Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 9

  • Fêtes de Jeanne d’Arc : l’un des deux pages exclu pour… royalisme

    Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2024

    statue-jeanne-darc-paris-pyramides-230x180.jpg

    La commune d’Orléans annonce, vendredi 12 avril, qu’elle a décidé d’exclure des Fêtes de Jeanne d’Arc l’un des adolescents qui avait été choisi pour être l’un des deux pages de la Jeanne 2024  :

    “il est ainsi avéré que l’adolescent a participé à la diffusion d’idées contraires aux valeurs de la République, contraires aux valeurs de l’association, de la mairie, et contraires à l’esprit des Fêtes de Jeanne d’Arc”.

    “il n’est dès lors pas acceptable qu’il puisse continuer de figurer un page de Jeanne d’Arc et nous lui avons immédiatement demandé de se retirer de son rôle. Dans le souci de préserver la bonne tenue des Fêtes de Jeanne d’Arc, il a accédé à notre demande, et l’avait lui-même proposé”.

    Dans un article d’Europe 1, on apprend qu’un dossier à été constitué contre l’adolescent par un groupuscule d’extrême-gauche, et il est exclu parce que ce dossier révèle qu’il a participé à des manifestations de l’Action française.

    Pour mémoire, Jeanne d’Arc disait :

    « Je viens de la part du roi des Cieux pour faire lever le siège d’Orléans et pour conduire le roi à Reims pour son couronnement et son sacre. », Château de Chinon, 7 mars 1429

    « Je vous dis, de la part de Messire, que vous êtes vrai héritier de France et fils du roi. », 8 mars 1429

     

    Source : lesalonbeige

  • Qui a peur de l’Intelligence artificielle ?

    Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2024

    synthesenationale

    4179514299.jpeg

    La chronique de Philippe Randa

    Il y a ceux que l’intelligence artificielle fascine et ceux qu’elle terrorise, mais aussi ceux qu’elle indiffère, soit la grande masse de nos compatriotes qui a bien d’autres préoccupations, de fins de mois en particulier.

    Et justement, l’IA aura à l’évidence, et c’est déjà le cas d’ailleurs, un impact d’importance (euphémisme !) sur le marché de l’emploi dans les années futures. Il y aura donc ceux qui en profiteront et ceux… qui en pâtiront !

    Les profiteurs, comme toujours, seront ceux qui détiendront les manettes de l’IA, soit la possession des logiciels et de l’infrastructure nécessaire à son développement et à sa prise de contrôle aussi progressive que rapide des secteurs économiques, industriels, informatiques, intellectuels… et finalement de tous les secteurs, quels qu’ils soient, comme on commence à le découvrir chaque jour.

    Ses premières victimes sont déjà connues : les cadres d’entreprise qui grossissent chaque jour le nombre des « demandeurs d’emploi », eux qui croyaient encore voici quelques années avoir choisi une « filière d’avenir », entre autres celle de l’informatique et qui se retrouvent, la trentaine tout juste atteinte, peinant à rester « au niveau », et comprenant, mais un peu tard malheureusement, qu’ils sont déjà en voie d’ « obsolescence ». Une obsolescence programmée, qui plus est. Comme un vulgaire réfrigérateur ou ordinateur qui apparaissait pourtant tellement pérenne sur l’offre d’achat.

    Ceux-là se croyaient (encore) au top de leur compétence voilà peu, et n’ont pas vu le coup venir – et qui l’aurait su, vu, cru, il y a encore dix ans ?

    Autrefois, certes, « aux âmes bien nées, la valeur n’attend (ait) point le nombre des années », comme écrivait Corneille, mais c’était le monde d’avant… Un monde auquel beaucoup n’auront même pas eu le temps de se frotter, l’IA leur aura claqué la porte au nez à peine auront-ils mis un pied dans ce qu’ils croyaient être le hall d’accueil d’une carrière prometteuse et qui se révéle finalement n’être qu’une sortie de service !

