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Un homme a été jugé ce lundi 7 juillet pour des contacts à connotation sexuelle imposés à une femme dans l’eau du lac des Dagueys. Le prévenu est également visé par une autre procédure pour des faits similaires sur mineur
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« J’ai touché personne », tente de se défendre le prévenu dans un français hésitant. « C’est un complot. Il y avait beaucoup de monde dans l’eau. » Pourtant, à la gendarmerie, la plaignante reconnaît formellement son agresseur, connu pour une autre affaire d’attouchements sexuels sur mineur.
Au cours de l’enquête, les gendarmes découvrent que le prévenu fait l’objet d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis le 26 septembre 2023, et qu’il était tenu de se présenter régulièrement au commissariat de Bordeaux, ce qu’il n’a jamais fait. « Je ne peux pas rentrer au Maroc, je suis athée », tente-t-il de justifier.
Le prévenu a été condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis. Il lui est en outre interdit se rendre sur la plage des Dagueys et sur tout lieu de baignade public, avec exécution provisoire d’un an. Il comparaîtra à nouveau en septembre 2025 dans une autre affaire, cette fois pour des attouchements sexuels sur mineur.
Nous ne sommes pas, en soi, contre le prêt des oeuvres d'art : la Joconde est bien allé à New York ! Mais, pour ce qui est du Telle du Conquest (vrai nom de ce que l'on appelle "la tapisserie de Bayeux), c'est différent. Et Macron agit avec légèreté, tel un despote, cataclysmique...
"Le président Macron vient, une nouvelle fois, de prendre une décision catastrophique pour le patrimoine, c’est-à-dire de décider, lui tout seul, contre l’avis des conservateurs et des restaurateurs qui connaissent la tapisserie de Bayeux, de la prêter à l’Angleterre. Nous avions longuement enquêté à ce sujet lorsqu’il en avait déjà été question, il y a sept ans, et nous avions publié cet article. Nous le remettons à la une car nous n’avons pour l’instant pas grand-chose à ajouter. Nous allons, évidemment, enquêter à nouveau sur cette affaire et nous y reviendrons rapidement."
Le scandale sexuel de Jeffrey Epstein implique des hommes puissants, des VIP
L’enterrement de l’affaire Epstein par l’administration Trump provoque de nombreux remous au sein de la base MAGA qui soutient l’actuel Président des Etats-Unis. Tucker Carlson, l’un des journalistes et influenceurs de la sphère MAGA les plus écoutés et suivis, a son hypothèse.
L’enterrement de l’affaire Epstein : la base MAGA se retrouve trahie
La base MAGA se retrouve trahie, et les critiques virulentes émanant des partisans de Trump pullulent sur Internet contre l’actuel Président des États-Unis.
Tucker Carlson, l’un des journalistes et influenceurs de la sphère MAGA les plus écoutés et suivis, émet son hypothèse qui est plus que crédible à propos des raisons pour lesquelles le ministère américain de la Justice ne publie pas les dossiers d’Epstein:
« Je ne vois que deux explications possibles. (…) La première, c’est que Trump est impliqué, qu’il est sur la liste, qu’ils ont un enregistrement où Trump fait quelque chose de terrible. (…) L’autre est que les services de renseignement sont au cœur de cette histoire. Les services américains et israéliens, et ils les protègent. »
Les services de renseignement américains et israéliens sont au cœur de cette histoire, et Trump les protège
« Évaluons simplement cela de manière logique. Le ministère de la Justice couvre cela. L’actuel ministère de la Justice, dirigé par Pam Bondi, couvre des crimes, des crimes très graves, selon leur propre description. Pourquoi font-ils cela ? En fait, je ne vois que deux explications possibles. Peut-être en avez-vous une autre.
