En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
"On est traité pire que des délinquants alors que les agriculteurs créent de la richesse, de la valeur, de l’emploi. » - Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination Rurale « L’agriculture croule sous 200.000 normes. Le contrôle annuel se transforme en descente d’une cinquantaine de policiers, c’est disproportionné. » Cessez le surcontrole ! Nous sommes les hommes et les femmes qui font l'agriculture en France !"
Ce jour-là, en Inde, trois siècles de souveraineté française prenaient fin. Le gouvernement français abandonnait ses comptoirs, réunis sous le nom d’Établissements français. Cinq noms que des générations d’écoliers avaient égrenés : Pondichéry, Yanaon, Karikal, Mahé et Chandernagor, qui étaient devenus français en 1763, lors de la signature du traité de Paris.
Au devant la pression et les menaces du gouvernement de l’Inde moderne (immense état né en 1947), de la trahison de certains Français – souvent communistes ou socialistes -, et en dépit de la vision pro-française de certains de ces territoires, le gouvernement français (le même qui avait lâché l’Indochine aux communistes), abandonnera les comptoirs indiens… sans même demander de compensation !
L’Inde française 1741-1754 :
Et les cinq comptoirs rescapés jusqu’en 1954, lieux de rencontre entre deux cultures :
• Chandernagor, la ville de la lune, enfouie sous les cocotiers au plus profond du Bengale.
• Karikal, célèbre pour ses rizières et ses plantations d’arachide.
• Mahé, sur la côte de Malabar, où les bateaux chargeaient du poivre, du bois de santal et de la cardamone.
• Pondichéry, qui n’était q’n village lorsque Bellanger de Lespinay s’y installa en 1673 dans une maison abandonnée, à deux cents mètres de la mer. La ville connut son âge d’or sous le gouvernement de Dupleix, qui rêva pour la France un empire colonial en Inde (carte ci-dessus). Aujourd’hui, l’ancienne capitale des « Etablissements français de l’Inde », avec ses rues tracées au cordeau et son atmosphère créole, rappelle parfois la Nouvelle Orléans.
• Yanaon, enfin, le plus petit des comptoirs, au bord de l’embouchure du grand fleuve Godavari.
SOUTIEN TOTAL au directeur du groupe scolaire Saint-Jacques-de-Compostelle à Dax, qui a refusé que ses élèves aillent assister à un spectacle de marionnettes queers. Mis en cause, il se défend et estime que le message véhiculé "ne correspond pas au projet éducatif et pastoral" de son établissement.
Mais, pendant ce temps... Malgré la polémique, des drag queens liront bien des contes aux enfants à Vouvray et à L'Île-Bouchard...
"Non @francebleu, le "drag queen" n'est pas victime et la maire courageuse. L'un est militant, la deuxième irresponsable. La seule question qui vaille : pourquoi adresser un tel spectacle à des enfants de 6 ans ?"
L'effondrement du niveau scolaire est terrifiant : ne vaudrait-il pas mieux employer toutes les ressources (temps, argent, efforts...) à remplir le vrai rôle de l'école : apprendre en tout premier lieu aux enfants à lire, écrire, compter ?
L’attaquant portugais Cristiano Ronaldo, qui évolue actuellement au sein du club de football saoudien Al Nassr, arrive en tête du classement du magazine Forbes des footballeurs les mieux payés au monde en 2024.
« La superstar portugaise, qui est en tête de la liste pour la sixième fois au cours de la dernière décennie, devrait gagner 220 millions de dollars sur le terrain cette saison, une somme qui comprendrait des incitations financières provenant d’accords commerciaux facilités par son club en plus de son salaire de joueur », a déclaré le magazine économique dans son article.
« Son total de 285 millions de dollars – dont environ 65 millions de dollars en dehors du terrain – est un record dans le football, battant les 260 millions de dollars qu’il a comptabilisés en 2023 », peut-on lire dans l’article.
Le deuxième joueur sur la liste Forbes est l’Argentin Lionel Messi, qui joue actuellement pour le club de football Inter Miami aux États-Unis (Major Soccer League).
« Messi arrive à la deuxième place du classement général avec une estimation de 135 millions de dollars avant impôts et frais d’agent – dont 75 millions de dollars hors du terrain, la meilleure marque du sport – mais pour la deuxième année consécutive, il est derrière son rival Cristiano Ronaldo, qui a bénéficié des largesses de l’Arabie saoudite lorsqu’il a rejoint Al Nassr en janvier 2023 », selon Forbes.
L’attaquant brésilien Neymar du club de football saoudien Al Hilal complète le top trois avec un salaire de 80 millions de dollars sur le terrain et de 30 millions de dollars en dehors du terrain.
Le reste du Top 10, selon Forbes, est le suivant : 4e le français Karim Benzema du FC saoudien Al Ittihad (104 millions de dollars au total ; 100 millions de dollars sur le terrain plus 4 millions de dollars en dehors du terrain) ; 5e l’ attaquant français Kylian Mbappe du FC espagnol Real Madrid (90 millions de dollars au total ; 70+20 millions de dollars) ; 6e le norvégien Erling Haaland du Manchester City anglais (60 millions de dollars au total ; 46+14 millions de dollars) ; 7e le brésilien Vinicius du Real Madrid espagnol (55 millions de dollars au total ; 40+15 millions de dollars) ; 8e l’égyptien Mohamed Salah du Liverpool FC anglais (53 millions de dollars au total ; 35+18 millions de dollars) ; 9e le sénégalais Sadio Mané du FC saoudien Al Nassr (52 millions de dollars au total ; 48+4 millions de dollars) ; 10e le belge Kevin De Bruyne en provenance du Manchester City FC d’Angleterre (39 millions de dollars au total ; 35+4 millions de dollars).
Quand une société priorise de façon excessive les « jeux », elle n’est plus loin d’atteindre le seuil fatal qui a conduit Rome à sa chute à travers l’obsession du « Panem et circenses » (Du pain et des jeux).