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Le Parti de la France - Page 8

  • Assaut israélien sur la ville de Gaza : la reddition ou la mort par la faim et la soif

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    Assaut israélien contre la ville de Gaza
    Assaut israélien contre la ville de Gaza

    Les chars israéliens prennent d’assaut la ville de Gaza. Le ministre israélien Smotrich : « Ceux qui ne quittent pas la ville mourront de faim et de soif ou se rendront ».

    Bande de Gaza : 270 journalistes et professionnels des médias ont été tués depuis le début de la guerre, soit environ 13 journalistes par mois

    Les journées sanglantes se répètent inlassablement et se poursuivent sans fin à Gaza, déchirée par la guerre : au moins huit enfants ont été tués le 23 août dans la bande de Gaza. Al-Jazeera a rapporté que deux enfants ont été tués lors d’une attaque d’artillerie israélienne dans le secteur d’al-Nazla à Jabalia, tandis que six autres ont été tués lors d’un bombardement israélien dans le secteur d’Asdaa, au sud de Gaza. La chaîne a cité des sources hospitalières et des secouristes.

    Parallèlement, le Syndicat des journalistes palestiniens a confirmé que le journaliste Khaled al-Madhoun avait été tué par l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza. Al Jazeera a signalé que le journaliste avait été pris pour cible près du point de passage de Zikim, au nord de la ville de Gaza assiégée, alors qu’il attendait l’arrivée de camions d’aide humanitaire pour documenter la scène. Selon un décompte de Shireen.ps, un site web de surveillance nommé d’après la journaliste d’Al Jazeera Shireen Abu Akleh, tuée à Gaza, 270 journalistes et professionnels des médias ont été tués depuis le début de la guerre, soit environ 13 journalistes par mois.

    L’assaut de la ville de Gaza s’inscrit dans le projet de l’occupation totale de la bande pour conquérir le Grand Israël

    Rien de tout ceci n’émeut l’actuel ministre des Finances et ministre de la Défense israélien Bezalel Smotrich qui, selon la chaîne d’information israélienne Channel 12, a réitéré sa position dans la soirée du 23 août dernier : « Nous vous avons ordonné de mener une opération rapide. À mon avis, vous pouvez les assiéger. Ceux qui n’évacuent pas doivent être assiégés. Sans eau, sans électricité, ils peuvent mourir de faim ou se rendre. C’est ce que nous voulons, et vous en êtes capables. « Ce n’est pas ce que les dirigeants politiques ont ordonné. Ne voulez-vous pas vaincre le Hamas ? », aurait demandé Smotrich au chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, lors d’une réunion.

    Le projet de l’occupation totale de la bande de Gaza pour conquérir le Grand Israël est le plan. Quel qu’en soit le prix en nombre de morts et de blessés.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • François Bayrou a donc choisi d'orchestrer lui-même son départ

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

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    François Bayrou a donc choisi d'orchestrer lui-même son départ : le 8 septembre, il engagera la responsabilité de son gouvernement sur son plan d’économies budgétaires. L’homme invoque l’urgence des finances publiques et brandit la rigueur comme remède national. Mais chacun a compris la manœuvre : confronté à l’impopularité de son projet, prisonnier d’un Parlement fragmenté, il préfère se faire hara-kiri avant de subir une défaite humiliante, à coups d’amendements et de motions de rejet. Ce geste n’est pas l’expression d’une force mais d’un aveu : Bayrou est dans une impasse.
    Car le sort de ce vote est scellé d’avance. La France insoumise ne lui accordera évidemment pas la moindre confiance : son ADN est l’opposition frontale. Le Rassemblement national, qui l’avait jusqu’ici protégé dans un étrange calcul tactique, ne peut plus se permettre cette compromission : voter pour l’austérité, ce serait désorienter complètement son électorat populaire. Ils n’auront même pas l’excuse habituelle de refuser une motion issue de l’extrême gauche, puisqu’il s’agira d’un vote clair et direct contre le Premier ministre. Quant au Parti socialiste, il serait suicidaire pour lui de servir de béquille à un Bayrou impopulaire et, par ricochet, à Emmanuel Macron, totalement carbonisé dans l’opinion. Au pire, la droite molle incarnée par LR pourrait s'abstenir. Aucun de ces partis ne prendra le risque d’être entraîné dans le naufrage.
    Bayrou, en réalité, cherche à soigner sa sortie. Il veut se présenter comme le dernier homme d’État responsable avant le chaos, comme celui qui aura osé dire la vérité des chiffres. Mais il n’est pas dupe : dès le 10 septembre, la chienlit est promise, le budget sera quasi-impossible à voter et l’Assemblée redeviendra l’arène des blocages et des invectives. Derrière sa posture professorale, il reste le vieux barbon imbu de lui-même qui rêve encore d’une candidature à la Présidentielle en 2027. Ce suicide politique n’est qu’un prélude à une crise plus vaste. La dissolution se profile à l’horizon. Ce qui d'ailleurs ne serait pas plus mal.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Lundi 25 août – Saint Louis, Roi de France, Confesseur, Patron des Tertiaires franciscains

