GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 20

  • Lundi 25 août – Saint Louis, Roi de France, Confesseur, Patron des Tertiaires franciscains

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2025

    Auteur : 

    Saint Louis, Roi de France, Confesseur, Patron des Tertiaires franciscains, vingt-cinq août


















    Près de Carthage, saint Louis IX, roi de France et confesseur, illustre par la sainteté de sa vie et l’éclat de ses miracles.

    Sanctoral 

    Saint Louis, Roi de France, Confesseur, Patron des Tertiaires franciscains

    Louis IX, devenu roi de France à l’âge de douze ans, par la mort de son père, fut très pieusement élevé par la reine Blanche de Castille, sa mère. Tout le monde connaît la belle parole de cette grande reine: « Mon fils, je vous aime après Dieu plus que toutes choses; cependant, sachez-le bien, j’aimerais mieux vous voir mort que coupable d’un seul péché mortel. » Époux affectueux et père de onze enfants, il fut en même temps un rigoureux ascète. Énergique et vigilant dans l’administration de son royaume, il ne négligeait en rien ses exercices de piété et recevait fréquemment les sacrements ; intrépide au combat et soucieux de son prestige dans les grandes circonstances, il s’épuisait secrètement en jeûnes et en mortifications. La stricte justice, la parfaite loyauté et l’amour absolu de la paix inspirèrent sa politique, toujours exempte néanmoins de faiblesse, et dont plusieurs siècles devaient confirmer le succès.

    Il régnait depuis vingt ans déjà, lorsque, tombé malade, la pensée lui vint de reconquérir Jérusalem. Aussitôt revenu à la santé, il reçut l’étendard des mains de l’Évêque de Paris. Puis, ayant traversé la mer avec une armée nombreuse, il mit en déroute les Sarrasins dans un premier combat. Mais beaucoup de ses soldats moururent de la peste, et lui-même fut vaincu et fait prisonnier. Après un traité avec les Sarrasins, le roi et son armée furent laissés libres. Il demeura pendant cinq ans en Orient, racheta de l’esclavage un grand nombre de Chrétiens, convertit beaucoup d’infidèles à la foi du Christ, et rebâtit à ses frais plusieurs villes appartenant aux Chrétiens. Sa mère étant morte sur ces entrefaites, il dut revenir en France où il s’adonna tout entier aux œuvres de piété.

    Le saint roi construisit nombre de monastères et d’hospices pour les pauvres ; il secourait de ses largesses les indigents, visitait fréquemment les malades et, non content de les faire soigner à ses frais, leur donnait de ses propres mains ce dont ils avaient besoin. Simple dans ses habits, il n’épargnait pas à son corps les mortifications du ciliée et du jeûne. Louis IX traversa de nouveau la mer pour combattre les Sarrasins, mais au moment où il venait d’établir son camp en face de l’ennemi, il mourut de la peste en prononçant ces paroles : « J’entrerai dans votre maison, Seigneur, je vous adorerai dans votre saint temple et je glorifierai votre nom. » Son corps fut transporté à Paris ; il est conservé dans la célèbre église de Saint-Denis, où on le vénère. Quant à son chef, on le porta à la sainte Chapelle. Glorifié par d’éclatants miracles, il a été mis au nombre des Saints par le Pape Boniface VIII.

    Martyrologe

    Près de Carthage, saint Louis IX, roi de France et confesseur, illustre par la sainteté de sa vie et l’éclat de ses miracles; ses ossements furent plus tard rapportés à Paris.

    A Rome, l’anniversaire de saint Joseph Calasanz, prêtre et confesseur, célèbre par l’innocence de sa vie et par ses miracles. Pour élever la jeunesse dans la piété et dans les lettres, il fonda l’Ordre des pauvres Clercs Réguliers de la Mère de Dieu des écoles pies. Le souverain pontife Pie XII l’a constitué auprès de Dieu patron céleste de toutes les écoles populaires chrétiennes qui sont sur la terre. Sa fête se célèbre le 6 des calendes de septembre (27 août).

