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Le Parti de la France - Page 13

  • Réunion du Bilderberg : dépopulation et migration

    Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2025

    Le Grand Hôtel de  Stockholm, Suède, ou se réunit le groupe du Bilderberg, juin 2025
    Le Grand Hôtel de Stockholm, Suède, ou se réunit le groupe du Bilderberg, juin 2025

    La 71e réunion du très select et secret groupe du Bilderberg s’est tenue du 12 au 15 juin dernier au Grand Hotel de Stockholm, en Suède. Parmi les thèmes abordés, le sujet Dépopulation et Migration.

    Gabriel Attal et Edouard Philippe au Bilderberg pour parler dépopulation et migration

    Loin des caméras, à huit clos, avec interdiction de dévoiler à l’extérieur le contenu des discussions, 130 dirigeants politiques, financiers, patrons du secteur technologique et personnalités des médias les plus influents au monde se sont réunis à Stockholm pour la 71e réunion du Bilderberg. Parmi les participants, citons, Albert Bourla, PDG de Pfizer, dont l’entreprise a largement profité d’une pandémie mondiale, et qui semble désormais déterminé à exploiter nos données de santé pour « personnaliser les médicaments grâce à l’IA », les titans de la Silicon Valley, les grands prêtres de Big Pharma, Alex Karp et Peter Thiel de Palantir, entreprise issue des agences de renseignement, Wes Streeting, le ministre britannique de la Santé, le poupon de la macronie et ancien Premier ministre français, Gabriel Attal, et son prédécesseur à ce poste, Edouard Philippe.

    Comme toutes les années passées, le forum est entouré de secret, fonctionnant selon la règle de Chatham House, les participants y assistant à titre privé. Mais contrairement aux années précédentes, l’ordre du jour a été rendu public. Parmi les 13 sujets de discussion assez conventionnels pour un tel groupe mondialiste, Relations transatlantiques, Ukraine, Économie américaine, Europe, Moyen-Orient, Axe autoritaire, Innovation et résilience de la défense, IA et dissuasion et sécurité nationale, Prolifération, Géopolitique de l’énergie et des minéraux critiques, l’un d’eux ressort par les deux thèmes accouplés, comme pour bien montrer qu’ils vont si bien ensemble : Dépeuplement et Migration.

    Ce terme de dépopulation suggère une réduction active ou intentionnelle des effectifs de population par l’élite mondiale

    Ce terme de dépopulation suggère une réduction active ou intentionnelle des effectifs de population que ce soit par une baisse des taux de natalité, des stratégies migratoires ou des moyens plus agressifs. Étonnement, il fait écho à la fameuse « théorie complotiste » énonçant une volonté de réduction arbitraire de la population mondiale par les élites globalistes.

    Serait-ce à dire que les « dirigeants » mondiaux ne tiennent plus à cacher leur agenda anti-humain ? Le simple fait que le dépeuplement ait été nommé de manière aussi explicite le laisse penser ; et vient corroborer l’analyse des voix libres scientifiques, philosophiques, politiques, qui ont dénoncé et dénoncent encore la ‘pandémie’ covid et ses mesures de confinement, les obligations vaccinales via les injections géniques à ARNm et les discours de santé publique, qui ont eu des effets démographiques mesurables, en particulier chez les personnes âgées et vulnérables, et sur la fertilité et l’espérance de vie des jeunes, comme un des stratagèmes adoptés pour réduire le nombre d’humains sur terre.

    Les « dirigeants » mondiaux ne tiennent plus à cacher leur agenda anti-humain

    Accouplé à la dépopulation, les membres du Bilderberg ont traité de la « migration », de ses bénéfices, contrepoids économique à cette dépopulation dans la sphère occidentale. « Si l’on compare ce phénomène à celui de « dépeuplement », l’implication est claire : les décideurs politiques pourraient penser en termes de contrôle, de rééquilibrage et de redistribution démographiques, souvent sans le consentement du public » souligne un commentateur des affaires internationales, John Zachary.

