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franc-maçons - Page 2

  • Marseille : la vie de château des francs-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2022

    Peu de gens le savent, mais le château saint-Antoine de Marseille, popularisé par Marcel Pagnol dans le Château de ma mère, a été racheté par la GNLF en 2017 à Marseille-Aménagement (ex-Soleam) après deux décennies d’abandon. Celle-ci l’a rénové entièrement en style contemporain, ajouté une extension de style moderne et s’en sert pour les réunions de ses diverses loges.

     

    Cette acquisition marque un changement de style complet avec la personnalité du comte Guy Léon Marie de Robien, qui acquit le château en 1907 et lui donna son nom actuel. En effet, Louise Bouffier de Toulon, fondatrice de l’œuvre « Le pain des pauvres » dont le culte est voué à Saint-Antoine de Padoue, touchée par la foi profonde du comte, lui donna une statuette à l’effigie du Saint, avant de mourir en 1908. Le comte décida alors de l’installer dans sa petite chapelle située dans les étages afin de placer le château sous sa bienveillance. En 1914, alors que la guerre éclata, il se porta volontaire et devint lieutenant colonel de réserve affecté au 26e régiment d’infanterie. Il tomba au champ d’honneur le 5 janvier 1915, à Roclincourt dans le Pas-de-Calais.

    Le comte de Robien fit notamment bâtir l’aile ouest du château, sur laquelle il fit sculpter un blason composé de deux lions rampants tenant l’écusson de la maison de Robien, le tout surmonté d’une couronne. Au-dessous, s’inscrit la devise « Sans vanité ni faiblesse » ainsi que « ROCH BIHAN », nom transformé au XIVe siècle en  « de Robien« .
     
  • Les franc-maçons encore à la manoeuvre

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2019

    Auteur : Michel Janva

    Les franc-maçons encore à la manoeuvre

    La réforme des institutions, qui sera au menu du Conseil des ministres d’ici à la fin du mois, est examinée de près par la franc-maçonnerie. Depuis quelques semaines, les francs-maçons du Parlement, quelque 200 à 250 députés et sénateurs, surtout des sénateurs, des collaborateurs parlementaires ou des hauts fonctionnaires, ont décidé de se saisir du sujet.

    Christophe-André Frassa, le président de la « Fraternelle parlementaire », membre du GODF, sénateur de 50 ans, élu en 2008 pour représenter les Français de l’étranger, appartient au parti des Républicains. Mais au sein de la fraternelle, la notion de parti n’a pas vraiment de sens… Il explique :

    « La réforme des institutions doit être synonyme de la défense de la République, de la séparation effective des pouvoirs, des libertés publiques et des droits parlementaires, des principes pour lesquels les francs-maçons ont payé de leur vie ».

    Sic. A propos de la séparation effective des pouvoirs, il sera opportun que la République se sépare de la franc-maçonnerie. Mais il est vrai que ce serait dissoudre de fait cette République…

    Dans quelques mois, les francs-maçons du Parlement se pencheront aussi sur les lois de bioéthique. Lois qu’ils ont préparé dans le secret des loges.

     

    Source :lesalonbeige