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  • Un prêtre félon chez les francs-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2025

    Un prêtre félon chez les francs-maçons

    Un prêtre autrichien félon qui travaille depuis treize ans au Dicastère pour le dialogue interreligieux a donné une conférence publique devant une loge maçonnique, niant que l’appartenance à la franc-maçonnerie et au catholicisme soient incompatibles.

    Intervenant à la Grande Loge Nationale Française

    En juin dernier, le père Michael Heinrich Weninger a donné une conférence sur les relations entre l’Église et la franc-maçonnerie à la Grande Loge Nationale Française (GLNF) à Paris. Son intervention, disponible en vidéo, s’inscrivait dans le cadre des conférences maçonniques « Villard de Honnecourt ».

    Lors de son exposé devant la Grande Loge, il a prétendu que le terme « Grand Architecte de l’Univers », qui est utilisé en Franc-Maçonnerie pour désigner la divinité, correspond au Yahvé des Juifs, à l’Allah des Musulmans et à la Trinité des Chrétiens, une affirmation très choquante chez un prêtre catholique.

    Contredisant la doctrine catholique maintes fois répétée, ce père Michael Heinrich Weninger a également prétendu que l’appartenance à la franc-maçonnerie ne constituait plus un motif d’excommunication (« Un franc-maçon catholique n’est plus excommunié du seul fait de son appartenance à la franc-maçonnerie ; c’est sensationnel, n’est-ce pas ? »), car, selon lui, la franc-maçonnerie régulière de tradition anglo-saxonne serait compatible avec la foi catholique. Cette déclaration contredit non seulement directement l’interdiction séculaire d’appartenance à la franc-maçonnerie, tant pour le clergé que pour les laïcs de l’Église, mais ignore également les contradictions radicales entre l’ésotérisme maçonnique et la doctrine catholique.

    Menteur patenté

    Ce prêtre félon fonde ses prétentions sur le fait que l’appartenance à la franc-maçonnerie était expressément mentionnée et condamnée dans l’ancien Code de droit canonique de 1917 (canon 2335 : « Quiconque adhère à une secte maçonnique ou à toute autre société similaire agissant contre l’Église et l’autorité civile légitime encourt ipso facto l’excommunication, dont la levée est réservée au Siège apostolique »). Lorsque le nouveau Code fut approuvé en 1983, sous Jean-Paul II, cette mention expresse fut omise et remplacée par une condamnation générale de l’appartenance à des associations incompatibles avec l’Église (canon 1374 : « Quiconque adhère à une association qui complote contre l’Église sera puni d’une juste peine ; quiconque favorise ou dirige une telle association sera puni d’interdit »).

    Pour le Père Weninger, cette modification du règlement signifie que l’appartenance à la franc-maçonnerie n’est plus pénalisée pour les catholiques. Voilà des propos clairement mensongers puisque lors de l’approbation du nouveau Code, la Congrégation pour la doctrine de la foi, présidée par le cardinal Joseph Ratzinger, avait publié en 1983 une déclaration précisant qu’il ne s’agissait que d’une modification générale du texte et que l’ appartenance à la franc-maçonnerie demeurait interdite :

    Le jugement négatif de l’Église sur les associations maçonniques n’a pas changé, car leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Église ; par conséquent, l’adhésion à ces associations demeure interdite par l’Église. Les fidèles qui y adhèrent sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la Sainte Communion. (Déclaration sur la Franc-Maçonnerie du 26 novembre 1983)

    Ainsi, les propos de ce prêtre félon sont contraires à l’interprétation officielle de l’Église elle-même. Lors de son discours, il a également affirmé qu’il n’y avait pas eu de nouvelles condamnations de la franc-maçonnerie au cours des deux derniers pontificats. Là encore, il est très facile de vérifier que ce n’est pas le cas. En 2023, le Dicastère pour la doctrine de la foi, présidé par le cardinal Fernandez, a souligné que « l’appartenance active à la franc-maçonnerie est interdite à un fidèle, en raison de l’incompatibilité entre la doctrine catholique et la franc-maçonnerie ». Par conséquent, « ceux qui se sont inscrits formellement et consciemment dans des loges maçonniques et ont embrassé les principes maçonniques » sont soumis aux dispositions de la Déclaration de 1983 susmentionnée (Note pour l’audience du Saint-Père du 13 novembre 2023).

    Enfin, ce prêtre félon a eu le culot d’affirmer que, selon lui, les condamnations de la franc-maçonnerie étaient de simples malentendus historiques, causés par des divergences politiques, car les éléments qui unissaient l’Église et la franc-maçonnerie étaient « bien plus nombreux » que ceux qui les divisaient. Il a conclu en répétant avec insistance l’incroyable mensonge selon lequel aucun franc-maçon catholique n’est excommunié simplement parce qu’il était franc-maçon.

