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  • Renault ferme son site à Vaulx-en-Velin (69) : « Zone de non-droit et de trafic »

    Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2022

    « L’établissement est pris en tenaille. » C’est par ces mots que le groupe Renault Retail Group débute son rapport devant les élus du Comité social et économique (CSE) extraordinaire, le 15 avril. Il annonce la fermeture au 31 décembre 2022 de la concession et des ateliers avenue de Bohlen à Vaulx-en-Velin la Soie. Le site, réhabilité il y a quelques années, est situé face à l’hippodrome et à côté du centre commercial Carré de Soie.

    « Accolé à un centre commercial périclitant »

    Selon le groupe automobile français, « sur sa partie Est, l’environnement immédiat se caractérise par des zones de trafic et de non-droit qui sont clairement défavorables à nos activités. Sur sa partie Ouest, le site est accolé à un centre commercial périclitant, ainsi que des bureaux en grande partie non occupés. » Et d’ajouter : « L’établissement s’entoure aussi d’une population à faibles revenus par foyer, inférieurs à la moyenne nationale » qui ne correspondrait plus aux standards de clientèle.

    « Discrimination »

    Ces propos ont choqué autant les élus du CSE que les élus vaudais, à l’image d’Ange Vidal, conseillère municipale d’opposition (Dvg) en colère qui s’est rendue sur le site pour rencontrer les salariés. « Je suis abasourdie par de tels propos, que je ne laisserai pas passer car ils sont inacceptables. Comment un groupe comme Renault, dont l’État est actionnaire et qui touche suffisamment d’aides, peut-il se permettre de discriminer la population d’une ville, de la stigmatiser ?

    […]

     

    Le Progrès via fdesouche

  • Contraint de quitter la Russie, son principal marché après la France, Renault en passe de redevenir un “petit” constructeur européocentré. “Une vraie catastrophe”, se lamente-t-on au sein du groupe

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2022

    Mais que reste-t-il donc à Renault sans la Russie? La cession programmée d’Avtovaz (Lada), premier constructeur auto russe contrôlé par le Français (à hauteur de 68%) depuis cinq ans, prive la firme tricolore de sa… plus importante base stratégique hors d’Europe! “Une vraie catastrophe”, gémit-on au sein du groupe au losange tricolore! Les cadres dirigeants sont consternés.

    Deuxième débouché commercial pour la firme de Boulogne-Billancourt, la Russie a généré l’an dernier presque un demi-million de ventes (482.200), dont 350.700 Lada! Avec les exportations, Avtovaz a écoulé au total 385.200 véhicules. La Russie représente 18% des volumes totaux du groupe Renault, juste derrière la France (19%), mais largement devant l’Allemagne (6,6%), l’Italie (5,7%). Hors d’Europe, les ventes de Renault au Brésil ne pesaient dans le même temps que 4,7%. La Turquie représente à peine 4,3%, l’Inde 3,5%!

    Les deux sites d’Avtovaz à Togliatti et Ijevsk (40.000 personnes en tout) ont produit, l’an passé, 412.300 véhicules (y compris des Logan et Sandero pour Renault) selon des chiffres officieux, alors que l’usine roumaine du groupe hexagonal (Dacia) à Pitesti n’en a fabriqué que 257.400, le site turc de Bursa 248.000, Tanger au Maroc 230.000, Curitiba au Brésil 178.000. Togliatti à elle seule (286.700) est la première usine de Renault dans le monde! Et ce, alors que le premier site de Renault en France, celui de Batilly spécialisé dans les utilitaires, a culminé à 142.000 véhicules fabriqués en 2021.

    (…) Challenges

    Un chat noir hante-t-il les couloirs du siège de Renault à Boulogne-Billancourt ? On pourrait le penser, au vu des calamités qui s’abattent avec régularité sur le constructeur français. Plongé dans une très mauvaise passe à la suite de l’affaire Ghosn, le Losange a vu son redressement entravé par la crise sanitaire, puis la pénurie de semi-conducteurs. Et alors que les résultats 2021 signalaient enfin un retour à meilleure fortune, l’invasion russe en Ukraine le contraint à couper les ponts avec son principal marché après la France.