    A Rome également, les saints martyrs EusèbePontienVincent et Pérégrin. Sous l’empereur Commode, ils endurèrent successivement les tourments du chevalet, des entraves, de la bastonnade; ils eurent ensuite les flancs brûlés, et comme ils continuaient très fidèlement à louer le Christ, on les battit avec des fouets garnis de plomb jusqu’à ce qu’ils eussent rendu l’âme.

    De plus, à Rome, l’anniversaire du bienheureux Némèse diacre, et de la vierge Lucille, sa fille. Demeurant fermes et inébranlables dans la foi du Christ, ils furent décapités par ordre de l’empereur Valérien. Leurs corps, que le pape saint Etienne avait fait inhumer et auxquels le bienheureux Sixte II avait, la veille des calendes d’octobre (31 octobre), donné une sépulture plus honorable sur la voie Appienne, furent transférés par Grégoire V dans la diaconie de Sainte-Marie-la-Neuve, avec les saints Symphrone, Olympe tribun, Exupérie femme de ce dernier et leur fils Théodule : tous, convertis par les soins de Symphrone et baptisés par le même saint Etienne, avaient reçu la couronne du martyre. Les corps de ces mêmes saints, retrouvés en ce lieu sous le pontificat de Grégoire XIII, furent replacés avec plus d’honneur sous l’autel de la même église, le 6 des ides de décembre (8 décembre).

    A Rome encore, saint Genès martyr. Né dans le paganisme, il était comédien. Un jour qu’en présence de l’empereur Dioclétien, il mimait sur le théâtre les mystères des chrétiens, touché d’une inspiration divine, il se convertit tout à coup à la foi et se fit baptiser. Peu après, sur l’ordre de l’empereur, il fut cruellement meurtri de coups de bâton, puis étendu sur le chevalet, déchiré lentement avec des ongles de fer, brûlé avec des torches. Enfin, comme il demeurait ferme dans la foi du Christ et disait: « Il n’est d’autre roi que le Christ, et quand je devrais souffrir mille morts pour lui, vous ne pourrez jamais me l’arracher, ni de la bouche, ni du cœur, » on lui trancha la tête et il obtint la couronne du martyre.

    A Arles, en Gaule, un autre bienheureux Genès. Greffier, il refusa d’enregistrer les décrets impies par lesquels on ordonnait le châtiment des chrétiens, jeta ses registres et déclara hautement qu’il était lui-même chrétien; il fut aussitôt saisi et décapité; baptisé ainsi dans son propre sang, il reçut la gloire du martyre.

    En Syrie, saint Julien martyr.

    A Tarragone, en Espagne, saint Magin martyr.

    A Italica, en Espagne, saint Géronce évêque. Au temps des Apôtres il prêcha l’évangile dans cette province, et après beaucoup de travaux, mourut en prison.

    A Constantinople, saint Mennas évêque.

    A Utrecht, saint Grégoire évêque.

    A Montefiascone, en Toscane, saint Thomas confesseur, qui fut évêque de l’église d’Hereford en Angleterre.

    A Naples, en Campanie, sainte Patricia vierge.

     

    Source : medias-presse.info

  • Samedi dernier en Anjou : Synthèse nationale était à l'Université d'été d'Academia christiana

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2025

    1375751628.jpg

    La semaine dernière se déroulait en Anjou la seconde Université d'été 2025 d'Academia christiana. La première s'étant tenue au mois de juillet en Provence. Ce fut une belle réussite car plus de 600 jeunes y participaient et samedi, lors de la journée portes-ouvertes, c'est près d'un millier de personnes qui étaient présentes. Ces UDT sont à la fois studieuses, créatives et festives...

    Victor Aubert, le fondateur de ce mouvement qui se définit comme étant catholique et enraciné, peut être satisfait de la belle réussite de ces deux réunions estivales qui démontre, douze ans après la création d'Academia Christiana, une vitalité remarquable. L'enthousiasme manifeste des jeunes gens présents suffit pour le prouver. Comme quoi, la clarté idéologique et la persévérance militante finissent toujours par payer.

