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Le Parti de la France - Page 17

  • 19 écoles d’ingénieurs n'auront plus d'épreuve de français au concours d'entrée. 

    Publié par Guy de Laferrière le 23 octobre 2024

    lafautearousseau

    L'État républicain idéologique - le Système - a tué l'enseignement, il y a cinquante ans, par la folie furieuse du Collège unique (imposé par Chirac/Haby, sous la Présidence de Giscard, ajoutée à la démagogie de l'école de masse et pour tous.

    Et maintenant que l'excellence de notre Enseignement n'est plus qu'un désolant champ de ruines, un Sahara intellectuel de masse, le même État républicain idéologique, le même Système, organisent... le "vivre avec" !

    C'est bien expliqué dans Boulevard Voltaire (article d'Arnaud Florac) 

    "19 écoles d’ingénieurs n'auront plus d'épreuve de français au concours d'entrée. La raison en est donnée sans ambages : l'épreuve serait "anxiogènes pour les candidats"...

    https://www.bvoltaire.fr/19-ecoles-dingenieurs-nauront-plus-depreuve-de-francais-au-concours-dentree/?feed_id=6110&_unique_id=67167baebc2be

    @Element5 Digital/Unsplash

  • La FINUL confirme qu’Israël « attaque délibérément » ses positions dans le sud du Liban

    Publié par Guy de Laferrière le 22 octobre 2024

    La FINUL confirme qu'Israël « attaque délibérément » ses positions dans le sud du Liban

    Le porte-parole de la FINUL a déclaré que les bombardements israéliens provoquent une « destruction généralisée » des villes et des villages du sud du Liban.

    Le porte-parole de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), Andrea Tenenti, a déclaré vendredi que « le ciblage des forces de la FINUL par l’armée israélienne était délibéré, contrairement à ce qu’affirment les responsables israéliens ».

    Il a déclaré qu’Israël avait ciblé « la FINUL à plusieurs reprises, dont cinq fois délibérément ».

    « La tour de contrôle de Naqoura a été directement visée, ce qui a entraîné la blessure de deux soldats de la paix. Ils ont également visé le système de communication et les caméras et sont entrés dans l’un des quartiers généraux de la FINUL il y a quelques jours et y sont restés pendant 45 minutes », a ajouté Tenenti.

    Il a souligné que « toutes ces attaques sont délibérées et constituent une violation non seulement de la résolution 1701 de l’ONU mais aussi des lois internationales ».

    Des troupes de l’ONU ont été déployées à la frontière, connue sous le nom de « Ligne bleue », après l’invasion du Liban par Israël en 1978.

    Casques bleus aux abris

    Lors d’un point de presse à Genève, Tenenti a expliqué que les forces de l’ONU passent de longues heures dans des abris en raison des bombardements continus.

    « La partie israélienne nous a demandé de nous déplacer de certaines positions le long de la Ligne bleue. Nous avons environ 29 positions très proches de la Ligne bleue, jusqu’à une distance de cinq kilomètres, mais nous avons décidé de ne pas bouger car il est important que le drapeau de l’ONU continue de flotter là-bas. »

    « Nous devons rester au Liban, et le moral des forces de maintien de la paix est toujours très élevé », a-t-il ajouté.

    Israël a lancé il y a trois semaines une vaste campagne de bombardements dans le sud du Liban et dans les banlieues sud de Beyrouth. La plupart des habitants du sud ont fui vers des zones comme Saïda, Beyrouth et Tripoli. Les familles déplacées qui n’ont pas les moyens de payer des loyers élevés se réfugient dans des écoles, des parcs et dans la rue.

    Le porte-parole de la FINUL a également commenté les destructions causées par les bombardements israéliens, qui font que certaines parties du sud du Liban ressemblent à Gaza.

    « L’escalade le long de la Ligne bleue provoque la destruction généralisée de villes et de villages dans le sud du Liban », a déclaré Tenenti.

    Jeudi, les forces israéliennes ont fait exploser une énorme quantité d’explosifs, rasant le village historique libanais de Mhaibib, à la frontière libanaise.

    Les soldats israéliens ont publié des vidéos d’eux-mêmes sur les réseaux sociaux célébrant la destruction en riant.

    En plus des destructions, Israël a émis des ordres d’évacuation pour des zones couvrant plus d’un quart du pays.