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2025

    Auteur : 

    Saint Louis, Roi de France, Confesseur, Patron des Tertiaires franciscains, vingt-cinq août


















    Près de Carthage, saint Louis IX, roi de France et confesseur, illustre par la sainteté de sa vie et l’éclat de ses miracles.

    Sanctoral 

    Saint Louis, Roi de France, Confesseur, Patron des Tertiaires franciscains

    Louis IX, devenu roi de France à l’âge de douze ans, par la mort de son père, fut très pieusement élevé par la reine Blanche de Castille, sa mère. Tout le monde connaît la belle parole de cette grande reine: « Mon fils, je vous aime après Dieu plus que toutes choses; cependant, sachez-le bien, j’aimerais mieux vous voir mort que coupable d’un seul péché mortel. » Époux affectueux et père de onze enfants, il fut en même temps un rigoureux ascète. Énergique et vigilant dans l’administration de son royaume, il ne négligeait en rien ses exercices de piété et recevait fréquemment les sacrements ; intrépide au combat et soucieux de son prestige dans les grandes circonstances, il s’épuisait secrètement en jeûnes et en mortifications. La stricte justice, la parfaite loyauté et l’amour absolu de la paix inspirèrent sa politique, toujours exempte néanmoins de faiblesse, et dont plusieurs siècles devaient confirmer le succès.

    Il régnait depuis vingt ans déjà, lorsque, tombé malade, la pensée lui vint de reconquérir Jérusalem. Aussitôt revenu à la santé, il reçut l’étendard des mains de l’Évêque de Paris. Puis, ayant traversé la mer avec une armée nombreuse, il mit en déroute les Sarrasins dans un premier combat. Mais beaucoup de ses soldats moururent de la peste, et lui-même fut vaincu et fait prisonnier. Après un traité avec les Sarrasins, le roi et son armée furent laissés libres. Il demeura pendant cinq ans en Orient, racheta de l’esclavage un grand nombre de Chrétiens, convertit beaucoup d’infidèles à la foi du Christ, et rebâtit à ses frais plusieurs villes appartenant aux Chrétiens. Sa mère étant morte sur ces entrefaites, il dut revenir en France où il s’adonna tout entier aux œuvres de piété.

    Le saint roi construisit nombre de monastères et d’hospices pour les pauvres ; il secourait de ses largesses les indigents, visitait fréquemment les malades et, non content de les faire soigner à ses frais, leur donnait de ses propres mains ce dont ils avaient besoin. Simple dans ses habits, il n’épargnait pas à son corps les mortifications du ciliée et du jeûne. Louis IX traversa de nouveau la mer pour combattre les Sarrasins, mais au moment où il venait d’établir son camp en face de l’ennemi, il mourut de la peste en prononçant ces paroles : « J’entrerai dans votre maison, Seigneur, je vous adorerai dans votre saint temple et je glorifierai votre nom. » Son corps fut transporté à Paris ; il est conservé dans la célèbre église de Saint-Denis, où on le vénère. Quant à son chef, on le porta à la sainte Chapelle. Glorifié par d’éclatants miracles, il a été mis au nombre des Saints par le Pape Boniface VIII.

    Martyrologe

    Près de Carthage, saint Louis IX, roi de France et confesseur, illustre par la sainteté de sa vie et l’éclat de ses miracles; ses ossements furent plus tard rapportés à Paris.

    A Rome, l’anniversaire de saint Joseph Calasanz, prêtre et confesseur, célèbre par l’innocence de sa vie et par ses miracles. Pour élever la jeunesse dans la piété et dans les lettres, il fonda l’Ordre des pauvres Clercs Réguliers de la Mère de Dieu des écoles pies. Le souverain pontife Pie XII l’a constitué auprès de Dieu patron céleste de toutes les écoles populaires chrétiennes qui sont sur la terre. Sa fête se célèbre le 6 des calendes de septembre (27 août).