« La première est que Trump est impliqué, que Trump est sur la liste, qu’ils ont un enregistrement où Trump fait quelque chose d’horrible. Je n’y crois pas pour deux raisons. Premièrement, j’ai parlé de cela à plusieurs reprises avec Trump, et je… je le connais. Il n’est pas comme ça, vous savez, quels que soient ses péchés. Je ne pense pas qu’il soit ce genre de personne, en fait. Je ne pense pas qu’il aime les choses sexuelles horribles. Ce n’est que mon opinion.
« Mais plus encore, je pense que ce qui est plus convaincant, c’est que toute cette information était entre les mains de l’administration Biden. Et s’il y avait des preuves que Trump était impliqué dans des activités sexuelles illégales, pensez-vous que les personnes qui ont inventé le « Russiagate » n’auraient pas divulgué cette information ? Allons donc.
« Donc, la seule autre explication que je puisse trouver, encore une fois, peut-être en avez-vous une autre, c’est que les services de renseignement sont au cœur de cette histoire. Les services américains et israéliens, et ils les protègent. »
Hier matin, la brigade financière, accompagnée de deux juges d’instruction, a procédé à la perquisition du siège du Rassemblement National. Ce nouvel épisode judiciaire s’inscrit dans une longue série de dérives qui démontrent une chose claire : lorsqu’on se vend au Système, on finit par en subir les pires conséquences.
Le RN, en reniant ses fondamentaux, en abandonnant la ligne de rupture avec le Système et en préférant les salons dorés de la République aux luttes populaires, récolte aujourd’hui les fruits amers de cette trahison. La compromission finit toujours par se retourner contre ceux qui croyaient pouvoir composer avec les forces qu’ils prétendaient combattre.
Marine Le Pen, en s’agenouillant face à l’ordre établi, en refusant de censurer la nomination de François Bayrou — symbole assumé de la continuité du régime Macron — a laissé passer une occasion majeure de bloquer la machine institutionnelle du pouvoir. Cette inaction, cette volonté de respectabilité dans le cadre pourri de la Ve République, a marqué le début d’une stratégie de reddition qui se paie aujourd’hui au prix fort.
Pire encore : c’est le Rassemblement National lui-même qui a rendu possible l’accession de l’ignoble Richard Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel, une institution censée garantir l’État de droit mais devenue un bastion d’impunité pour les puissants. Ferrand, condamné pour prise illégale d’intérêts, visé à plusieurs reprises pour des faits graves, incarne à lui seul cette République des copains et des corrompus. Là encore, le RN s’est abstenu, a baissé la tête et a trahi l’espérance populaire qu’il prétend incarner.
Il n’y a aucune stratégie viable face au Système qui ne soit celle de l’affrontement frontal, déterminé, sans compromission. Le combat doit être mené avec la tête haute et les mains propres, comme le faisait le Front National de Jean-Marie Le Pen qui, malgré toutes les persécutions politiques, n’a jamais été empêtré dans ce genre d’affaires judiciaires sordides.
L’heure est grave. Il est temps de revenir à une ligne claire, de rupture totale avec ce régime en décomposition, sans calculs électoralistes ni soumission au simulacre institutionnel. Le peuple français mérite une opposition digne, incorruptible, intransigeante. Tout le reste n’est que reniement, carriérisme et lâcheté.
Le Parti de la France est aujourd’hui le seul parti qui combat ouvertement le Système et qui ne se vendra jamais aux forces de la décadence. Fidèle à la Nation, fidèle au peuple, fidèle à ses principes : notre ligne est droite, notre parole est libre, notre combat est total.
Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France
Volodymyr Zelensky a annoncé une nouvelle réunion de la «coalition des volontaires». Elle devrait vraisemblablement se tenir en marge de la conférence pour la reconstruction de l’Ukraine à Rome les 10 et 11 juillet. Parallèlement, des informations sont apparues dans les médias concernant le remplacement imminent de l’ambassadrice ukrainienne aux États-Unis, Oksana Markarova en raison du mécontentement de l’administration républicaine.
