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émeutes - Page 3

  • Mirail : une nuit d’émeutes en plein confinement

    Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2020

    MirailLes restes de l'émeute du dimanche 19 avril, rue de Kiev, dans le quartier du Mirail à Toulouse. © H.G / Infos-Toulouse.

    Soirée mouvementé dans le quartier du Mirail. Les policiers ont été pris dans un véritable guet apens, où cocktail molotov, pierres et pétards ont fusé sur les équipages de la police. 

    Le confinement n’est pas à l’heure du quartier de la Reynerie. Les policiers ont été pris à partie par une bande d’une trentaine d’assaillants, dimanche 19 avril peu avant 22 heures. Alors qu’ils se rendaient sur les lieux d’un feu de voiture, les forces de l’ordre ont subi un violent guet apens, rue de Kiev, en plein cœur du Mirail. 

    Une voiture de police obligée de reculer

    Pierres, coktail molotov et fusées ont été lancés sur les fonctionnaires, bloqués sur la route par des conteneurs poubelles incendiés. Les premiers signes d’une soirée qui s’annonce compliquée. Une habitante du quartier nous confie avoir vu « de la fumée » provenant certainement d’un feu de voiture. « La voiture de police a été obligée de fuir devant la violence de l’attaque », témoigne-t-elle. De son appartement, cette habitante a pu être témoin des détonations de pétards et de mortier. 

    Lire aussi : Deux militaires tués dans le crash d’un hélicoptère près de Tarbes

    Pour se dégager, les policiers ont du faire appel à des renforts et ont utilisé un lanceur de balles de défenses et une dizaine de grenades lacrymogènes, permettant aux pompiers d’intervenir sur les « onze incendies » de véhicules, a dénombré pour nous un riverain. Auprès de La Dépêche, le syndicat Alliance Police Nationale dénonce « un confinement qui n’est pas le même pour tous »

    « Des échauffourées tous les soirs »

    Y faut-il voir un acte de solidarité à l’embrasement des cités à Villeneuve-la-Garenne ? Dans la nuit de samedi à dimanche, un multi-récidiviste a été blessé après une collision avec une voiture banalisée de la police. Sur Snapchat, des assaillants ont revendiqué faire écho à cet accident. Mais pour notre témoin de la rue de Kiev, « des échauffourées, il y en a tous les soirs », remarquant des trafiquants « sur les dents », alors que le nombre de clients sont en baisse et que l’approvisionnement en stupéfiants se fait plus rare avec la fermeture des frontières. 

    Lire aussi : Reynerie : des coups de feu visent un groupe de sécurité dédié aux HLM

    « Ils sautent sur le moindre prétexte », s’indigne-t-elle. « La journée ça se passe bien », même si « les regroupements sont fréquents » dans ces temps de confinement. « La police intervenait au début mais depuis quelques semaines elle laisse faire », raconte la riveraine qui appréhende le début du ramadan, le 23 avril et la difficulté de faire respecter les mesures de lutte contre le coronavirus. « Il va falloir appeler l’armée », conclut-elle en riant… jaune. 

    Étienne Lafage.

     

    Source : infos-toulouse

  • Metz : émeutes après que la police eut neutralisé un terroriste islamiste !

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2020

    Un signe fort de la guerre « civile » ethnique qui pend au nez des Français ?

    Des poubelles en feu dans le quartier de Metz-Borny, dans la nuit de dimanche à lundi 6 janvier 2020.

    Des poubelles en feu dans le quartier de Metz-Borny, dans la nuit de dimanche à lundi 6 janvier 2020. (©Arnaud Beinat/ Sapeurs-pompiers de la Moselle)

    « La tentative d’attaque de policiers par un homme fiché S, armé d’un couteau, dimanche 5 janvier 2020 dans le quartier de Borny à Metz a provoqué un début d’émeutes urbaines dans ce quartier populaire [sic] de l’agglomération.

    Dimanche après-midi, un homme âgé de 30 ans, connu pour radicalisation, s’est montré menaçant envers des passants et une patrouille de police en criant « Allah Akbar ». Pour l’instant, le parquet antiterroriste n’est pas encore saisi [ah bon… – NDCI] mais travaille avec celui de Metz pour savoir si les faits peuvent être qualifiés de terroriste.

    L’assaillant a été neutralisé par la police après le tir de plusieurs balles notamment dans ses jambes. Il a été blessé sans que son pronostic vital ne soit engagé.

    Après l’intervention de la police dans le quartier pour neutraliser le suspect, des tensions ont éclaté à proximité des lieux où se sont déroulés des faits. Des cocktails molotov ont été lancés vers les policiers déployés dans le quartier. Certains ont été retrouvés allumés au sol sans être lancés ou utilisés.

    Des poubelles ont également brûlées près de certains immeubles d’habitation ou encore sur la voie utilisée par les bus METTIS. [sic]

    Selon le maire de Metz, Dominique Gros, quelques incidents ont émaillé la nuit avec trois voitures brûlées dans un parking rue du Béarn et des abribus dégradés.  » (source)

    Sur cette video, on entend des habitants s’en prenant aux policiers qui ont tiré sur le terroriste islamique de Metz :
    « C’est vous les assassins ! »

    Vidéo : 

     

    Source : contre-info

  • Grèves, manifestations, émeutes... Vers le chaos.