    Également au menu de toutes ces discussions, notons la volonté par les membres du Bilderberg de réduire la consommation de viande, de promouvoir la viande synthétique cultivée en laboratoire et de normaliser les protéines d’insectes, de développer la centralisation de l’autorité – entre leurs mains, bien évidemment-, la gouvernance technocratique qui va de pair avec la disparition progressive et accélérée des souverainetés nationales en faveur d’un establishment mondial, grâce à l’IA et au crédit social.

    En clair, leur feuille de route, secrète, prépare à l’humanité un futur dystopique, autre que bienveillant, auprès de qui le 1984 de George Orwell fera figure de petit joueur.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • À deux jours de l’été, il fait beau ! Quelle surprise ! Juin est chaud ? Sacrilège ! Le soleil tape ? Horreur !

     

     

    Peut être une image de horizon et nuage

    Il suffit de trois jours de soleil et d’un thermomètre qui grimpe timidement au-dessus des 30°C pour que la grande messe des fanatiques du climat reprenne. Les prêtres verts montent en chaire, les lèvres tremblantes, les yeux révulsés, annonçant l’Apocalypse climatique. À deux jours de l’été, il fait beau ! Quelle surprise ! Juin est chaud ? Sacrilège ! Le soleil tape ? Horreur !
    Ces illuminés nous parlent de « réchauffement global » comme on brandit un totem. Chaque vague de chaleur devient un châtiment divin, chaque période sans pluie une punition pour nos péchés carbonés. Et comme toujours, ils réclament plus de lois, plus d’interdits, plus de contrôle. Les restrictions d’eau – leur nouvelle obsession - ne vont sans doute pas tarder. Peu importe que les nappes phréatiques soient pleines à ras bord. La réalité n’a aucune importance face à la ferveur idéologique.
    Ces gens ne veulent pas protéger la nature, ils veulent dominer la société. Leur écologie n’est qu’un masque : derrière les feuilles vertes se cache le poing serré. Ils rêvent d’un monde sans voitures, sans avions, sans viande – et sans liberté. Ce sont des ayatollahs en trottinette, des khmers verts en croisade.
    Il est temps de les renvoyer à leurs cabanes en bois et à leurs toilettes sèches ; et qu'ils nous laissent respirer – au soleil, enfin.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Plus de 200 chrétiens ont été tués au Nigéria

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2025

    Plus de 200 chrétiens ont été tués au Nigéria

    Dans la nuit du 13 au 14 juin, un groupe d’assaillants a attaqué le marché de Yelewata, dans l’État de Benue, ciblant des centaines de familles déplacées. Plus de 200 chrétiens ont été tués, dans une violence inimaginable : maisons incendiées, victimes égorgées ou abattues, y compris des enfants et des nourrissons.

    Le père Ukuma Jonathan Angbianbee, curé de la paroisse locale, a décrit des scènes terribles, avec des corps calcinés et des familles brisées. De nombreux déplacés ont fui vers d’autres villages où l’Église tente d’apporter secours et réconfort.

    Cette attaque s’inscrit dans une vague de violences répétées visant les communautés chrétiennes rurales de Benue. Face à cette tragédie, les responsables ecclésiastiques lancent un appel urgent à la solidarité internationale.

     

    Source : lesalonbeige

  • Donald Trump a échoué

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2025

    Donald Trump s’est présenté en annonçant qu’il mettrait fin à la guerre en Ukraine et ne déclencherait pas d’autre guerre. Il a échoué sur ces deux points. Il est évident qu’il n’a pas pu s’imposer face à «l’État profond» et au «lobby israélien» :
    1. Guerre en Ukraine

    L’attaque partiellement réussie de l’Ukraine contre la flotte de bombardiers stratégiques russes le 2 juin 2025, planifiée et menée avec l’aide des États-Unis pendant 18 mois, a détruit la confiance entre Poutine et Trump. Il convient notamment de souligner que, conformément au traité START II, ces avions doivent être visibles par satellite et ne peuvent être cachés dans des hangars. Ces coordonnées ont été transmises aux Ukrainiens, ce qui a montré que Trump et les États-Unis étaient partiaux dans cette guerre et inaptes à jouer le rôle de médiateurs.

