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Le Parti de la France - Page 8

  • Errare senatorium est

    Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2025

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    La chronique de Philippe Randa

    En décembre dernier, je me prenais à rêver que la classe politique donne l’exemple, ne serait-ce qu’une fois, en acceptant de se serrer la ceinture… comme les Français auxquels ils le demandent afin de réduire la dette nationale (de 3 228 milliards d’€ à la fin du deuxième trimestre 2024 et qui n’a sûrement pas diminué depuis lors).

    Patatras, un mois plus tard, un « fuite » dans Le Canard enchaîné révèle que le président du Sénat Gérard Larcher s’est offert – sans savoir ce qu’il coûtait, assure-t-il, la main sur la bedaine à la recherche difficile de son cœur – un nouveau siège pour le « plateau » du palais du Luxembourg d’un montant de… 40 000 €.

    Non ! Mais non, rectification faite, pas 40 000, mais 34 000 très exactement. Et pour deux fauteuils et un… « prototype », sans davantage de précision sur la nature du « prototype » en question. Quésako ? On imagine un siège « blindé », façon « papamobile », ce véhicule utilisé par les papes depuis l’attentat contre Jean-Paul II… ou un siège avec mitrailleuse, grenade ou missile incorporés, façon James Bond.

    Certes, on n’est jamais trop prudent en ces temps de fortes turbulences en Macronie, mais tout de même !

    Oui, tout de même, tout de même : 34 000 €, au-delà du fait que monsieur-tout-le-monde ignorait qu’un pose-fessier, fusse-t-il sénatorial – et certes quelque peu imposant en l’occurence – puisse coûter un tel prix, c’est exorbitant, non ?

    D’ailleurs, Gérard Larcher lui-même – qui n’était bien sûr au courant de rien, mais on l’avait deviné ! – en convient. Pris le postérieur sur le trône, il a reconnu « que l’on ne peut pas prôner la réduction des dépenses publiques et ne pas se l’appliquer à soi-même » (bien envoyé, ça !), que le Sénat devait opérer un « changement de pratiques » (à peine, va !) et que d’ailleurs, il avait demandé une enquête…

    Les meilleurs limiers du sénat sont donc sur l’affaire, les braves contribuables peuvent (re)dormir en paix… et ce jusqu’au prochain scandale de ces messieurs-dames ayant fait dons de leurs personnes à la France… à condition toutefois de profiter autant que faire se peut des ors de la très généreuse République, Ve du nom.

    Deux questions peuvent néanmoins interpeller les esprits grincheux…

    La première concerne tous ces Gérard Larcher et autres qui continuent, imperturbables, à pratiquer de tels « foutages de gueule citoyen », alors que nombre de leurs complices politiques – toutes tendances politiques confondues de gauche, de droite et d’ailleurs – ont eu, ont ou vont avoir maille à partir avec la justice pour détournement, enrichissement ou recel de fonds publics ? On pourrait penser que les multiples affaires qui ne cessent de défrayer la chronique judiciaire les inciteraient à… comment dire… une certaine retenue, non ? Non, à l’évidence, non !

    La deuxième question est l’omerta de la classe politique quand un tel scandale éclate… Quelle femme, quel homme de gauche, de droite et d’ailleurs s’est insurgé(e) publiquement de ce scandale ? À ce jour, une semaine après les révélations du Canard enchaîné, on cherche… désespéremment !

    Qu’en conclure ?

     

