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Le Parti de la France - Page 21

  • C’était un 8 mai : le maréchal Leclerc, criminel de guerre ?

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2025

    Leclerc tançant les prisonniers français avant de les faire tuer
    Leclerc tançant les prisonniers français avant de les faire tuer

    La mort de douze hommes peut paraître anecdotique à côté des millions de victimes de la Deuxième guerre mondiale. Mais l’épisode de « Bad Reichenhall » dérange, car il porte une ombre sérieuse sur l’image du maréchal Leclerc.

    Début mai 1945, une douzaine de Français de la Division Charlemagne (Waffen SS français), rescapés de la « lutte contre le bolchevisme » sur le front de l’Est, se rendent à l’armée américaine et sont internés dans une caserne de Bad Reichenhall (Haute Bavière).
    Le 6 mai 1945, la 2ème DB de Leclerc occupe cette ville ; les SS français décident de s’évader par peur de représailles.
    Ils sont finalement capturés dans un petit bois. Ils sont ensuite questionnés par le futur maréchal Leclerc. C’est le 8 mai, jour de la capitulation allemande.

    Au cours d’une brève discussion, il reproche à l’un des Français de combattre sous uniforme allemand.
    Il se voit répondre que lui-même est sous uniforme étranger, américain en l’occurrence.
    Leclerc juge cette attitude par trop insolente. Il décide de faire fusiller les prisonniers. Sans aucun jugement.

    Après avoir chacun refusé d’avoir les yeux bandés, les jeunes Français s’écroulent par groupe de quatre, l’un après l’autre – chacun voyant mourir ses camarades –, sous des balles fratricides, en criant « vive la France ! ».

    Pour couronner le tout, les corps sont laissés sur place conformément aux ordres.

    Ils seront finalement enterrés à cet endroit quelques jours plus tard, grâce aux pressions d’un aumônier français.
    Le 2 juin 1949, les corps sont transférés dans le cimetière communal de Sankt Zeno, à Bad reichenhall.

    Cet épisode tragique est parfois controversé, mais une solide enquête établit les faits : c’est le livre d’Eric Lefèvre et Olivier Pigoreau (disponible ici).

    Lettre d’un des fusillés :

    « Ma chère Maman, Le 8 mai 1945, vers 17 heures.

    Avant d’être fusillé, je pense t’écrire un dernier mot pour te dire au revoir.
    J’ai cru avoir fait mon devoir en homme et je regrette qu’une chose,
    c’est de n’avoir pas été tué sur le front, parce qu’il est pénible
    de se faire fusiller par des Français contre qui nous ne voulions pas lutter.
    Je te quitte en t’embrassant bien, bien ainsi que toute la famille.
    Je te donne rendez-vous là-haut où j’espère que Dieu saura nous juger. »

    Le témoi­gnage du Père Maxime Gaume, servant à la 2°DB :

    « Après que la déci­sion eut été prise à l’état-major de la divi­sion de fusiller les prison­niers sans juge­ment, le père Fouquet, aumô­nier divi­sion­naire, me donna l’ordre d’as­sis­ter ceux-ci dans leurs derniers moments. Le jeune lieu­te­nant qui reçut l’ordre de comman­der le pelo­ton d’exé­cu­tion n’ap­par­te­nait pas d’ailleurs à mon unité et était complè­te­ment affolé d’avoir à exécu­ter un pareil ordre, se deman­dant même s’il n’al­lait pas refu­ser d’obéir. Il réso­lut alors de faire au moins tout ce qui était en son pouvoir pour adou­cir les derniers instants des victimes et commu­nia même avec eux avant l’exé­cu­tion.
    Les onze hommes avaient été amenés en camion de Bad Reichen­hall où se trou­vait l’E.M. de la 2e DB, jusqu’à Karl­stein. Un seul refusa les secours de la reli­gion ; trois d’entre eux décla­rèrent n’avoir aucun message à faire trans­mettre à leur famille. La fusillade se fit en trois fois : par groupe de quatre, de sorte que les derniers virent tomber leurs cama­rades sous leurs yeux. Tous refu­sèrent d’avoir les yeux bandés et tombèrent brave­ment aux cris de « Vive la France ». »

     

    Source : contre-info

  • Grande distribution et halal : “jusqu’à 12 millions de personnes achètent du halal en France”, “certains magasins [de chaînes nationales] ne veulent plus du tout entendre parler de charcuterie de porc”

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2025

    Aux Mureaux, la demande « ethnique », comme on dit dans le milieu, a transformé les rayons du supermarché Auchan. « Le halal est en train de prendre le dessus, s’inquiète Virginie, cliente depuis une vingtaine d’années. Ce n’est plus du tout ce que c’était ». (…)

