Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2024
Le Parti de la France - Page 11
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En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France
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Le cinéma des bobos/gauchos/trotskos
Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2024
Bravo à Philippe David pour son super "coup de gueule" (sur Sud Radio) contre ce cinéma de navets bobos/gauchos/trotskos qui nous coûte "un pognon de dingue" (comme dirait quelqu'un...) :
(extrait vidéo 2'30)
https://x.com/PhDavidMtb/status/1872703750177210444
Le cinéma des bobos/gauchos/trotskos ? Une machine à produire des navets, sans spectateurs, et qui coûte une fortune aux contribuables...Il faut décerner le Prix Nobel de l'Agriculture à ces producteurs (?) sans spectateurs, mais avec beaucoup d'argent, car ils réussissent à faire pousser des navets dans des salles obscures !!! -
Le marché du siècle : Trump va découper l’Ukraine de manière à ce qu’il y en ait pour tout le monde
Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2024
par Kirill StrelnikovHier, le président américain sortant, Joe Biden, a signé un budget de défense américain record, qui s’élèvera à 895 milliards de dollars pour 2025, soit 1% de plus que l’année dernière. Auparavant, le budget du Pentagone avait été approuvé par le Sénat et le Congrès pratiquement sans amendements ni contestations, ce qui signifie que l’argent de la guerre tient autant au cœur des démocrates que des républicains.
La tendance est claire : les États-Unis ne vont pas abandonner leur politique de résolution des problèmes par la force militaire – au contraire, ils y prennent goût. On pourrait parler d’«impérialisme belliqueux», de «puissant lobby du complexe militaro-industriel» et ainsi de suite, mais c’est beaucoup plus profond que cela.
Il est intéressant de noter que la «colombe de la paix» Trump n’a fait aucun commentaire sur le budget signé. La raison en est simple : il considère que les gains potentiels d’un milliard de dollars que les grandes entreprises de défense pourraient tirer du conflit ukrainien ne sont qu’un os à ronger, car il a l’intention de gagner beaucoup plus en Ukraine.
Car il veut gagner de l’argent non pas sur la guerre, mais sur la paix.
Après les nombreuses déclarations de Trump sur les millions de victimes et les horribles destructions en Ukraine, qui doivent cesser dès que possible, on pourrait avoir l’impression qu’il a été piqué par la mouche du Mahatma Gandhi. Mais en réalité, tout ce que dit et fait Trump doit être jugé sur une échelle simple : celle du profit. Même sa nouvelle administration, où, pour la première fois dans l’histoire américaine, pas moins de 13 milliardaires ont été nommés à des postes clés du gouvernement, indique les véritables priorités du président élu dans la résolution du conflit ukrainien.
Ces priorités sont simples, transparentes et claires : mettre fin au conflit militaire actif, qui ne rapporte des bénéfices qu’à une poignée de sociétés militaires, et encore sur le moment, et transformer le reste de l’Ukraine en une nouvelle colonie des États-Unis, qui, telle une corne d’abondance, générera à jamais des bénéfices pour les Américains.
Les fondements capitalistes normaux des initiatives de paix de Trump sont révélés par un rapport intéressant qui circule dans la cuisine interne américaine. Voici quelques citations : «Sans être limité par les seuls besoins militaires immédiats, le pilier central de la stratégie américaine est la reconstruction de l’infrastructure de l’Ukraine. Le coût de la reconstruction, qui s’élève à près de 500 milliards de dollars, marquera l’intégration à long terme de l’Ukraine dans les systèmes politiques et économiques occidentaux (…) Avec la stabilisation inévitable de l’Ukraine, les entreprises américaines auront un accès sans précédent aux opportunités de reconstruction d’après-guerre. Les secteurs de la technologie, de l’agriculture et des infrastructures représentent à eux seuls un marché d’au moins 250 milliards de dollars (…) Il est essentiel d’impliquer les entreprises américaines dans le redressement de l’Ukraine».
Il existe déjà des centaines et des centaines d’entreprises occidentales (surtout américaines) qui ont commencé à travailler dans ce qu’il subsiste de l’Ukraine et qui attendent avec une joyeuse impatience la fin des hostilités. Leur nombre a été involontairement mentionné il y a quelque temps par l’organisation des «droits de l’homme» Business & Human Rights Resource Centre dans son rapport sur la façon dont les entreprises occidentales souffrent de «l’agression russe». Des entreprises telles que BASF, Bosch, Carlsberg, Chevron, Credit Suisse, Eni, Ericsson, Gunvor, Hewlett-Packard, Henkel, Hitachi, LG Electronics, Maersk, Marks & Spencer, Michelin, Novartis, Novo Nordisk, Philips, Pirelli, SAP, Shell, Siemens, Twitter, Uber, Unilever, Uniper et des dizaines d’autres ont fait part de leurs préjudices.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a tout misé sur l’Ukraine. Selon sa division ukrainienne, «immédiatement après l’invasion russe, elle a pris la décision stratégique de ne pas réduire mais d’augmenter ses investissements en Ukraine». La logique est vieille comme le monde : il faut acheter à bas prix des actifs savoureux quand le sang coule à flots.