    Parmi les nombreux stands associatifs présents samedi, Synthèse nationale, comme chaque année, était au rendez-vous. Ce fut l'occasion de retrouver de nombreux amis et de diffuser la revue et les livres que nous éditons cliquez là. Cette journée, intitulée "Festival du Bien commun" à la particularité de regrouper des associations, des mouvements et des maisons d'édition diverses, toutes attachées à la défense de notre patrie et de notre civilisation.

    Nous remercions Arno Danjou et l'équipe qui encadraient cette belle journée pour l'accueil chaleureux qu'ils nous ont réservé. 

    S N

     


    université academia christina

    université academia christina


    Consultez le site d'Academia christiana cliquez ici

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2025

    536272997_10233387174956259_8377993956035628038_n.jpg

  • C’était un 24 août 1944 : massacre de 76 Français au Grand Bornand

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2025

    Histoire d’équilibrer un peu le travail de mémoire, penchons-nous sur cet épisode sanglant où des Français (a priori) mirent à mort des Français après une parodie de procès. Dont un père et ses deux fils attachés aux poteaux, côte à côte. Le plus jeune assassiné avait seize ans.
    Rappelons que « l’Epuration »  a fait beaucoup plus de morts français que l’Occupation (10 à 20 fois plus).

    Ici les victimes furent 76 Savoyards, qui, pendant la 2e Guerre mondiale, s’étaient engagés par patriotisme dans la Milice (service d’ordre au service de la Révolution nationale du Maréchal Pétain).

    « Au matin du samedi 19 août 1944, des miliciens savoyards incorporés dans la Franc-Garde, depuis l’ordre de mobilisation lancé par Joseph Darnand, quittent leur cantonnement annécien de La Commanderie par la route d’Albertville. Dans la nuit, les chefs départementaux Yves Barbaroux et Jacques Chambaz ont rencontré les chefs de la Résistance : les francs-gardes se rendent avec les honneurs de la guerre, ils conservent leurs armes et seront traités en prisonniers de guerre.

    Un jeune de la Milice, juste avant d’être fusillé, attaché au poteau par un communiste goguenard.

    A Saint-Jorioz, au milieu d’un grand rassemblement de maquisards (toute résistance étant alors impossible), les francs-gardes sont désarmés à l’exclusion des chefs qui conservent leur pistolet. Pressentant sans doute la suite des évènements, le franc-garde Lambotin se tire une balle dans la tête. Les captifs sont poussés dans des camions et sous bonne garde, par Faverges et Thônes, conduits au Grand-Bornand. Là, ils sont entassés jusqu’au grade de chef de dizaine, sous les combles de la salle paroissiale, les officiers, toujours en possession de leurs armes, étant conduits dans une pièce au 2ème étage du même bâtiment.

    Après des sévices qu’il est inutile de retracer, c’est dans la salle de cinéma, au rez-de-chaussée, que commence au milieu de la matinée du mercredi 23 août la comparution des francs-gardes devant une cour martiale qui a fixé elle même sa procédure et que préside un commandant FTP ayant pour assesseurs deux représentants de l’AS et deux autres FTP. Le procureur et le greffier sont eux aussi des résistants.

    Enchaînés, gardés par les gendarmes, les miliciens sont appelés dix par dix et brièvement interrogés. Parfois, des résistants témoignent, puis le procureur requiert une peine… La mort en général. Pour donner à cette procédure une apparence de régularité, quatre avocats d’Annecy, commis d’office, tentent d’improviser une défense. [L’organisation “juridique” a été confiée à Jean Comet, magistrat professionnel révoqué par Pétain… et qui commandera 75 cercueils avant l’ouverture de l’audience – NDCI]

    La Cour siège sans désemparer jusqu’au matin du jeudi 24 août. Après une ultime plaidoirie, l’arrêt est rendu. Soixante-seize condamnations à mort, vingt et un « acquittements » (qui vaudront, en fait à leurs bénéficiaires l’emprisonnement et la comparution devant une Cour de Justice au cours des mois suivants).

