HLM dans  d’anonymes sous-préfectures ? Pourra-t-on leur jeter la pierre, alors que l’État est incapable d’assurer la sécurité des biens et des personnes, et qu’il freine les capacités de sa police et de sa gendarmerie dans la répression, de peur de nouvelles « bavures » ? Il faut voir avec quelle rapidité, sans attendre les premières constatations de la justice, le Système a condamné le motard auteur du tir qui a tué le jeune Nahel. Lequel policier, jusque-là bien noté et en passe d’être promu au grade supérieur, est maintenu au-delà de toute décence derrière les barreaux à la Santé, alors qu’il pourrait être mis en résidence surveillée à son domicile.

    Le plus croustillant si je puis dire, vient de l’Iran  et de l’Algérie. Le premier, qui ne manque pas de toupet, semble s’indigner de la manière dont nous réprimons les émeutiers, alors que le régime des enturbannés n’a pas hésité à faire tirer sa police, à balles réelles, sur des manifestantes qui protestaient contre le port du voile obligatoire. Quant à la seconde, elle nous a habitués depuis juillet 1962 à des actes permanents contraires à nos intérêts. Outre que son hymne national réintroduit un couplet hostile à notre patrie, son président qui devait venir en visite officielle à Paris, ose s’inquiéter du sort de sa (trop) importante communauté dont, hélas, une bonne moitié est « binationale »… Sans compter qu’un certain nombre des siens font partie des casseurs arrêtés. L’hôpital qui se moque de la charité, en quelque sorte.

    Vite, vite, en place, un Gouvernement de défense des intérêts nationaux vitaux, à la main ferme, qui ne tremble pas et qui ne transige ni avec la camarilla gauchiste, complice des émeutiers, ni avec les communautés ethniques en rébellion. Les « nounours, les petites fleurs et autres marches blanches » qui ponctuent sans cesse l’actualité française, ça suffit : ordre doit rester à la loi, notre loi, pas celle des voyous, des voleurs, des violeurs et autres barbares !

    Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • Ce ne sont plus des émeutes mais une guérilla

    Publié par Guy de Laferrière le 30 juin 2023

    Troisième nuit d'émeutes
    Troisième nuit d’émeutes

    Le bilan officiel de la troisième nuit d’insurrection raciale en France :

    . Près de 500 bâtiments publics ont été incendié, dont des écoles.
    . 249 policiers et gendarmes ont été blessés.
    . 667 personnes ont été interpellées.

    Le gouvernement se lamente aussi des chantiers des JO2024 incendiés cette nuit. Les dégâts sont considérables.

    Le Ministère de l’Intérieur affirme que le niveau actuel des violences est supérieur à celui des émeutes de 2005 et que la France n’avait jamais connue des affrontements aussi violents. Des mesures d’urgences vont être discutées en cellule de crise à 13h avec Macron.

    Mais derrière cette communication officielle, la réalité est bien plus terrible encore. Les émeutiers ne respectent rien, pas même ce qui est pourtant utile à leurs propres familles. Des pharmacies, des crèches, des écoles, et même des habitations privées ont été incendiées. Dans un bloc d’appartements, quatre étages ont pris feu. Parmi les locataires, il y avait des familles musulmanes dont les enfants pleuraient sur le trottoir d’en face en voyant l’incendie qui a fait plusieurs blessés.

    On ne compte plus le nombre de bus, tramways, camions, et voitures carbonisés à travers la France.

    De nombreux magasins ont été pillés. Dans certains cas, des voitures volées ont servi de bélier. Une pelleteuse a même été utilisée pour défoncer l’entrée d’une grande surface Des hypermarchés dans lesquels se sont précipités des meutes déchaînées, dont des femmes maghrébines voilées et des africaines en boubou, tous voulant leur part du butin. Ailleurs, ce sont des concessionnaires autos dont tous les véhicules ont été volés dans une ambiance chaotique.

    Et on a vu des racailles vidé des véhicules de pompiers et de police abandonnés. Des racailles se filment portant des vestes d’uniformes de police.

    Pire encore, dans différentes villes, des barbares ont sorti des armes automatiques, y compris des armes de guerre.

    Tout cela a pris une dimension qui n’est plus de l’ordre de l’émeute mais de la guérilla. Avec une dimension ethnique évidente.

     

    Source : medias-presse.info

  • Émeutes : un discours menaçant et en arabe du président algérien repris sur les réseaux sociaux

    Publié par Guy de Laferrière le 30 juin 2023

    Émeutes : un discours menaçant et en arabe du président algérien repris sur les réseaux sociaux

    Un discours en arabe prononcé par le président algérien Abdelmadjid Tebboune à une date non identifiée est régulièrement repris sur les réseaux sociaux par les émeutiers et leurs soutiens, dans le but d’attiser la haine.

    Dans ce discours, le président algérien lance un message à tous les Algériens bi-nationaux, leur disant qu’ils ont été trahis par les Harkis et l’OAS, “les enfants de Bigeard et d’Aussaresses”. “Vous avez honorés votre pays”. Il annonce que toute personne qui touchera aux binationaux Algériens en France aura affaire à lui et le payera très cher.

    La vidéo TikTok reprenant ce discours comptabilise 38 000 mentions j’aime.

    La haine anti-France se fait davantage ressentir chez les Algériens, comme le témoigne l’élargissement des circonstances pendant lesquelles le troisième couplet de l’hymne national est joué. En voici les paroles.

    « Ô France ! le temps des palabres est révolu / Nous l’avons clos comme on ferme un livre / Ô France ! Voici venu le jour où il te faut rendre des comptes / Prépare-toi ! voici notre réponse / Le verdict, notre révolution le rendra / Car nous avons décidé que l’Algérie vivra / Soyez-en témoin ! Soyez-en témoin ! Soyez-en témoin ! »

     

    Source : lesalonbeige

  • Émeutes à Sens (89) : policiers et pompiers attaqués au mortier, des commerces cambriolés et saccagés, les caméras de vidéo-surveillance arrachées

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2021

    Une trentaine d’émeutiers ont allumé des feux et saccagé des commerces, dans la nuit du samedi 5 au dimanche 6 juin, durant environ 3 heures, dans le quartier des Chaillots, à Sens.

    Des violences urbaines ont agité le quartier des Chaillots à Sens, et particulièrement le boulevard de Verdun et ses alentours, dans la nuit de ce samedi 5 juin 2021 au dimanche 6 juin 2021. Entre 23 h 50 et 3 heures, une trentaine de personnes ont mis le feu à des poubelles, barrant plusieurs rues. Ils ont aussi tiré des mortiers d’artifice. Trois commerces du boulevard de Verdun ont également été pris pour cible, cambriolés et vandalisés.

    (…) Déjà touché lors des dernières émeutes au même endroit, le 12 mars dernier, le salon Lumin’ & Sens Coiffure n’a, cette fois encore, pas été épargné. Là aussi, le saccage des locaux a fait suite aux vols. 

    Un mat de vidéosurveillance a été scié, les caméras volées

    Le mat de vidéosurveillance récemment installé boulevard de Verdun a été scié. Les caméras qui y étaient fixées ont été arrachées et emportées. Les violences urbaines étaient donc plus graves encore que les précédentes et certains observateurs comme Nicole Langel pensent qu’elles ont été “préméditées, préparées”.

    (…)  L’Yonne Républicaine via fdesouche