    2. Attaque d’Israël contre l’Iran

    Cette attaque a également été planifiée pendant un an et menée avec l’aide des États-Unis et de leurs alliés dans cette région (Arabie saoudite, Irak, Oman, etc.). Une opposition interne coopérant avec Israël a certainement participé à cette attaque. Sinon, il aurait été impossible de connaître les lieux de séjour des personnes assassinées.

    Le renversement du régime syrien, au cours duquel Assad a été remplacé par une bande de coupeurs de têtes pro-occidentaux, faisait manifestement partie de ces préparatifs, avec le recul.

    Il est particulièrement piquant de noter que le négociateur en chef iranien pour les négociations entre l’AIEA et l’Iran (Amirhossein Faghihi) a été assassiné. Ces négociations auraient dû avoir lieu le 15 juin 2025 et ont manifestement été empêchées de manière délibérée.

    Cette attaque est clairement contraire au droit international, car la menace que représente l’Iran pour Israël a été tout autant fantasmée que l’étaient autrefois les armes de destruction massive irakiennes, qui ont servi de prétexte à la deuxième guerre en Irak. L’affirmation selon laquelle l’Iran posséderait déjà de l’uranium de qualité militaire ou serait sur le point d’enrichir de l’uranium à ce niveau est un mensonge éhonté.

    Lors de l’attaque des bombardiers israéliens, des informations provenant de l’AIEA ont apparemment été utilisées, ce qui montre clairement que cette organisation n’est pas neutre.

    Ce qui est vraiment en jeu dans ce conflit

    Le conflit entre Israël et l’Iran est une guerre par procuration, tout comme la guerre entre l’Ukraine et la Russie. L’ingérence des États-Unis et de la Grande-Bretagne en Iran remonte à 1953, lorsque le premier ministre démocratiquement élu, Mossadegh, a été renversé par la CIA. Après le renversement du Shah, qui a ensuite été exilé, la République iranienne et les États-Unis sont entrés dans un conflit permanent. Israël n’a ici qu’un rôle de chien de garde.

    Tout ce débat autour du programme nucléaire iranien n’est qu’un écran de fumée. En réalité, il s’agit de maintenir l’ordre mondial unipolaire.

    Le contrôle de l’Occident sur l’Iran pourrait bloquer le développement économique de l’Asie et ainsi défendre l’ordre mondial unipolaire. À l’inverse, l’Iran, en tant que plaque tournante du transport, joue un rôle clé dans le développement d’un ordre mondial multipolaire :

    • En 2021, la Chine a conclu un partenariat stratégique avec l’Iran, qui permet à ce dernier de contourner les sanctions occidentales. La Chine obtient du pétrole bon marché et investit des milliards en Perse. Le transport du pétrole iranien bon marché s’effectue par chemin de fer. La «nouvelle route de la soie» promue par la Chine traverse également la Perse.

    • Une deuxième ligne de transport importante est le corridor nord-sud, qui est en service depuis 2022. Il est destiné à transporter des marchandises de la Russie à l’Inde en passant par l’Iran. Ce corridor, cauchemar des puissances maritimes et concurrent du canal de Suez, permet également à la Russie de contourner les sanctions économiques.

    Comme on peut le constater, la Perse est une plaque tournante pour le trafic nord-sud et est-ouest, contournant les routes maritimes. Les puissances maritimes occidentales perdent automatiquement leur importance. L’ordre mondial unipolaire avec ses «règles» imposées par les élites occidentales perd alors tout son sens.

    L’objectif de l’attaque israélienne est donc un renversement politique en Iran afin d’entraver le développement économique de l’Asie.

    L’attaque d’Israël contre l’Iran est donc encore plus dangereuse que la guerre par procuration menée par l’Ukraine contre la Russie, car elle affecte les intérêts de toute l’Asie. On peut donc supposer que les pays du BRICS, à savoir la Russie, la Chine et l’Inde, n’accepteront pas sans réagir un renversement du régime iranien orchestré par l’Occident. Toute la démarche de l’Occident rappelle le coup d’État de Maïdan. Il semble que l’on veuille porter au pouvoir un petit groupe d’opposants. Un tel coup d’État ne fonctionnera probablement pas une deuxième fois.

    On peut également considérer toute l’action d’Israël comme faisant partie de la guerre contre la Chine, sans cesse fantasmée. Israël et les États-Unis risquent ainsi que la Chine s’écarte de sa politique jusqu’ici réservée et soutienne directement l’Iran.

