Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2025
violences urbaines
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Il n’y aura pas de retour à l'ordre sans répression féroce et remigration massive.
Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.La vérité est connue de tous mais dite par personne : ces violences sont le fruit pourri de l’immigration extra-européenne. Les émeutiers ne sont pas des Bretons ou des Auvergnats, ni des Belges ou des Italiens. Ce sont les enfants d’une immigration qui n’a jamais voulu s’assimiler, encouragée dans son rejet de la France par la lâcheté de nos gouvernants successifs. Le vivre-ensemble est une farce macabre qu’on répète pendant que le pays se disloque.Nos élites n’ont ni le courage ni la volonté de rétablir l’ordre. La justice, gangrenée par l’idéologie gauchiste, relâche les délinquants plus vite que la police ne les interpelle. On tolère l’intolérable, on excuse l’inexcusable et on criminalise ceux qui osent dire la vérité.Il n’y aura pas de retour à l'ordre sans répression féroce et remigration massive. C’est cela ou une guerre raciale lente, diffuse, mais certaine. Tout le reste — les plans banlieue, les stages de citoyenneté, les cellules de dialogue — n’est que du blabla républicain pour anesthésier un peuple qu’on trahit.Thomas Joly - Président du Parti de la France -
Après la victoire du PSG et la fête de la musique, en attendant le 14 juillet…
Publié par Guy Joveln le 13 juillet 2025
Synthèse nationale
En 2023, au lendemain des émeutes du mois de juin, alors qu’une certaine jeunesse s’était déjà bien défoulée (1 milliard d’euros de dégâts), l’Élysée avait jugé « les 13 et 14 juillet plus calmes » : il "n’y avait eu", selon le bilan officiel du 15 juillet, "que" 255 véhicules incendiés, 51 usages de mortiers d’artifices contre les forces de l’ordre, 7 policiers et pompiers blessés (contre respectivement 423, 333 et 21 en 2022)… En dépit, cependant, du déploiement de 130 000 agents, dont 10 000 pour la seule région parisienne ! Même constat en 2024, année des jeux Olympiques (avec, par exemple, 17 véhicules brûlés pour les seuls Hauts-de-Seine)…
Depuis plus de trente ans, les violences urbaines se succèdent. Elles éclatent au moindre prétexte : une célébration quelconque, un mariage, un tournage de clip de rap, une opération de police, une tentative d’interpellation, une équipée motorisée sauvage ou un rodéo qui se termine mal ; et le profil des auteurs, leurs motivations sont toujours les mêmes…
En novembre 2025, Marianne soulignait que « les pyromanes, casseurs et émeutiers, tous additionnés, représentent au maximum, entre 5% et 10% des jeunes des cités », c’est-à-dire « quelques dizaines (…) pour une cité qui compte de 3 000 à 4 000 adolescents, comme aux 4 000 à la Courneuve où seuls 1% des jeunes sont impliqués ». Sans doute...
Toutefois, il n’en demeure pas moins que, si la majorité reste à l’écart, la minorité agissante et malfaisante, elle, grossit ; que son pouvoir de nuisance au quotidien est considérable (c’est elle qui contribue grandement, là où elle vit et partout où elle passe, dans la rue, les transports en commun ou les lieux de loisir, à empoisonner l’existence d’une partie des habitants de ce pays) ; que les éruptions se succèdent ; et que, pire, elles s’étendent progressivement, gagnent en intensité, en violence, en efficacité destructrice, et font peser sur les décideurs politiques une pression permanente qui s’apparente à un véritable chantage informel …
Or, depuis plus de trente ans, à chaque nouvelle poussée, ce sont les mêmes réactions à chaud et la même inaction fondamentale à froid. On égrène la liste des méfaits, des incendies, des pillages ; on prend acte de l’extension du "domaine de la lutte", on communique le montant de la facture, on s’indigne, on s’inquiète pour l’avenir, on s’interroge, on s’introspecte, on débat, on colloque, on clame en chœur : « Plus jamais ça ! » ; on répète en boucle : « y’a qu’à, faut qu’on » ; on se creuse les méninges… Les constats, les avis, les propositions jaillissent et s’accumulent ; bref, on noie le poisson, puis on passe à autre chose et on oublie… jusqu’à la prochaine flambée !
Aujourd’hui, pour ce nouveau week-end prolongé à haut risque (en raison des festivités de la fête nationale et de la finale du Mondial des clubs, dimanche soir, entre le PSG et Chelsea), les autorités proclament qu’elles n’ont « aucun élément d’inquiétude majeure », mais qu’elles sont déterminées malgré tout « à ne pas laisser faire » et qu’elles ont « les moyens de pouvoir intervenir et agir ». Nous verrons bien.… Les paris sont ouverts…
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Violences urbaines et dégâts considérables
Publié par Guy de Laferrière le 01 juillet 2023
Auteur : Ignace
Source : medias-presse.info
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"Mais, à part ça, Madame la Marquise, tout va très bien !, tout va très bien !..."
Publié par Guy de Laferrière le 03 janvier 2023
D'accord avec Philippe Bilger :
"Un grand nombre de voitures incendiées durant la nuit écoulée plus des violences urbaines @morandiniblog Ms pour @GDarmanin
tout va bien : « pas d’incident notable… » Triste constat d’une France et d’un ministre tellement habitués au pire que, moins accablant, on s’en félicite !"875 véhicules, au minimum, ont été incendiés...
Cliquez sur l'image pour l'agrandir et utilisez le zzom...
"Mais, à part ça, Madame la Marquise, tout va très bien !, tout va très bien !..."
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Depuis le 13 avril, “100 faits de violences urbaines ont touché les Yvelines dont 66 faits d’attaques aux mortiers et projectiles contre des policiers nationaux, municipaux et des bâtiments de police”.
Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021
Selon le syndicat Unité SGP Police qui a également confirmé ces faits, depuis le 13 avril, “100 faits de violences urbaines ont touché les Yvelines dont 66 faits d’attaques aux mortiers et projectiles contre des policiers nationaux, municipaux et des bâtiments de police”.