Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2025

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Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2025

Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2025

De l’ECLJ :
Cette rentrée scolaire est marquée par l’application du nouveau programme d’éducation à la sexualité, imposé à tous les établissements publics et privés, de la maternelle au lycée.
Nous l’avons étudié avec attention et la réalité est indéniable: le contenu de ce programme est scandaleux.
Il ne s’agit pas d’une simple présentation de la vie affective, neutre et bienveillante pour améliorer la santé des enfants. C’est un programme de promotion de la sexualité précoce, qui pousse les enfants à faire tout type d’expérience, y compris le «questionnement de genre» en faisant du consentement et du désir les seuls axiomes de moralité à respecter.
Il oblige les enfants à parler de leur intimité, à aborder les questions de puberté et de sexualité bien avant d’y être confrontés et enseigne aux enfants tous les stéréotypes féministes contre les hommes, le mariage, la grossesse, etc.
Ce programme dit EVARS (Éduquer à la Vie Affective et Relationnelle et à la Sexualité) est obligatoire, contient des objectifs de notions à acquérir et fait l’objet d’évaluations. Or qui dit évaluation dit réponse juste ou fausse. Le caractère normatif de ce programme est donc indéniable: il vise à banaliser les relations sexuelles précoces sous toutes leurs formes.
Le gouvernement a choisi d’imposer ce programme à tous les établissements scolaires au mépris du droit fondamental des parents, les premiers éducateurs, de donner à leurs enfants une éducation conforme à leurs convictions religieuses et philosophiques.
Même les établissements privés sous contrat sont obligés d’appliquer ce programme d’éducation à la sexualité; les parents ne peuvent pas obtenir pour leurs enfants une dispense de ces cours et n’ont aucun droit de savoir quels supports pédagogiques seront utilisés, ni le contenu précis ni la date des séances.
C’est inadmissible et contraire aux droits naturels des parents, garantis en droit international.
C’est pourquoi l’ECLJ va saisir un comité des Nations unies: le Comité des droits économiques, sociaux et culturels chargé de faire respecter un Pacte international qui oblige les États «à respecter la liberté des parents et, le cas échéant, des tuteurs légaux, de choisir pour leurs enfants des établissements autres que ceux des pouvoirs publics, […] et de faire assurer l’éducation religieuse et morale de leurs enfants, conformément à leurs propres convictions.»
Juristes pour l’Enfance avec d’autres associations françaises et des centaines de parents avaient saisi le Conseil d’État pour qu’il annule ce programme avant son application. Cette juridiction de plus en plus inféodée à la «gauche» n’a pas rempli son office et a approuvé ce programme EVARS.
Face à ce déni de droit, l’ECLJ va porter la requête de ces associations à l’ONU pour faire respecter la morale et les droits des parents.
Nous avons besoin de votre soutien pour obtenir une réaction forte de ce Comité. Signez et partagez dès à présent cette pétition pour soutenir ce recours international:
la France doit respecter les enfants et les droits des parents
Le droit des parents d’instruire et d’éduquer leurs enfants est remis en cause de manière systématique par les gouvernements français. Aujourd’hui, dans la loi, les parents sont relégués au rôle de «membres de la communauté éducative» (L.111-4 Code de l’éducation). Il est temps de réagir.
Alors que l’immense majorité des parents est insatisfaite de l’école publique, l’État cherche à interdire l’école à la maison, ferme ou bloque l’ouverture des écoles privées hors-contrat dès qu’il en a l’occasion et oblige les établissements privés à s’aligner sur toutes les dérives du public.
L’ECLJ déposera sa requête auprès du Comité des Nations unies dans un mois.
C’est une véritable procédure effective que nous avons déjà initiée par le passé et qui peut réellement pousser l’Éducation nationale à revoir sa copie.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :
Dans l’affaire de CREPOL, le juge d’instruction de Valence et, en appel, la Chambre de l’instruction de Grenoble avait déclaré l’AGRIF irrecevable en sa constitution de partie civile.
La chambre criminelle de la Cour de cassation vient de casser l’arrêt de la Chambre d’instruction de la Cour d’appel de Grenoble du 10 septembre 2024 en toutes ses dispositions, et l’affaire a été renvoyée devant la même chambre de l’instruction, autrement composée. L’arrêt de la Cour de Grenoble était en effet inadmissible et nous sommes heureux de ce que notre avocat à la Cour, Maître Bruno Le Griel, puisse ainsi voir ses efforts récompensés. Une nouvelle audience sera donc fixée pour statuer sur la recevabilité de l’AGRIF. Comme le disait Georges-Paul Wagner, pour l’AGRIF, il ne suffit pas d’avoir raison. Il faut avoir 100 fois raison. C’est dans cet esprit que l’AGRIF continue de mener ses actions judiciaires.
Rappelons que dans l’affaire du drame de Crépol, dans lequel de nombreuses victimes ont été plantées à coups de couteaux et dans lequel le malheureux Thomas Perroto est décédé, le Procureur de la République a confirmé que neuf témoignages « rapportent des propos hostiles disant clairement que l’hostilité est dirigée – je cite- contre les blancs » tout en refusant de retenir la circonstance aggravante de racisme.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025
De l'Équipe de France à l'équipe de françafrique, devenue carrément d'Afrique, sauf le dernier, en bas à droite, qui doit se sentir bien seul...
En tout cas, nous, on n'est plus concernés, et "cela" ne nous regarde plus, ne nous intéresse plus...
Source :lafautearousseau
Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2025
On dit ça, on dit rien... Et ce simple rappel n'est pas à jour : il manque 2024 et 2025 : au rythme où Macron y va !...
Alors, ce Système de folie et en folie : STOP OU ENCORE ?
Source : lafautearousseau