    Mais le règne à venir d’une IA balayant impitoyablement cadres et autres « moyens génies » de l’informatique, tel une moderne sœur d’Ulysse nettoyant le marché de l’emploi d’un Augias contemporain, ne va-t-il pas s’avérer finalement une sorte de revanche pour les « manuels », si méprisés, si ricanés, si oubliés, sinon inconnus de la « France d’en haut » ? Eux n’auraient-ils rien à craindre de l’annonce de ces temps futurs où l’IA régnera ?

    Plombiers, peintres, jardiniers, électriciens, terrassiers, aides au ménage ou à la personne, etc., etc. seront-ils les nouveaux enviés du monde du travail, eux qui seraient… irremplaçables ?

    Irremplaçables, vraiment ?

    C’est oublier robots, smartphones et autres drones qui, déjà, ont envahi notre quotidien. Et en fascinant, comme il se doit, nombre de nos contemporains.

    Prenons comme seul exemple le dernier cri en guise d’opérations chirurgicales : c’est déjà avec un clavier d’ordinateur que des chirurgiens fameux opèrent leurs patients en téléguidant des bras articulés. Et ce, de façon magistrale, c’est incontestable.

    Alors demain, des aides à la personne ne pourront-elles pas de même diriger des robots chargés d’apporter aux personnes vulnérables (malades et/ou âgées) les soins quotidiens les plus nécessaires, comme les plus intimes ?

    Des drones, pilotés depuis l’autre bout de la planète, surgiront-ils du ciel pour arrêter une fuite de lavabo à Paris intra-muros ou de baignoire à Trifouillis-les-oies au fin fond du Berry ?

    Des robots traqueront-ils les mauvaises herbes dans les cours et tailleront-ils les haies au millimètre grâce à une programmation effectuée depuis le Pakistan ou la Corée du Sud ?

    Voire depuis la Lune ou Mars si les « idées » d’un Elon Musk ne s’avéraient pas si folles que ça…

    Gageons qu’il y aura certes de nouveaux emplois pour un petit nombre de nos compatriotes, mais qu’adviendra-t-il de l’immense majorité de ceux devenus alors inutiles ? Si implacablement programmés inutiles.

    À moins que l’IA trouve la solution ! Allez savoir…

    Pour en savoir plus, on pourra lire Le défi de l’Intelligence Artificielle de Richard Raczynski, éditions Dualpha, 206 pages, 25 euros (cliquez ici).

  • Cesson (77) : nez cassé, visage ensanglanté… un chauffeur de bus violemment agressé par un voyageur avec “des dreadlocks”

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2024

    Un chauffeur de bus expérimenté de la société Transdev-Sénart a été agressé par un voyageur irrité au terminus de Cesson, en Seine-et-Marne, dans l’après-midi du samedi 6 avril 2024. Frappé à coups de poing, il a eu le nez fracturé. Le visage ensanglanté, le blessé de 36 ans a été pris en charge par les pompiers et conduit à l’hôpital de Melun. Il se retrouve avec 7 jours d’incapacité totale de travail.

    (…) décrit comme porteur d’une barbe et de dreadlocks. De corpulence athlétique, il était habillé d’un jogging noir et d’un haut rouge.

    Il était interpellé à son domicile de Cesson le mercredi 10 avril. Agé de 24 ans, l’homme a reconnu les faits. Remis en liberté, il sera jugé en juin en comparution sur reconnaissance préalable du culpabilité, pour violences aggravées sur personne chargée de mission de service public.

    Actu.fr via fdesouche

  • Vote sur l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’UE : absence des LR, abstention du RN

    Publié par Guy de Laferrière le 12 avril 2024

    Vote sur l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’UE : absence des LR, abstention du RN

    Le vote sur cette résolution avait lieu aujourd’hui au Parlement européen. Le résultat des votes est à la page 357 de ce pdf. Une résolution adoptée à 336 voix pour, 163 contre et 39 abstentions.