    Soi-disant « aumônier de trois loges maçonniques autrichiennes »

    Le Père Michael Heinrich Weninger a une histoire curieuse. Il était diplomate et ambassadeur d’Autriche. Marié de 1971 à 2009, il fut ordonné prêtre par le cardinal Christoph Schönborn deux ans après son veuvage, à l’âge de 60 ans, après avoir terminé ses études ecclésiastiques dans les années 1970. Il exerça d’abord son ministère sacerdotal à Vienne et fut responsable du dialogue interreligieux pour la Conférence épiscopale autrichienne. Un peu plus d’un an après son ordination, sous la direction du pape Benoît XVI, il commença à travailler pour le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, s’occupant des relations avec les musulmans.

    Durant le pontificat de François, ses affinités maçonniques ont été révélées. Dans sa thèse de doctorat, approuvée summa cum laude à l’Université pontificale grégorienne (2019), le prêtre a plaidé pour la compatibilité entre l’Église catholique et la franc-maçonnerie. Sur la base de cette thèse, il a publié en 2020 un ouvrage intitulé La Loge et l’Autel : Sur la réconciliation de l’Église catholique et de la franc-maçonnerie régulière, dont il a ouvertement envoyé des exemplaires au pape François et au cardinal Schönborn.

    Non seulement le prêtre semble appartenir à la franc-maçonnerie, mais en octobre 2014, la Grande Loge des Maîtres Maçons de Marca a annoncé sa nomination comme aumônier de trois loges maçonniques autrichiennes et la célébration d’une messe pour le cinquième anniversaire de l’une d’elles. Des francs-maçons se réclamant de diverses religions ont participé à la messe. À cette époque, le père Weninger était encore activement impliqué au sein du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux.

    Étant donné le profil relativement élevé de ce prêtre félon et ses liens avec le Vatican, il est difficile de ne pas considérer la conférence publique de ce Père Weninger comme un possible ballon d’essai pour voir si le nouveau pape réagira ou non à cette défiance à la position traditionnelle de l’Église sur la franc-maçonnerie.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Attaques contre l’école catholique : les franc-maçons à la manoeuvre

    Publié par Guy de Laferrière le 14 octobre 2024

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    Dimanche 13 octobre, l’ensemble des présidents des Loges paloises du Grand Orient de France a cosigné une tribune qui, au nom de la laïcité à l’école, soutient la décision du renvoi du directeur de l’Immaculée Conception Christian Espeso.

    « Face à l’effervescence qui entoure actuellement les questions liées à l’enseignement privé sous contrat en Béarn, face à la pression de certaines communautés religieuses conservatrices », les Francs-maçons « fervents défenseurs des valeurs de l’idéal républicain – la fraternité, l’égalité, la liberté – […] tiennent à rappeler leur indéfectible attachement à toutes ces valeurs essentielles au sein de tous les établissements du système éducatif, dans le respect des principes fondamentaux de la laïcité, clé de voûte de notre République. La laïcité à l’école a pour raison d’être d’émanciper les enfants, d’aiguiser leur esprit critique et aussi de les préparer à être des citoyens libres et éclairés ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Euthanasie : les franc-maçons à la manœuvre

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2024

    Euthanasie : les franc-maçons à la manœuvre

    Un article du Figaro et un autre du Parisien soulignent l’activisme des frères obscurs dans la mise en place d’une légalisation de l’euthanasie.
    Les loges maçonniques, qui réclament une libéralisation de l’aide à mourir depuis de longues années, entendent peser sur les débats à venir malgré des nuances entre les obédiences.

    Le 8 novembre, le chef de l’État se rendait rue Cadet à l’hôtel du Grand Orient de France, pour les 250 ans de la plus ancienne obédience maçonnique du pays. Le «droit à mourir dans la dignité» allait bientôt faire l’objet d’une «loi de liberté et de respect», a-t-il assuré au cours du long discours prononcé sous le buste proéminent d’une gigantesque Marianne.

    Le président de la République a salué la mémoire de deux grands maçons engagés en faveur de l’euthanasie, Pierre Simon et Henri Caillavet. Ce dernier avait déposé une première proposition de loi relative au «droit de vivre sa mort» en 1978. Pour le grand maître du Grand Orient de France, Guillaume Trichard, ce projet de loi est «un soulagement».
     

    Alors que le débat sur le projet de loi sur la fin de vie doit démarrer au Parlement fin mai, le Grand Orient de France entend peser en faveur de la « loi de l’ultime liberté ».

    Guillaume Trichard, grand maître du Grand Orient de France (GODF), y voit la

    « loi de l’ultime liberté, l’émancipation des êtres humains, libres de choisir leur mort, par rapport aux dogmes religieux ».