    L’abbé Ducroz et le vicaire du Grand-Bornand décident de ne plus quitter les condamnés. Ils procèdent à une absolution collective et leur donnent le Saint Sacrement.

    Il est huit heures lorsque les camions emmenant les condamnés quittent la salle paroissiale pour le hameau du Bouchet au lieu-dit La Peserettaz.

    En route [pour le lieu de l’exécution], les miliciens disent leur chapelet.

    A leur arrivée sur le champ un gendarme leur remet une image pieuse portant la prière d’indulgence de [Saint] Pie X pour l’heure des morts […]. Ils s’agenouillent, chapelet entre les doigts ou autour du cou. Le prêtre les embrasse. Deux miliciens s’étreignent: « A tout à l’heure, au ciel ».

    Cinq par cinq les prisonniers vont vers les poteaux plantés à la lisière de la forêt.

    Une vingtaine d’entre eux crient avant de mourir: « Vive le Christ-Roi, vive la France! ». »

     

     

    Ils refusent le bandeau et tombent sous la salve en clamant leur foi, en ce jeudi 24 août dédié à Saint-Barthélemy.

    La plupart d’entre eux, chrétiens convaincus sont des paysans issus de la terre savoyarde. […]

    Le plus âgé avait combattu à Verdun, le plus jeune venait d’ avoir seize ans. »

    Extraits mêlés de La Milice Française de Michèle Cointet, Fayard, et de Histoire de la CollaborationDominique Venner, Pygmalion

     

     

     

     

     

    Source

  • Traite négrière

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2025

    537229362_1417415039541854_5984656623417314893_n.jpg

    Chaque année, la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition donne lieu au même rituel : contrition occidentale, culpabilité blanche, accusation sans nuance. Comme si l’Histoire de l’esclavage se résumait à une entreprise criminelle exclusivement européenne. Cette vision manichéenne n’est qu’un mythe politique contemporain.
    Car la vérité historique est plus complexe, plus dérangeante. Les royaumes africains ont joué un rôle décisif dans la traite. Le Dahomey, sur les côtes de l’actuel Bénin, avait bâti sa puissance sur la capture et la vente d’esclaves. Les Ashanti, au Ghana, livraient régulièrement des prisonniers de guerre aux négriers. Sans ces fournisseurs locaux, pas de cargaisons humaines, pas de navires chargés vers les Amériques. C’est une réalité incontournable que l’on préfère taire pour préserver le confort idéologique du « Blanc coupable ».
    De plus, contrairement à l’image d’un Occident tout entier prospérant sur la traite, les profits furent concentrés dans une minorité de ports, d’armateurs et de négociants. La masse des paysans et ouvriers européens n’en tira aucun avantage. Ce commerce fut l’affaire de quelques élites économiques, pas des nations dans leur ensemble.
    Et rappelons que la traite n’a pas été l’apanage des Européens. Bien avant et bien après eux, les réseaux arabo-musulmans organisèrent une traite transsaharienne et orientale de grande ampleur, réduisant en esclavage des millions d’Africains. Étrangement, cette dimension reste dans l’angle mort des commémorations officielles.
    Aujourd’hui, on veut faire croire aux Français qu’ils doivent réparation à des descendants d’esclaves qui n’ont jamais connu l’esclavage. Mais la France, elle, a fini par abolir cette pratique en 1848, et ce fut un événement majeur dans l’Histoire mondiale. C’est une réalité qu’on devrait célébrer au lieu de ressasser une culpabilité perpétuelle.
    La mémoire ne doit pas être instrumentalisée comme un procès permanent contre l’Occident, mais comprise dans toute sa complexité. Si héritage il y a, c’est celui d’une Nation qui a su rompre avec une institution séculaire et proclamer la liberté comme principe universel. Les descendants d’esclaves devraient s’en souvenir : ils sont avant tout redevables d’une France qui a aboli l’esclavage.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France