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franc-maçons

  • Euthanasie : les franc-maçons à la manœuvre

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2024

    Euthanasie : les franc-maçons à la manœuvre

    Un article du Figaro et un autre du Parisien soulignent l’activisme des frères obscurs dans la mise en place d’une légalisation de l’euthanasie.
    Les loges maçonniques, qui réclament une libéralisation de l’aide à mourir depuis de longues années, entendent peser sur les débats à venir malgré des nuances entre les obédiences.

    Le 8 novembre, le chef de l’État se rendait rue Cadet à l’hôtel du Grand Orient de France, pour les 250 ans de la plus ancienne obédience maçonnique du pays. Le «droit à mourir dans la dignité» allait bientôt faire l’objet d’une «loi de liberté et de respect», a-t-il assuré au cours du long discours prononcé sous le buste proéminent d’une gigantesque Marianne.

    Le président de la République a salué la mémoire de deux grands maçons engagés en faveur de l’euthanasie, Pierre Simon et Henri Caillavet. Ce dernier avait déposé une première proposition de loi relative au «droit de vivre sa mort» en 1978. Pour le grand maître du Grand Orient de France, Guillaume Trichard, ce projet de loi est «un soulagement».
     

    Alors que le débat sur le projet de loi sur la fin de vie doit démarrer au Parlement fin mai, le Grand Orient de France entend peser en faveur de la « loi de l’ultime liberté ».

    Guillaume Trichard, grand maître du Grand Orient de France (GODF), y voit la

    « loi de l’ultime liberté, l’émancipation des êtres humains, libres de choisir leur mort, par rapport aux dogmes religieux ».

    Il consacre ainsi le caractère satanique de cette nouvelle loi. La République dite française a toujours eu besoin du sang du peuple pour rendre un culte à Lucifer.

     

    Source : lesalonbeige

  • Basses manoeuvres au ministère de la justice, entre vols d’organes et franc-maçons

    Publié par Guy de Laferrière le 14 février 2023

    Basses manoeuvres au ministère de la justice, entre vols d’organes et franc-maçons

    Valeurs Actuelles dévoile dans une enquête accablante et surréaliste le drame subi par Frédérique Martin-Plé, substitute du procureur à Bordeaux, qui dénonce le harcèlement moral, les représailles et les abus de pouvoir commis contre elle par sa hiérarchie depuis des années.

    Avocate, Frédérique Martin-Plé suscite des jalousies dans le petit monde judiciaire local, bourgeois et franc-maçon. Des confrères, soutenus par le bâtonnier, tentent de l’évincer.

    Elle poursuit l’hôpital de la ville pour homicide involontaire par imprudence après la mort de son bébé laissé sans surveillance en 2009. Devenue magistrate, Mme Martin-Plé fait condamner l’établissement en 2015, puis en appel en 2016. Ajoutant à l’horreur, elle et son mari découvrent que les organes de leur fille ont été prélevés (certains ont disparu) sans leur autorisation. L’autorité judiciaire fait tout pour étouffer l’affaire. En 2017, un blâme lui est infligée sur avis du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) pour avoir « mis en cause » le procureur de Saintes dans la gestion du décès de sa fille.

    Olivier Le Mailloux, avocat au barreau, membre du conseil de l’ordre et franc-maçon (grade de “prince Rose-Croix”) la met gravement en cause. Elle alerte sa hiérarchie et dépose plainte le 7 décembre 2019 pour diffamation, menace et appels malveillants. Mais le procureur général ignore sa situation puis rédige contre elle, seul et dans son dos, un rapport à charge de 14 pages, transmis à la direction des services judiciaires (DSJ) du ministère, sans jamais l’avoir entendue. ​

    Le 27 avril 2021, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti saisit l’inspection générale de la Justice contre la substitute, qui est enfin entendue, vingt-deux mois après son premier signalement. L’enquête est menée à charge. Le 24 janvier 2022, elle est renvoyée devant le CSM par saisine du ministre. Elle est placée en arrêt durant trois mois, période choisie par sa hiérarchie pour inspecter son service, la contraignant à travailler plus de soixante-dix heures par semaine et aggravant ainsi son état de stress peu après la naissance de sa seconde fille. La convocation par le procureur général en vue d’un avertissement, à laquelle la substitute en congé maladie ne peut se rendre, finit de l’achever.

    En congé longue maladie pour burn-out depuis le 5 mars 2022, la substitute, effondrée moralement et physiquement, a fait une déclaration de maladie professionnelle. La DSJ a rejeté ses trois demandes de protection fonctionnelle et refusé toute médiation. Le CSM a diligenté une “expertise psychiatrique”, déclinée par la magistrate.