    Il consacre ainsi le caractère satanique de cette nouvelle loi. La République dite française a toujours eu besoin du sang du peuple pour rendre un culte à Lucifer.

     

    Source : lesalonbeige

  • Basses manoeuvres au ministère de la justice, entre vols d’organes et franc-maçons

    Publié par Guy de Laferrière le 14 février 2023

    Basses manoeuvres au ministère de la justice, entre vols d’organes et franc-maçons

    Valeurs Actuelles dévoile dans une enquête accablante et surréaliste le drame subi par Frédérique Martin-Plé, substitute du procureur à Bordeaux, qui dénonce le harcèlement moral, les représailles et les abus de pouvoir commis contre elle par sa hiérarchie depuis des années.

    Avocate, Frédérique Martin-Plé suscite des jalousies dans le petit monde judiciaire local, bourgeois et franc-maçon. Des confrères, soutenus par le bâtonnier, tentent de l’évincer.

    Elle poursuit l’hôpital de la ville pour homicide involontaire par imprudence après la mort de son bébé laissé sans surveillance en 2009. Devenue magistrate, Mme Martin-Plé fait condamner l’établissement en 2015, puis en appel en 2016. Ajoutant à l’horreur, elle et son mari découvrent que les organes de leur fille ont été prélevés (certains ont disparu) sans leur autorisation. L’autorité judiciaire fait tout pour étouffer l’affaire. En 2017, un blâme lui est infligée sur avis du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) pour avoir « mis en cause » le procureur de Saintes dans la gestion du décès de sa fille.

    Olivier Le Mailloux, avocat au barreau, membre du conseil de l’ordre et franc-maçon (grade de “prince Rose-Croix”) la met gravement en cause. Elle alerte sa hiérarchie et dépose plainte le 7 décembre 2019 pour diffamation, menace et appels malveillants. Mais le procureur général ignore sa situation puis rédige contre elle, seul et dans son dos, un rapport à charge de 14 pages, transmis à la direction des services judiciaires (DSJ) du ministère, sans jamais l’avoir entendue. ​

    Le 27 avril 2021, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti saisit l’inspection générale de la Justice contre la substitute, qui est enfin entendue, vingt-deux mois après son premier signalement. L’enquête est menée à charge. Le 24 janvier 2022, elle est renvoyée devant le CSM par saisine du ministre. Elle est placée en arrêt durant trois mois, période choisie par sa hiérarchie pour inspecter son service, la contraignant à travailler plus de soixante-dix heures par semaine et aggravant ainsi son état de stress peu après la naissance de sa seconde fille. La convocation par le procureur général en vue d’un avertissement, à laquelle la substitute en congé maladie ne peut se rendre, finit de l’achever.

    En congé longue maladie pour burn-out depuis le 5 mars 2022, la substitute, effondrée moralement et physiquement, a fait une déclaration de maladie professionnelle. La DSJ a rejeté ses trois demandes de protection fonctionnelle et refusé toute médiation. Le CSM a diligenté une “expertise psychiatrique”, déclinée par la magistrate.

    L’obstination de l’administration est d’autant plus frappante que Mme Martin-Plé est irréprochable professionnellement et ses notations “excellentes”. Le 15 décembre, la magistrate reçoit une convocation pour ouverture d’une information judiciaire devant le juge d’instruction de Saintes.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un réseau de francs-maçons criminels

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

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    Désormais 19 personnes sont mises en examen dans le dossier de la loge “Athanor”, évoqué en mars 2021, qui compte un assassinat, une tentative d’assassinat, une surveillance en vue d’un assassinat, plusieurs agressions crapuleuses… le tout sur fond de barbouzeries privées d’une ampleur absolument inédite.

    Un policier de la DGSI a reconnu en garde à vue avoir fourni l’adresse privée du pilote de rallye Laurent Pasquali, assassiné en 2018 par un réseau de francs-maçons criminels, sur fond de dette impayée. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs. Le tentaculaire dossier du réseau de francs-maçons à l’origine d’une série de contrats criminels – dont l’assassinat du pilote de rallye Laurent Pasquali en 2018 et la tentative d’assassinat d’un chef d’entreprise à Créteil en 2020 – vient de s’enrichir d’une mise en examen particulièrement sensible. L’agent était en poste depuis 2011 et également passé par la DGSE entre 1996 et 2007.

    D’après ce policier, c’est l’un des deux cerveaux du groupe criminel, le “vénérable” Frédéric V., un ancien communiquant de PSA reconverti dans la sécurité privée et les contrats de recouvrement de dettes violents, qui l’a sollicité pour trouver l’adresse privée du pilote. Frédéric V. avait lui-même été missionné par un couple de notables.

     

    Source : lesalonbeige