    Outre le soutien militaire à l’Iran, la Chine dispose toutefois d’autres options

    En réaction aux droits de douane punitifs imposés par Trump, la Chine a décrété un embargo sur les exportations d’aimants et de terres rares. La Chine produit environ quatre fois plus de terres rares que les États-Unis. La Chine met ainsi en péril la production dans le secteur de l’électronique et, par conséquent, la production d’armements, de voitures électriques et bien d’autres choses encore.

    La victoire d’Israël lors de son attaque contre l’Iran peut donc être comparée à la victoire de l’Allemagne hitlérienne sur la Pologne, qui n’a fait que créer de nouveaux ennemis à Hitler. Il pourrait en être de même pour Israël. Israël a remporté une victoire à la Pyrrhus, qui porte déjà en elle les germes de la défaite.

    À l’origine, avec sa politique «America first», Trump poursuivait l’idée d’abandonner la prétention unipolaire de l’Amérique et d’accepter un monde multipolaire. Cela aurait été la solution au problème le plus urgent de l’Amérique, à savoir la question de la dette. Les dépenses pour des guerres inutiles auraient été supprimées et de nouvelles opportunités commerciales, par exemple avec la Russie, auraient été possibles pour augmenter les recettes. Mais tout cela est désormais terminé. Les États-Unis sont toujours sur la voie de la ruine. Les besoins annuels de refinancement des États-Unis s’élèvent actuellement à 10 000 milliards de dollars. Les investisseurs étrangers ne sont plus disposés à les financer. En fin de compte, la FED doit intervenir et simplement imprimer de l’argent pour sauver le budget. Cela creuse encore davantage la tombe du dollar américain et accélère la dédollarisation de l’économie mondiale. La hausse actuelle du cours de l’or confirme cette tendance.

    Le sauvetage des États-Unis par la voie démocratique a donc échoué. Le «Deep State» ne peut être destitué et continuera à entraîner les États-Unis vers leur perte.

    source : Unser Mitteleuropa via Euro-Synergies

  • Une paroisse moderniste de New York tenue par un « prêtre gay » a accueilli un pasteur transgenre

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2025

    Une paroisse moderniste de New York tenue par un « prêtre gay » a accueilli un pasteur transgenre

    L’Eglise moderniste ne cesse de sombrer dans les pires folies. Aux Etats-Unis, dans une paroisse abusivement dite « catholique » de New York tenue par le père Fred Daley, qui se déclare lui-même « prêtre homosexuel », un sermon dominical a été prononcé par un pasteur épiscopalien « transgenre », au cours d’une « messe de la fierté » LGBT.

    Scandale public

    Les faits scandaleux se déroulaient dans l’église All Saints de Syracuse.

    Le père Fred Daley a commencé sa prétendue messe en saluant les paroissiens par un « Namasté », selon la « coutume hindoue » par laquelle « nous reconnaissons la dignité de chaque personne, l’étincelle de l’esprit, l’étincelle de Dieu en chacun ».

    L’église était décorée de de drapeaux LGBT, d’une bannière indiquant « Immigrants Welcome » et d’une projection d’une croix au milieu d’un drapeau LGBT.

    « Ici, à All Saints… nous célébrons le week-end des fiertés », a déclaré Daley à l’assemblée.

    Il a ensuite accueilli « M. Kevin Noble Ward », né biologiquement en tant que femme et membre d’une paroisse protestante locale, pour prononcer le sermon dominical et « partager son cheminement vers la vérité – sa vérité ».

    Ward, dont le portrait a déjà été présenté dans un article du Washington Post faisant la promotion de l’idéologie transgenre, a longuement parlé lors de son sermon de sa décision de « passer du statut de femme à celui d’homme » et de son rejet d’une ancienne confession qu’elle a décrite comme « anti-LGBTQIA+ ».

    À la fin de cette prétendue messe, les paroissiens ont été invités à faire un don à « Break Margins Africa », une initiative qui travaille avec les « travailleurs du sexe » masculins au Kenya et qui s’étend désormais aux « jeunes adultes et adolescents trans et lesbiennes ».

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info