    C’est un sujet très tabou. Les enseignes ont peur qu’on les accuse de céder aux pressions communautaristes, alors elles prennent des pincettes », nous explique le consultant, pionnier du secteur. Les publicités évoquent ainsi les « saveurs d’orients » ou « la cuisine du monde », plutôt que le ramadan et la rupture du jeûne. (…)

    « Vos volumes de ventes en produits halal ont-ils augmenté ces dernières années ? » Silence radio chez Leclerc, Auchan, Carrefour, Intermarché, Lidl, Aldi et Casino. « Évidemment que ça a augmenté, nous glisse un cadre de Fleury Michon sous couvert d’anonymat. Certains magasins ne veulent plus du tout entendre parler de charcuterie de porc. Ils ne veulent plus que du halal ». Une question de géographie et de démographie, résume notre source. Jusqu’à 12 millions de personnes achètent du halal aujourd’hui en France, d’après l’institut NielsenIQ. 

    Le JDD via fdesouche

  • Louis Sarkozy… Encore un rejeton de l'oligarchie qui débarque dans l’arène médiatique

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2025

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    Thomas Joly

    Louis Sarkozy… Encore un rejeton de l'oligarchie qui débarque dans l’arène médiatique comme s’il avait traversé le désert, alors qu’il a simplement traversé des couloirs dorés. On nous le sert soudainement, partout, avec ses opinions convenues dignes d’un éditorial de Valeurs actuelles version junior. Qu’a-t-il fait ? Quelle épreuve ? Quel combat ? Rien, sinon être le fils de son père, soutenir hystériquement Israël et réciter des poncifs pour boomers gaullistes. Cette soudaine visibilité n’est pas anodine : elle répond à un besoin du Système de fabriquer de faux rebelles compatibles, de donner au public l’illusion du débat, tout en recyclant dynasties et discours creux. Derrière l’apparente spontanéité médiatique, il y a une stratégie : faire croire qu’un héritier peut être un penseur. C’est le théâtre habituel du pouvoir : on renouvelle les visages, jamais les idées.

  • Algérie : Trente élus français de gauche et du centre vont participer à une cérémonie officielle

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2025


    Selon Le Figaro, une délégation d’environ trente élus français – principalement de la gauche (PS, écologistes, communistes), de l’extrême gauche (ex-LFI) et du centre (centristes, radicaux, ex-Renaissance) – se rendra en Algérie à l’occasion des 80 ans des massacres du 8 mai 1945. Une cérémonie est prévue à Alger le jeudi 8 mai, suivie d’une visite à Sétif le samedi 10 mai.

    Parmi les participants :

    • Laurent Lhardit (PS), président du groupe d’amitié France-Algérie ;
    • Fatiha Keloua Hachi (PS), présidente de la commission des affaires culturelles ;
    • Danielle Simonnet (ex-LFI, aujourd’hui chez les écologistes) ;
    • Stéphane Peu (PCF), président du groupe communiste à l’Assemblée ;
    • Belkhir Belhaddad (ex-Renaissance, non-inscrit) ;
    • Raphaël Daubet (centriste, Lot) ;
    • Sophie Briante Guillemont (centristes, Français de l’étranger) ;
    • Ahmed Laouedj (radical, Seine-Saint-Denis) ;
    • Adel Ziane (PS, Seine-Saint-Denis) ;
    • Akli Mellouli (divers gauche, binational) ;
    • Sabrina Sebaihi et Karim Ben Cheikh (écologistes).

    Ils sont accompagnés d’une vingtaine d’élus, dont plusieurs membres du Cercle Émir Abdelkader, comme son président Rafik Temghari (élu de Rueil-Malmaison).

    Cette commémoration concerne la répression des manifestations indépendantistes à Sétif, Guelma et Kherrata par les forces coloniales françaises le 8 mai 1945. Le bilan humain reste controversé : environ 1 500 à 20 000 morts selon les sources françaises, et jusqu’à 45 000 selon les autorités algériennes.

    Malgré une crise diplomatique aiguë – marquée par l’expulsion mutuelle de douze agents diplomatiques – cette visite est interprétée à Alger comme « un signal positif fort » : « On les laisse venir alors même que le Conseil de la Nation a rompu ses relations avec le Sénat français », déclare une source algérienne.

    De son côté, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot reste ferme : « À ce stade la situation est bloquée et c’est la responsabilité des autorités algériennes. »

  • Le Ministère de l’Intérieur illustre une campagne contre les « rodéos urbains » avec un Blanc lambda

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2025

    Le Ministère de l’Intérieur (et ce n’est pas le seul :  RATP, SNCF, ministères en tous genres sont coutumiers du fait) s’acharne à désigner les Français moyens dans des campagnes qui dénoncent des comportements dont ils ne sont quasiment jamais responsables, mais qu’ils subissent de la part d’étrangers…

    Cette fois, c’est à l’occasion d’une communication contre les « rodéos urbains » :

    en vrai :

    extrait d’un clip de rap



    Source : contre-info