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France

    C'est une règle reconnue: confronté à une difficulté, tout dirigeant politique a tendance à vouloir refaire ce qui a déjà fonctionné une fois.

    Pour avoir réussi — mais pour combien de temps ? — à endiguer le mouvement des Gilets jaunes à défaut d'avoir pu en calmer la juste colère, Macron espère, par la concertation, le débat, la conciliation et la procrastination, pouvoir éviter que les grognes catégorielles qui montent contre la réforme des retraites et la mobilisation des personnels hospitaliers ne se cristallisent et se transforment, attisées et encadrées par les syndicats politiques, en tsunami social.
     
    La paralysie quasi totale des réseaux de la RATP vendredi dernier apparaît comme un sévère coup de semonce, en attendant les mouvements qui se préparent à la SNCF et dans la fonction publique pour la sauvegarde des privilèges acquis grâce aux scandaleux régimes spéciaux, tandis que les professions libérales entendent bien se faire entendre pour défendre leurs caisses autonomes.
     
    Débats donc, encore et encore, y compris sur l'immigration pour tenter de faire croire au bon peuple que ses préoccupations sont entendues, comprises et seront prises en compte. 
     
    Pour autant, cette fois, l'Exécutif n'a pas, face à lui, un mouvement désordonné mais des organisations aguerries, des centrales politisées, des militants structurés et disciplinés dont l'objectif reste révolutionnaire et la méthode stratégique "l'agrégation des luttes".
     
    La résurgence des manifestations violentes noyautées par les activistes gauchistes comme on a pu le constater samedi à Nantes et comme on le verra sans nul doute samedi prochain à Paris, la perspective de grèves perlées ou massives qui paralyseraient le Pays, la lassitude et le manque de moyens des forces de l'ordre dont les conditions d'emploi sont incohérentes et inadaptées, peuvent créer demain les conditions d'un chaos dont sauront profiter non seulement les organisations d'extrême gauche, mais aussi, et sans doute surtout, les racailles venues d'ailleurs, sans parler de l'islamisme politique qui, dans de nombreuses villes, n'attend que la désagrégation des pouvoirs publics pour étendre son emprise.
     
    Face à ces menaces, le pouvoir, le dos au mur, tergiverse et blablate.
     
    Le grand mensonge de la Macronie est d'avoir voulu faire croire qu'il était le parti de l'ordre. Il n'est que celui de la faiblesse et de l'impuissance alors que la France a désormais un besoin vital d'un pouvoir national fort et autoritaire. 
     
    Urgemment !
  • Grenoble : nouvelle nuit d’émeutes

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2019

    Auteur : Pierrot
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    La France d’après, le rêve des idéologues cosmopolites

    C’est dans ce genre de circonstances que l’on mesure l’intérêt pour le pouvoir de conserver de la proximité avec la caste journalistique. Les recopieurs de dépêches AFP rivalisent d’ingéniosité littéraire pour minorer la gravité des soulèvements grenoblois. Alors que les Gilets jaunes étaient accusés de tous les maux, les émeutes de Grenoble sont qualifiées d’incidents, de troubles, de tensions, d’échauffourées (ici et ici) et bientôt du rififi et des chamailleries !

    Trouvé sur 20 minutes : Les troubles ont débuté vers 21h lorsque plusieurs voitures ont été retournées et brûlées. Huit au totalement auraient été incendiées. Des cocktails molotov ont également été lancés depuis les toits des immeubles sur les forces de l’ordre lorsque la police a effectué des fouilles dans les parties communes de plusieurs tours du quartier.

    Un policier a été blessé, il souffrirait d’une fracture à la main. Enfin, deux individus ont été interpellés, indique une source policière. Elles portaient des objets dangereux (couteaux, mortiers, jerricane d’essence…), précise la préfecture.

    La mort des deux garçons, survenue samedi, avait déjà provoqué trois nuits d’émeutes consécutives dans le quartier. Les tensions étaient retombées mardi soir, la veille de la marche silencieuse. Mais dans les rues de la cité, beaucoup tiennent la police responsable du drame qui s’est noué.


    Source : contre-info

  • Emeutes à Grenoble : on entend moins Christophe Castaner

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2019

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    Emeutes à Grenoble : on entend moins Christophe Castaner

    Cela fait trois jours que Grenoble connaît l’émeute des racailles et cela provoque moins de réaction que les manifestations des gilets jaunes. Les affrontements se poursuivent entre des dizaines de voyous et les gendarmes et policiers. Des parpaings tombent depuis le haut des immeubles. Des boules de pétanque et des cocktails Molotov ont été jetés depuis les toits ou les étages du quartier Mistral. Un homme d’environ 25 ans a été interpellé.

    Des habitants ont aussi monté ou tenté de monter des barricades par petits groupes très mobiles d’une quinzaine de personnes. Vers 22 heures, un feu d’artifice a été tiré au milieu des bâtiments.

     

    Source : lesalonbeige