Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2025
Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.
La vérité est connue de tous mais dite par personne : ces violences sont le fruit pourri de l’immigration extra-européenne. Les émeutiers ne sont pas des Bretons ou des Auvergnats, ni des Belges ou des Italiens. Ce sont les enfants d’une immigration qui n’a jamais voulu s’assimiler, encouragée dans son rejet de la France par la lâcheté de nos gouvernants successifs. Le vivre-ensemble est une farce macabre qu’on répète pendant que le pays se disloque.
Nos élites n’ont ni le courage ni la volonté de rétablir l’ordre. La justice, gangrenée par l’idéologie gauchiste, relâche les délinquants plus vite que la police ne les interpelle. On tolère l’intolérable, on excuse l’inexcusable et on criminalise ceux qui osent dire la vérité.
Il n’y aura pas de retour à l'ordre sans répression féroce et remigration massive. C’est cela ou une guerre raciale lente, diffuse, mais certaine. Tout le reste — les plans banlieue, les stages de citoyenneté, les cellules de dialogue — n’est que du blabla républicain pour anesthésier un peuple qu’on trahit.
Thomas Joly - Président du Parti de la France