    L’obstination de l’administration est d’autant plus frappante que Mme Martin-Plé est irréprochable professionnellement et ses notations “excellentes”. Le 15 décembre, la magistrate reçoit une convocation pour ouverture d’une information judiciaire devant le juge d’instruction de Saintes.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un réseau de francs-maçons criminels

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

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    Désormais 19 personnes sont mises en examen dans le dossier de la loge “Athanor”, évoqué en mars 2021, qui compte un assassinat, une tentative d’assassinat, une surveillance en vue d’un assassinat, plusieurs agressions crapuleuses… le tout sur fond de barbouzeries privées d’une ampleur absolument inédite.

    Un policier de la DGSI a reconnu en garde à vue avoir fourni l’adresse privée du pilote de rallye Laurent Pasquali, assassiné en 2018 par un réseau de francs-maçons criminels, sur fond de dette impayée. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs. Le tentaculaire dossier du réseau de francs-maçons à l’origine d’une série de contrats criminels – dont l’assassinat du pilote de rallye Laurent Pasquali en 2018 et la tentative d’assassinat d’un chef d’entreprise à Créteil en 2020 – vient de s’enrichir d’une mise en examen particulièrement sensible. L’agent était en poste depuis 2011 et également passé par la DGSE entre 1996 et 2007.

    D’après ce policier, c’est l’un des deux cerveaux du groupe criminel, le “vénérable” Frédéric V., un ancien communiquant de PSA reconverti dans la sécurité privée et les contrats de recouvrement de dettes violents, qui l’a sollicité pour trouver l’adresse privée du pilote. Frédéric V. avait lui-même été missionné par un couple de notables.

     

    Source : lesalonbeige

  • Marseille : la vie de château des francs-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2022

    Peu de gens le savent, mais le château saint-Antoine de Marseille, popularisé par Marcel Pagnol dans le Château de ma mère, a été racheté par la GNLF en 2017 à Marseille-Aménagement (ex-Soleam) après deux décennies d’abandon. Celle-ci l’a rénové entièrement en style contemporain, ajouté une extension de style moderne et s’en sert pour les réunions de ses diverses loges.

     

    Cette acquisition marque un changement de style complet avec la personnalité du comte Guy Léon Marie de Robien, qui acquit le château en 1907 et lui donna son nom actuel. En effet, Louise Bouffier de Toulon, fondatrice de l’œuvre « Le pain des pauvres » dont le culte est voué à Saint-Antoine de Padoue, touchée par la foi profonde du comte, lui donna une statuette à l’effigie du Saint, avant de mourir en 1908. Le comte décida alors de l’installer dans sa petite chapelle située dans les étages afin de placer le château sous sa bienveillance. En 1914, alors que la guerre éclata, il se porta volontaire et devint lieutenant colonel de réserve affecté au 26e régiment d’infanterie. Il tomba au champ d’honneur le 5 janvier 1915, à Roclincourt dans le Pas-de-Calais.

    Le comte de Robien fit notamment bâtir l’aile ouest du château, sur laquelle il fit sculpter un blason composé de deux lions rampants tenant l’écusson de la maison de Robien, le tout surmonté d’une couronne. Au-dessous, s’inscrit la devise « Sans vanité ni faiblesse » ainsi que « ROCH BIHAN », nom transformé au XIVe siècle en  « de Robien« .
     
  • Les franc-maçons encore à la manoeuvre

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2019

    Auteur : Michel Janva

    Les franc-maçons encore à la manoeuvre

    La réforme des institutions, qui sera au menu du Conseil des ministres d’ici à la fin du mois, est examinée de près par la franc-maçonnerie. Depuis quelques semaines, les francs-maçons du Parlement, quelque 200 à 250 députés et sénateurs, surtout des sénateurs, des collaborateurs parlementaires ou des hauts fonctionnaires, ont décidé de se saisir du sujet.

    Christophe-André Frassa, le président de la « Fraternelle parlementaire », membre du GODF, sénateur de 50 ans, élu en 2008 pour représenter les Français de l’étranger, appartient au parti des Républicains. Mais au sein de la fraternelle, la notion de parti n’a pas vraiment de sens… Il explique :

    « La réforme des institutions doit être synonyme de la défense de la République, de la séparation effective des pouvoirs, des libertés publiques et des droits parlementaires, des principes pour lesquels les francs-maçons ont payé de leur vie ».

    Sic. A propos de la séparation effective des pouvoirs, il sera opportun que la République se sépare de la franc-maçonnerie. Mais il est vrai que ce serait dissoudre de fait cette République…

    Dans quelques mois, les francs-maçons du Parlement se pencheront aussi sur les lois de bioéthique. Lois qu’ils ont préparé dans le secret des loges.

     

    Source :lesalonbeige