    (…) Les Echos

  • Renault: le groupe automobile français est particulièrement exposé en Russie, son deuxième marché en volumes

    Publié par Guy Jovelin le 23 févier 2022

    La géopolitique va-t-elle contrarier les plans de croissance de Renault ? Le groupe automobile français fait probablement partie des entreprises les plus surveillées par les investisseurs sur les répercussions des décisions de Vladimir Poutine de reconnaître l’indépendance du Donbass (Est de l’Ukraine) et d’y dépêcher des troupes militaires. Le titre a baissé de près de 3,76% ce mardi au lendemain des annonces du président russe, après avoir déjà chuté hier de 3,96%. Peu dépendant du marché russe, Stellantis par exemple a vu son cours légèrement augmenter de 0,17% ce mardi. […]

    La Tribune via fdesouche

  • Renault diffuse une pub violemment homosexualiste et pro-métissage

    Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2021

    Mis à jour le 16 mai 2021 Auteur par Rédaction

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     Cela fait une trentaine d’années que les publicitaires s’efforcent de façonner l’opinion française dans le sens voulu par les cosmopolites et mondialistes, avec la promotion du métissage puis de l’homosexualité, à des époques où c’était marginal dans la société.

    Les affiches pullulaient déjà, dans les années 90, avec des « couples mixtes » tels qu’on en voyait rarement en réalité.

    Mais l’objectif était bien que le peuple finisse par ressembler à ce qu’il voyait sur les panneaux et dans la presse.

    Bien que le plan se déroule petit à petit sans trop de difficultés, avec la complicité de la gauche et de la fausse droite, ça ne suffit pas : il n’y a plus de place en France pour les familles normales, pour l’homme blanc.

    Ainsi, Renault fait fort, avec une nouvelle publicité (la marque s’était déjà signalée avec une scandaleuse pub homosexualiste dès janvier 2012) qui illustre bien cette démarche, sans aucune pudeur, grossièrement.

    Pour un public averti : 

    Source : contre-info

  • Pourquoi la justice s’intéresse aux 900.000 euros versés par Renault à Rachida Dati

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    La justice enquête depuis plusieurs mois sur les 900.000 euros versés, à partir de 2010, par la filiale néerlandaise de Renault-Nissan à Rachida Dati, pour une prestation de conseil auprès de l’ancien PDG du groupe, Carlos Ghosn. Dans Le Monde, Fabrice Lhomme et Gérard Davet ont eux aussi enquêté et révèlent ce jeudi d’importants éléments du dossier. Invité d’Europe midi, le journaliste Fabrice Lhomme est revenu sur les points qui interrogent les magistrats. Selon lui, il y a “un double problème” avec le contrat qu’a signé Rachida Dati.

    Il manque beaucoup de choses“, commence Fabrice Lhomme. “Les policiers, mandatés par trois juges d’instruction, sont à la recherche de documents qui attesteraient le travail pour lequel Madame Dati a été rémunérée de manière importante“, explique-t-il. “Il y a donc un doute sur la réalité des prestations effectués“, poursuit le journaliste, qui explique que “peu de traces des missions pour lesquelles elle aurait rempli conformément à son contrat” ont été trouvées.   

    Second problème : le statut de Rachida Dati. À l’époque de la signature du contrat (2009), l’ancienne garde des Sceaux venait d’être élue eurodéputée. “On la voit intervenir en faveur de Renault mais plus comme une lobbyiste que comme une avocate ou une consultante“, explique Fabrice Lhomme. Or, “ce travail de lobbyiste est interdit pour tout parlementaire“, rappelle-t-il. […]

    Enfin, l’importance des sommes versées à Rachida Dati, qui réclamait une rémunération de 1.000 euros de l’heure, interroge la Justice. Selon le journaliste du Monde, on observe “un contraste entre l’importance des sommes qui sont versées et la faiblesse des prestations apparentes“.[…]

    Europe 1 via fdesouche