Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025

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Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025
Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025
Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2025
Ce 5 juillet à Oran (environ 100 000 Européens y résidaient encore à ce moment), alors que le prétendu « cessez-le-feu » avec le FLN était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroula une terrible chasse aux Blancs.
« On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »
Bilan : 3 000 morts et disparus.
Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général
Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».
Les accords d’Évian (article V) prévoyaient pourtant que l’armée française puisse intervenir, au cas où la sécurité de ressortissants français serait menacée. Mais les 18 000 soldats français reçurent l’ordre de rester dans les casernes.
Enlèvements et assassinats se poursuivirent jusqu’à la tombée de la nuit.
« C’est le seul exemple dans l’histoire d’un massacre perpétré sur une communauté sans défense, en présence d’une armée qui laisse assassiner ses ressortissants sans intervenir.
La tuerie dura près de six heures. Lorsque à 17 heures les gendarmes français sortirent de leur trou à rats, le calme revint aussitôt.
Les cadavres jonchaient la ville, on en trouva pendus aux crochets des bouchers, dans des poubelles…
Dans la chaleur de juillet, la puanteur était horrible.
Les soldats français et algériens déversèrent par camions les cadavres dans le Petit Lac et les couvrirent de chaux vive. Nul ne sait le bilan exact de cette Saint-Barthélemy.
On parlait dans les semaines qui suivirent de 3.000 morts et disparus.
C’est le chiffre que donna le sinistre De Broglie et que reprit le ministre André Santini.
Ce qui est sûr, c’est que le massacre était prémédité car les tueries commencèrent à la même heure aux quatre coins de la ville qui était vaste.
On peut presque dire que les morts eurent de la chance, car le sort des disparus qui furent signalés par des témoins dans les mines de l’Algérie, dans des prisons sordides, dans des maisons closes et des bars à soldats, traités en esclaves ou torturés fut sans nul doute pire encore. » (témoignage de Geneviève de Ternant)
La décision venait de l’Elysée mais trois jours après le massacre, De Gaulle osera : « mis à part quelques enlèvements, ça se passe bien Algérie ».
Le général Katz, de son côté, écrira dans son journal le soir-même du drame : « les Pieds-noirs, pour avoir caché sciemment les hommes de l’OAS pendant quatre mois, n’ont eu que ce qu’ils méritaient. »
À voir aussi :
► un dossier sur l’affaire « Katz – massacre d’Oran ».
► « C’était un 30 juin : Franco sauvait plusieurs milliers de Pieds-Noirs que De Gaulle voulait abandonner au FLN »
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2025
Les premiers résultats, vendredi dernier, avaient permis de révéler des contaminations à la bactérie E.coli dans « plusieurs boucheries » suspectées. « Dans les premiers résultats des analyses obtenues, des traces de contamination ont été détectées dans les viandes ou les surfaces de certaines des boucheries qui ont fait l’objet d’investigation », écrivait la préfecture de l’Aisne. Seul le rayon boucherie de l’Intermarché de Gauchy avait été confirmé sain, il avait donc été réautorisé à rouvrir, les cinq autres boucheries, toutes halal, restant ainsi fermées.
Il restait à confirmer le lien entre les contaminations découvertes dans ces établissements et les malades. C’est chose faite. Ce mercredi soir, la préfecture de l’Aisne annonce que les premiers résultats des analyses réalisées par séquençage génomique par le laboratoire national de référence (LNR) et le centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur « apportent la preuve irréfutable d’une correspondance entre les bactéries retrouvées au sein de plusieurs des boucheries ou de la viande qu’elles ont commercialisée et les bactéries retrouvées sur plusieurs malades ».
[…]
Trois nouveaux cas ont été identifiés ce vendredi 20 juin. Parmi ces trois enfants, l’un réside dans l’agglomération de Saint-Quentin, où sont survenus les premiers cas, et un autre réside dans la Marne mais a consommé de la viande issue d’une boucherie saint-quentinoise dont l’activité a été suspendue par la préfecture. “Un dernier cas est en cours d’investigations”, précise la préfecture. (…)
Vendredi matin, la préfecture avait annoncé la fermeture administrative de deux boucheries de la commune, suspectées d’être à l’origine de la contamination. Ce vendredi soir, deux nouveaux établissements s’ajoutent à la liste, sans fermeture à ce stade. “Les investigations sont élargies à de nouveaux établissements dans lesquels des prélèvements ont été réalisés”, explique la préfecture de l’Aisne.
Les boucheries concernées sont les suivantes :
L’activité de deux boucheries de Saint-Quentin a été suspendue préventivement dans l’attente du résultat des analyses des prélèvements effectués et de la poursuite des investigations auprès des familles des malades ainsi que des enquêtes de traçabilité.
La préfecture de l’Aisne annonce la fermeture administrative de deux boucheries de Saint-Quentin : huit enfants malades ont consommé de la viande de ces magasins avant leur intoxication alimentaire, une fillette est décédée. Des résultats d’analyses sont attendus pour le début de semaine.
Il s’agit de la boucherie “La Direction”, boulevard Henri Martin : cinq enfants malades ont consommé des produits de ce commerce ; et de la boucherie “Family”, boulevard Gambetta, un enfant a consommé des aliments de cette boutique. “Des prélèvements ont été effectués afin de rechercher la bactérie en cause. Une enquête relative à la traçabilité des viandes utilisées sur ces deux établissements est en outre engagée”, écrit encore la préfecture de l’Aisne. Elle ajoute que les résultats sont attendus pour le début de la semaine du 23 juin.
En ce qui concerne la fermeture administrative de ces deux boucheries, elle “est motivée par le risque de persistance d’une contamination bactérienne des locaux, des équipements et matériels ou des produits pendant plusieurs semaines et par l’urgence à agir au regard de la gravité des symptômes observés dont un décès, détaille la préfecture de l’Aisne. La réouverture est conditionnée aux résultats des investigations et à l’évolution rassurante de la situation épidémiologique”.
Par précaution il est demandé de ne plus consommer les aliments achetés dans ces deux établissements : les deux gérants rappellent des denrées vendues entre le 1er et le 8 juin : “si vous avez acheté des merguez, saucisses et viandes d’agneau sur cette période dans ces deux établissements, il ne faut pas les consommer”.
Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2025