    • Reconquête (Nicolas Bay) : contre (comme la quasi totalité du groupe ECR)
    • RN : abstention (alors que presque tout le groupe ID a voté contre)
    • LR : absence volontaire des députés, dont FX Bellamy, qui étaient présents lors des autres votes mais ont quitté l’hémicycle juste avant ce vote. Seule Laurence Saillet est restée et… elle a voté pour !

    Voici le détail des élus qui ont voté contre et ceux qui se sont abstenus :

    La résolution portée par les groupes Socialistes et démocrates (S&D), Renew Europe (centristes et libéraux), les Verts et The Left (gauche radicale) souhaite que l’article 3 de la Charte soit modifié pour stipuler que

    “toute personne a le droit à l’autonomie physique, à un accès libre, informé, complet et universel aux droits sexuels et génésiques et à tous les services de santé connexes sans discrimination, y compris l’accès à un avortement sûr et légal”.

    Pourtant, cette modification n’a aucune chance d’aboutir puisqu’elle nécessiterait l’accord unanime des États membres.

     

    Source : lesalonbeige

  • Patrick Pelloux, mélenchoniste, ami de Médiapart, donneur de leçons professionnel, est rattrapé par la patrouille wokiste !

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2024

    Accusé d’agressions sexuelles, comme son ami islamo-gauchiste Gérard Miller, l’urgentiste chouchou des médias d’Etat est la nouvelle victime du #MeToo.

    D’un seul coup, ses agressions et ses propos sexistes – qui étaient connus de tous au service où il travaillait à l’hôpital Saint-Antoine –  sont subitement dénoncés par ceux-là mêmes qui l’encensaient encore la veille.

    CloserMag, le magazine hebdomadaire de la presse people, se sentant subitement investi d’une mission moralisatrice écrit :

    – Karine Lacombe a évoqué en novembre 2020 et octobre 2023 des comportements inappropriés de Patrick Pelloux sans le nommer, décrivant des actes pouvant être qualifiés d’agressions sexuelles.
    – Le 10 avril 2024, Karine Lacombe a explicitement accusé Pelloux d’agression sexuelle dans un entretien avec Paris Match, soulignant un système médical viril et sexué.
    – Patrick Pelloux nie les accusations, tandis qu’Agnès Buzyn et Roselyne Bachelot confirment son comportement problématique, révélant son départ de Saint-Antoine en 2008.

    En novembre 2020, dans les colonnes du Monde, Karine Lacombe, cheffe des maladies infectieuses de ­l’hôpital Saint-Antoine, avait évoqué le comportement de Patrick Pelloux. “J’ai beaucoup été protégée par ce chef de service exceptionnel. Mais enfin, rétrospectivement, je me dis que j’ai fréquemment observé et subi des actes qui seraient aujourd’hui qualifiés d’agressions sexuelles : une main entre les cuisses, un effleurage de seins, des allusions grivoises. Quand j’y repense…”

    Le 31 octobre 2023, dans les colonnes d’Ouest France, toujours sans le nommer, celle-ci avait confié : “Il y a quelques mois, j’ai recroisé un urgentiste dont on sait qu’il est un prédateur sexuel. Il m’a lâché : ‘De toute façon, avec #MeToo, on ne peut plus rien faire’. Cela veut tout dire”. Finalement, c’est sans retenue que Karine Lacombe a pris la parole mercredi 10 avril 2024.

    Le coup de grâce est donné par une enquête fouillée de notre confrère Paris Match qui, disons-le clairement, se délecte de pouvoir dire ses quatre vérités à Patrick Pelloux, ce contempteur de tout ce qui peut, de près ou de loin, ressembler à une conviction de droite.

    Ce dernier nie en bloc ces accusations malgré les nombreux témoignages de femmes qui dénoncent le “comportement sexiste” et les “agressions sexuelles” dont elles auraient été les victimes.

    Patrick Pelloux, l’arrogant arroseur arrosé, a déclaré à propos de Karine Lacombe :  “je vais être obligé de lui coller un procès“.

    Ha, quelle est belle  cette France déchristianisée, véritable égérie mondialiste de si belles “valeurs républicaines“.

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info