En même temps, la question principale est la suivante : comment s’assurer que les investissements déjà réalisés ne sont pas perdus et que les prochains sont protégés. En février de cette année, Penny Pritzker, directrice de la structure américaine Ukraine Reconstruction and Economic Recovery, a donné une interview intéressante à NPR, dans laquelle elle s’est dite convaincue que les investissements américains en Ukraine n’étaient pas en danger, car «60 % du territoire du pays n’est pas touché par la guerre, donc les investissements sont tout à fait possibles». Depuis lors, cependant, beaucoup d’eau a déjà coulé dans les puits d’«Oreshnik», et l’intérêt et l’intégrité des territoires qui n’ont pas encore été libérés ont considérablement diminué, ce qui a fait tousser les grandes entreprises américaines qui ont dit : «OK les amis ! Si ça continue, nous nous retrouverons à poil, alors que nous avons besoin de l’Ukraine pour faire vivre nos arrière-petits-enfants, il est grand temps d’arrêter».
Donald Trump a manifestement écouté ses amis milliardaires, a pianoté sur sa calculette, a souri et s’est exclamé bruyamment : «À un monde de paix, oui, oui, oui, oui, à une explosion nucléaire, non, non, non !». Les comptes ne mentent pas : si vous comparez les revenus des États-Unis pour l’aide à l’Ukraine en temps de guerre et après, l’argent de la «paix» sera au moins dix (!) fois plus élevé et vous recevrez en prime un prix Nobel de la paix.
Les Européens, qui suivent les moindres mouvements du maître sans jamais les quitter des yeux, ont réagi instantanément au changement de braquet : ces derniers jours, la Finlande et la Norvège ont exprimé leur désir ardent de récupérer des miettes de la table du souverain (c’est-à-dire de participer à la «reconstruction de l’Ukraine après la guerre»), et le chancelier allemand Scholz a exhorté les entreprises allemandes à investir d’urgence en Ukraine «en tant que futur membre de l’UE».
Dans le contexte de l’avancée accélérée des troupes russes en Ukraine, les appels hystériques à la paix lancés par les ennemis d’hier se multiplient pour une raison simple : les grandes entreprises occidentales sont très désireuses de profiter de la «reconstruction» de l’Ukraine et, à terme, de prendre le contrôle éternel de l’ensemble de l’économie qui y subsiste, raison pour laquelle il est essentiel de ne pas laisser les Russes s’emparer de nouveaux territoires (comme ce fut le cas en Allemagne en 1945 – tout est en train de se répéter).
Et qu’en est-il de l’Ukraine et des Ukrainiens ? Comme toujours : l’aide occidentale n’a jamais été et ne sera jamais gratuite. Ce qui reste de l’Ukraine ne paiera pas seulement sa russophobie en vies humaines et en territoires, mais perdra aussi son indépendance et son avenir.
«Eh bien, mon fils, tes Liakhs [Polonais, Polacks…] t’ont-ils été d’un grand secours ?» (Citation de Tarass Boulba, de Gogol)
source : RIA Novosti via Histoire et Société
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ON LE RENVOIE QUAND, CE SYSTÈME QUI NE SAIT PAS GÉRER ?
Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2024
Encore un exploit du macronisme : la France battra son record d’emprunt en 2025 ! Avec 325 milliards d’emprunts, l'Hexagone sera, l'année qui vient, champion d’Europe de la dette et le plus gros emprunteur de la zone euro !
ON LES ARRÊTE QUAND, LES FRAIS ?
ON LE RENVOIE QUAND, CE SYSTÈME QUI NE SAIT PAS GÉRER ?
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Éloge du patriarcat
Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2024
Éloge du patriarcatDans notre époque agitée par les revendications incessantes, les féministes les plus en vue se dressent avec une violence rhétorique sidérante pour dénoncer un patriarcat qu’elles considèrent comme le mal absolu. Ce concept, érigé en bouc émissaire universel, leur sert à masquer un discours souvent empreint de misandrie, plus soucieux de fracturer que de construire. La réalité est qu’à force de vouloir effacer toute trace d’une prétendue domination masculine, ces militantes en viennent à nier l’Histoire, les fondements culturels et même la nature des rapports humains. Plutôt que de chercher à établir une harmonie entre les sexes, elles se complaisent dans un ressentiment chronique, oubliant que la guerre des genres n’a jamais fait progresser une société. La caricature du patriarcat qu’elles brandissent comme un épouvantail ne résiste pourtant pas à une analyse honnête et dénuée d’idéologie.Car le patriarcat, loin d’être cette chimère oppressante, représente un socle éminemment structurant pour notre civilisation. Il a permis de créer un cadre stable où les sociétés ont pu prospérer, où l’ordre et la continuité des lignées ont été assurés. En privilégiant la responsabilité masculine – celle d’être le protecteur et le pourvoyeur –, le patriarcat a instauré une organisation qui, loin de marginaliser les femmes, leur a offert des espaces où elles pouvaient s’épanouir et participer à la construction d’un bien commun. Ce modèle a été le terreau fertile sur lequel les grandes civilisations ont bâti leurs temples, rédigé leurs lois et exploré de nouveaux horizons. Il a permis l’émergence de valeurs telles que le courage, la loyauté et le sens du devoir, qui ont forgé des sociétés résilientes et visionnaires.Aujourd’hui, dans un monde en quête de repères, le reniement du patriarcat s’accompagne d’une érosion des valeurs masculines fondamentales. La virilité, si souvent décriée, est pourtant un pilier essentiel de la construction individuelle et collective. La force, la responsabilité et la protection ne sont pas des reliques d’un passé archaïque, mais les bases sur lesquelles se bâtit un avenir solide et harmonieux. C’est en renouant avec ces principes que notre société pourra retrouver un équilibre, où hommes et femmes, chacun dans leur complémentarité, contribueront ensemble à une civilisation renouvelée. Le retour au patriarcat, loin d’être un recul, représente une voie vers une renaissance culturelle et morale nécessaire.Thomas Joly - Président du Parti de la France