    Vendredi, le porte-parole arabe de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a publié une déclaration sur X/Twitter ordonnant aux habitants de 23 villes d’évacuer.

    Nouvelle attaque israélienne contre la FINUL ce dimanche

    Dimanche, un « bulldozer » de l’armée israélienne a « délibérément démoli » une « tour d’observation et la clôture » d’une position de la Finul à Marwahin dans le sud du Liban, a annoncé dans un communiqué la mission de maintien de paix de l’ONU.

    « Malgré la pression exercée sur la mission (…) les soldats de maintien de la paix restent stationnés dans toutes les positions », selon le communiqué. « Nous continuerons d’accomplir les tâches pour lesquelles nous avons été mandatés », à savoir « surveiller et rendre compte » de la situation à la frontière entre Israël et le Liban, ajoute la Finul.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • Liban : bombes israéliennes sur des villages chrétiens

    Publié par Guy de Laferrière le 22 octobre 2024 

    Le Liban sous les bombardements israéliens
    Le Liban sous les bombardements israéliens

    Toujours plus de morts et de destructions s’amoncellent dans le pays des Cèdres. Dernièrement des bombes israéliennes sont tombées sur un cimetière. La colère des chrétiens gonfle.

    Villages chrétiens détruits par les bombes israéliennes

    Dans les villages frontaliers de la Bekaa attaqués par l’armée israélienne, la colère des chrétiens gronde. Toujours plus de morts et de destructions s’amoncellent dans le pays des Cèdres. Après des villages chrétiens détruits, dernièrement ce sont des bombes israéliennes qui sont tombées sur un cimetière.

    Les gouffres creusés par les bombes israéliennes parsèment la plaine de la Beka, au sud du Liban. Des gouffres profonds qui, dans chaque village, ont dévoré des bâtiments entiers.
    Israël se donne bonne conscience en expliquant au monde que derrière, ou plutôt sous ces bâtiments, parfois bondés, derrière les pizzerias, les pâtisseries et les coiffeurs se cachaient des hommes de paille liés au Hezbollah ou d’éventuelles infrastructures utilisées par des miliciens chiites.

    À Riyaq, les bombes ont dévasté le cimetière chrétien voisin

    À Riyaq, un village de 16 000 âmes chrétiennes et chiites, le gouffre habituel n’a pas seulement englouti un centre commercial à deux étages. Ici, les bombes ont dévasté le cimetière chrétien voisin où deux énormes croix dessinées sur la porte d’entrée marquent la frontière entre la partie chiite du village et la partie melkite.

    « Juste au-delà de ces croix, raconte le journaliste d’Il Giornale, une cinquantaine de chrétiens pataugent dans la puanteur de mort et de décomposition qui enveloppe les cercueils éventrés, les marbres déchirés et les tombeaux déchirés. Courbés dans la poussière, ils travaillent à recomposer ce petit cimetière symbole de leur histoire. »

    « Je ne sais pas pourquoi les Israéliens ont rasé ce bâtiment l’autre nuit. Je ne sais pas ce qu’il y avait en dessous. Certes, leurs bombes ont profané les tombes de nos proches », se plaint George, un grand homme de 54 ans qui, malgré la puanteur, se faufile parmi les restes de sa tombe familiale.

    « De nombreux cercueils ont été détruits, nous travaillons depuis hier à recomposer les restes de nos proches. Leurs croix, leurs corps sont les signes de notre présence séculaire sur cette terre. Les Israéliens disent qu’ils bombardent le Hezbollah, mais ils nous mettent aussi en danger. Si quelqu’un pense qu’il va nous expulser, il se trompe lourdement. Ce cimetière est le symbole de notre histoire. Nos pères et grands-pères sont enterrés ici et nous ne pensons même pas à nous échapper. Malgré les bombes, nous resterons ici avec nos familles et nos enfants. »

    « Chrétiens pour toujours à Riyaq. Malgré les bombes, nous resterons ici avec nos familles et nos enfants. »

    « Joseph, continue Il Giornale, un chrétien avec une immense croix tatouée sur les épaules, nous fait signe de le suivre. Devant la petite église au fond du cimetière, cinq nouveaux cercueils récemment bénis contiennent les dépouilles récupérées par les bénévoles. En un instant, les cercueils sont sur les épaules des volontaires et une chanson remplit l’air.