    A Rome également, les saints martyrs EusèbePontienVincent et Pérégrin. Sous l’empereur Commode, ils endurèrent successivement les tourments du chevalet, des entraves, de la bastonnade; ils eurent ensuite les flancs brûlés, et comme ils continuaient très fidèlement à louer le Christ, on les battit avec des fouets garnis de plomb jusqu’à ce qu’ils eussent rendu l’âme.

    De plus, à Rome, l’anniversaire du bienheureux Némèse diacre, et de la vierge Lucille, sa fille. Demeurant fermes et inébranlables dans la foi du Christ, ils furent décapités par ordre de l’empereur Valérien. Leurs corps, que le pape saint Etienne avait fait inhumer et auxquels le bienheureux Sixte II avait, la veille des calendes d’octobre (31 octobre), donné une sépulture plus honorable sur la voie Appienne, furent transférés par Grégoire V dans la diaconie de Sainte-Marie-la-Neuve, avec les saints Symphrone, Olympe tribun, Exupérie femme de ce dernier et leur fils Théodule : tous, convertis par les soins de Symphrone et baptisés par le même saint Etienne, avaient reçu la couronne du martyre. Les corps de ces mêmes saints, retrouvés en ce lieu sous le pontificat de Grégoire XIII, furent replacés avec plus d’honneur sous l’autel de la même église, le 6 des ides de décembre (8 décembre).

    A Rome encore, saint Genès martyr. Né dans le paganisme, il était comédien. Un jour qu’en présence de l’empereur Dioclétien, il mimait sur le théâtre les mystères des chrétiens, touché d’une inspiration divine, il se convertit tout à coup à la foi et se fit baptiser. Peu après, sur l’ordre de l’empereur, il fut cruellement meurtri de coups de bâton, puis étendu sur le chevalet, déchiré lentement avec des ongles de fer, brûlé avec des torches. Enfin, comme il demeurait ferme dans la foi du Christ et disait: « Il n’est d’autre roi que le Christ, et quand je devrais souffrir mille morts pour lui, vous ne pourrez jamais me l’arracher, ni de la bouche, ni du cœur, » on lui trancha la tête et il obtint la couronne du martyre.

    A Arles, en Gaule, un autre bienheureux Genès. Greffier, il refusa d’enregistrer les décrets impies par lesquels on ordonnait le châtiment des chrétiens, jeta ses registres et déclara hautement qu’il était lui-même chrétien; il fut aussitôt saisi et décapité; baptisé ainsi dans son propre sang, il reçut la gloire du martyre.

    En Syrie, saint Julien martyr.

    A Tarragone, en Espagne, saint Magin martyr.

    A Italica, en Espagne, saint Géronce évêque. Au temps des Apôtres il prêcha l’évangile dans cette province, et après beaucoup de travaux, mourut en prison.

    A Constantinople, saint Mennas évêque.

    A Utrecht, saint Grégoire évêque.

    A Montefiascone, en Toscane, saint Thomas confesseur, qui fut évêque de l’église d’Hereford en Angleterre.

    A Naples, en Campanie, sainte Patricia vierge.

     

    Source : medias-presse.info

  • Samedi dernier en Anjou : Synthèse nationale était à l'Université d'été d'Academia christiana

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2025

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    La semaine dernière se déroulait en Anjou la seconde Université d'été 2025 d'Academia christiana. La première s'étant tenue au mois de juillet en Provence. Ce fut une belle réussite car plus de 600 jeunes y participaient et samedi, lors de la journée portes-ouvertes, c'est près d'un millier de personnes qui étaient présentes. Ces UDT sont à la fois studieuses, créatives et festives...

    Victor Aubert, le fondateur de ce mouvement qui se définit comme étant catholique et enraciné, peut être satisfait de la belle réussite de ces deux réunions estivales qui démontre, douze ans après la création d'Academia Christiana, une vitalité remarquable. L'enthousiasme manifeste des jeunes gens présents suffit pour le prouver. Comme quoi, la clarté idéologique et la persévérance militante finissent toujours par payer.

    Parmi les nombreux stands associatifs présents samedi, Synthèse nationale, comme chaque année, était au rendez-vous. Ce fut l'occasion de retrouver de nombreux amis et de diffuser la revue et les livres que nous éditons cliquez là. Cette journée, intitulée "Festival du Bien commun" à la particularité de regrouper des associations, des mouvements et des maisons d'édition diverses, toutes attachées à la défense de notre patrie et de notre civilisation.

    Nous remercions Arno Danjou et l'équipe qui encadraient cette belle journée pour l'accueil chaleureux qu'ils nous ont réservé. 

    S N

     


    université academia christina

    université academia christina


    Consultez le site d'Academia christiana cliquez ici

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2025

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