    Source : synthesenationale

  • 50e anniversaire de la loi Veil

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2025

    Thomas Joly

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    En ce 50e anniversaire de la loi Veil, il est impératif de dresser un bilan lucide et sans concession de ce que cette législation a engendré. Présentée à l'époque comme un « progrès », une « avancée pour les droits des femmes », cette loi a en réalité inauguré une ère marquée par un recul dramatique de notre civilisation. Loin d'être une mesure anodine, l'avortement légalisé a ouvert la voie à une banalisation d'un acte autrefois perçu comme grave et exceptionnel. Il est temps de dénoncer cette dérive et d'appeler à une politique plus respectueuse de la vie.
    Un véritable génocide silencieux
    Depuis l'adoption de la loi Veil en 1975, la France a enregistré près de 10 millions d'avortements. Chaque année, ce sont environ 220.000 vies qui s'éteignent avant même d'avoir vu le jour. Ces chiffres sont vertigineux : ils évoquent un véritable génocide silencieux, un massacre institutionnalisé que l'on tait par conformisme ou par peur de heurter les sensibilités modernes. Comment ne pas comparer ces pertes humaines à des cataclysmes historiques qui ont également décimé des populations entières ? Ici, l'État n'est plus garant de la vie, mais complice de sa destruction.
    La banalisation d'un acte grave
    Il y a cinquante ans, Simone Veil présentait sa loi comme une mesure d'exception, destinée à éviter les « drames » des avortements clandestins. Mais que constate-t-on aujourd'hui ? L'avortement est devenu une simple « option », un recours courant désormais banalisé, presque trivialisé. Les discours contemporains tendent à gommer toute réflexion morale ou éthique autour de cet acte. Ce qui était présenté comme une solution de dernier recours est devenu, en réalité, un moyen de contraception supplémentaire.
    La bien-pensance a progressivement éteint la voix des opposants à l'avortement, stigmatisés comme « réactionnaires » ou « hostiles aux droits des femmes ». En occultant toute considération sur la valeur intrinsèque de la vie humaine, on a engendré une société de l'immédiateté et de l'irresponsabilité.
    Un recul de civilisation
    L'avortement légalisé marque un profond recul de notre civilisation. Les grandes cultures de l'Histoire se sont toujours élevées sur la défense de la vie, le respect des plus vulnérables et la promotion de la natalité. En revanche, les sociétés en déclin se caractérisent par une dévalorisation de la vie humaine et une absence de regard porté sur l'avenir.
    Le droit à l'avortement est présenté comme un « progrès », mais il symbolise en réalité une défaite collective. En consacrant l'élimination de l'enfant à naître comme un choix acceptable, notre société a renoncé à l'idéal selon lequel chaque vie humaine est sacrée. Nous avons érigé une culture de mort qui mine les fondements mêmes de notre identité.
    Le devoir de l'État : défendre les tout-petits
    L’État a pour mission première de protéger les plus faibles, ceux qui ne peuvent pas se défendre eux-mêmes. Or, il a échoué lamentablement dans ce rôle en laissant les plus vulnérables — les enfants à naître — être sacrifiés sur l’autel de l’autonomie individuelle et de la modernité. Au lieu de promouvoir une vision noble de la maternité et de soutenir les femmes confrontées à des grossesses non prévues, l’État a préféré faciliter l’avortement, le rendant accessible, voire encouragé.
    Vers une grande politique nataliste
    Plutôt que de persévérer dans cette culture de mort, la France doit prendre un virage historique et s'engager dans une véritable politique nataliste. Il est urgent de revaloriser la famille, de soutenir les parents et de promouvoir la naissance comme un bien inestimable pour la Nation. La survie d’une civilisation repose sur sa capacité à se projeter dans l’avenir, à croire en ses enfants et à transmettre ses valeurs.
    Pour cela, des mesures concrètes doivent être prises : des allocations familiales substantielles, un système fiscal avantageux pour les familles nombreuses, un soutien psychologique et matériel renforcé pour les femmes enceintes en difficulté. C’est ainsi que nous pourrons sortir de cette impasse morale et sociétale, et redonner à la vie la place qu’elle mérite.
    L’avortement légalisé n’est pas un progrès mais un recul. Il est temps de tourner cette page sombre de notre Histoire et de réaffirmer la primauté de la vie humaine. L’avenir de notre civilisation en dépend.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • De Bernard Lugan, sur les "relations économiques" (?) entre la France et l'Algérie...

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2025

    lafautearousseau

    De Bernard Lugan, sur les "relations économiques" (?) entre la France et l'Algérie...

    "...La France peut demain rompre toute relation avec l’Algérie, il n’y aurait aucune conséquence pour le commerce français : le commerce entre la France et l’Algérie, c’est peanuts !..."

    (extrait vidéo 2'07)

    https://x.com/F_Desouche/status/1879644115086037413

    La France peut demain rompre toute relation avec l'Algérie, il n'y aurait  aucune conséquence pour le commerce français» - Le Salon Beige

    • Le PIB Algérien est équivalent à 8% du PIB Francais;

     • Exportations françaises = 607 milliards € en 2023  (vers Algérie = 4,5 milliards);

    • Importations venant d’Algérie : 1% des importations totales françaises (7,3 milliards contre 760 milliards)...

  • Destruction d’habitat d’une espèce protégée

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2025

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    Pour avoir retiré des branchages d’un ruisseau, qui menaçait d’inonder son champ & la zone commerciale en aval, un agriculteur a été poursuivi par l’OFB pour "destruction d’habitat d’une espèce protégée". Relaxé, il risquait 3 ans de prison et 150.000 € d’amende. Le castor, lui, est simplement allé faire son barrage plus loin...

    Source : lafautearousseau