    « Ehbina lezi fih il-semawet… » Au son du Notre Père en arabe, la procession se dirige vers les tombeaux restaurés, dépose les cercueils dans les niches en plaçant sur chacun une croix d’or. Et une seule chorale clôt la prière. « Chrétiens pour toujours à Riyaq ».

    Le pourront-ils ? Ou le Liban chrétien, que certains messianistes hébreux voudraient annexer pour reconstituer le Grand Israël, deviendra-t-il la nouvelle Gaza bombardée sans relâche et sans fin ?

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Lyon (6e) : une association, ayant pour but de « préserver l’identité » et « renforcer l’unité » des Algériens… en France, annonce saisir la justice dans leur combat pour débaptiser la rue du maréchal Bugeaud

    Publié par Guy de Laferrière le 22 octobre 2024

    Union Algérienne est affiliée à l’association déposée Union Française des Binationaux et de la Diaspora Algérienne. Notre mission est guidée par une conviction profonde : préserver notre identité et renforcer notre unité en tant que peuple algérien résidant en France. Face à un paysage où la diaspora est divisée, où nous sommes la cible de diverses groupes, et où peu d’institutions agissent véritablement dans notre intérêt, nous avons pris l’initiative de créer ce cercle. (…)

    Site

    X / Twitter via fdesouche

  • La France a aujourd’hui besoin d’un changement radical de cap.

    Publié par Guy de Laferrière le 21 octobre 2024

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    Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Emmanuel Macron a accumulé une dette colossale, sans précédent dans l’histoire de la Ve République. En seulement six ans, cette dette a augmenté de près de 1.000 milliards d’euros, portant la dette publique française à des niveaux alarmants, avoisinant les 3.000 milliards d’euros. Cet endettement massif représente aujourd’hui plus de 114 % du PIB de la France, un fardeau financier que devront porter les générations futures.
    La crise - artificielle - du Covid-19 a entraîné des dépenses exceptionnelles, mais Emmanuel Macron a, dès son arrivée, suivi une trajectoire budgétaire irresponsable. Les réformes promises sur la réduction de la dépense publique n’ont jamais vu le jour, préférant multiplier les plans de relance et les dépenses non maîtrisées. Pendant ce temps, les services publics se détériorent, la pression fiscale reste écrasante, et les inégalités se creusent. Qu’a fait le gouvernement Macron pour redresser les comptes de la Nation ? Absolument rien sinon continuer à creuser un trou sans fond.
    Alors que l’inflation pèse sur le pouvoir d’achat des Français, que les taux d’intérêt remontent, le service de la dette, c’est-à-dire les seuls intérêts que l’État doit payer chaque année, explose. L’État doit emprunter à des taux toujours plus élevés, mettant la France à la merci des marchés financiers. Cette politique d’endettement massif est non seulement un échec économique, mais aussi un échec moral : elle fait porter aux citoyens et aux générations futures le poids de décisions irresponsables, tout en menaçant la souveraineté nationale.
    Pire encore, le gouvernement actuel ne semble pas tirer les leçons de cette dérive. Plutôt que d’assainir les finances publiques, Michel Barnier propose un budget qui alimente cette spirale de la dette. Et bien entendu, qui dit dette dit imposition : les Français, déjà parmi les plus taxés au monde, devront encore une fois supporter l’addition. Les prélèvements obligatoires continuent de peser lourdement sur les classes moyennes et populaires, sans pour autant que ces sommes colossales se traduisent par une amélioration concrète de leur quotidien.
    La France a aujourd’hui besoin d’un changement radical de cap. Il est impératif de mettre un terme à cette course folle vers l’endettement. Un budget qui continue d’augmenter la dette est une trahison envers nos compatriotes. Plutôt que de toujours puiser dans la poche des Français, il est temps de réduire drastiquement les dépenses publiques, d’engager des réformes structurelles et de retrouver une gestion responsable des finances du pays.
    Il est vital pour l’avenir du pays de stopper cette hémorragie budgétaire. Un budget qui alourdit la dette publique et accroît encore la pression fiscale serait un désastre pour la France. Le redressement des finances publiques ne peut plus attendre, et il ne doit surtout pas passer par de nouveaux sacrifices imposés aux contribuables.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France