Dans les prochains jours, un nouveau sommet de la «coalition des volontaires» se tiendra à Rome. C’est ce qu’a annoncé le président ukrainien à l’issue de sa conversation avec le Premier ministre britannique Keir Starmer. Ce format est apparu immédiatement après le scandale de février à la Maison-Blanche entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump. L’initiateur de ces rencontres a été Keir Starmer, avec le soutien d’Emmanuel Macron et d’autres dirigeants européens. Tout cela pour épauler l’Ukraine face à la perspective réelle d’une cessation du soutien américain à Kiev.
En effet, la Maison-Blanche avait alors entamé un dialogue actif avec Moscou. On parlait de restauration des relations, on discutait de projets communs.
C’est à ce moment-là que l’Europe a commencé à faire des déclarations belliqueuses, notamment concernant la possibilité de déployer un contingent militaire conjoint sur le territoire ukrainien. Cependant, après quelques discussions âpres, les partenaires n’ont abouti à rien. Au final, la «coalition des volontaires» a pratiquement cessé ses activités.
Cependant, Zelensky, non sans l’aide de ses alliés, a réussi à se réconcilier avec Trump. De plus, un nouvel acteur sérieux est apparu sur scène : le chancelier allemand Friedrich Merz. Enfin, la Première ministre italienne Giorgia Meloni ne rechigne pas à assumer une certaine initiative.
Entre-temps, l’intrigue principale reste la même : les futures actions du 47ème président des États-Unis. Il est actuellement très occupé par le Moyen-Orient, mais la question des armes pour l’Ukraine reste en suspens. Comme on le sait, les livraisons ont été gelées. Trump a assuré qu’il continuerait à soutenir l’Ukraine, mais la clarté sur cette question fait défaut aujourd’hui.
Pendant ce temps, on parle activement d’un éventuel remplacement de l’ambassadrice ukrainienne aux États-Unis, Oksana Markarova. Les républicains sont très mécontents de son orientation sur l’administration de Joe Biden. Volodymyr Zelensky et Donald Trump se sont entretenus au sujet du limogeage de l’ambassadrice d’Ukraine à Washington, selon le Financial Times. Le président ukrainien et son homologue américain ont discuté par téléphone, vendredi, du remplacement de l’ambassadrice d’Ukraine aux États-Unis, Oksana Markarova, dans le cadre d’un remaniement ministériel en Ukraine prévu pour la semaine prochaine, ont affirmé des responsables ukrainiens proches des discussions au Financial Times. Les deux dirigeants sont convenus que leurs équipes tiendraient de nouvelles consultations sur les candidats potentiels à sa succession. Son limogeage serait perçu comme une tentative de Volodymyr Zelensky d’apaiser ses relations avec Donald Trump à un moment délicat pour l’Ukraine, après que la Maison-Blanche a suspendu les livraisons de certaines armes la semaine dernière.
Il semble que Washington exige également du bureau de Zelensky d’autres décisions en matière de cadres. C’est une question complexe et très douloureuse pour Kiev. Quoi qu’il en soit, la «coalition des volontaires» sera très probablement reformatée d’une manière ou d’une autre. Il se peut très bien qu’on propose à Trump de la diriger ou qu’on lui présente un plan d’achat d’armements pour l’allié ukrainien. Peut-être les deux.
L’Europe prépare manifestement quelque chose, dont elle ne veut pas encore parler. Depuis février, les pays leaders de l’UE mènent une «opération spéciale» pour normaliser les relations avec la nouvelle administration américaine. Certains succès ont été atteints. La Russie, de son côté, continue de considérer l’actuel locataire de la Maison-Blanche comme quelqu’un qui veut vraiment mettre fin au conflit ukrainien. C’est bien le cas, rien n’a changé à ce niveau. La question est seulement de savoir à quelles conditions y mettre fin. Il n’y a pas encore de clarté sur ce point.