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nouvelle calédonie

  • NOUVELLE-CALÉDONIE : RIEN N’EST JOUÉ !

    Publié par Guy Jovelin le 15 juillet 2025

    synthesenationale

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Si les autorités françaises – Manuel Valls en Tête -, croyaient avoir enterré le problème calédonien en signant le 12 juillet dernier un accord révolutionnaire, proposant la création d’un « État calédonien au sein de la République française », elles en seront pour leurs frais.

    Déjà, des voix d’opposants s’élèvent sur le caillou, telles celles, contradictoires, de Philippe Blaise, Premier vice-président de la province du sud – Nouméa et ses environs, au sens large du terme -, et d’une certaine Mélanie Atapo, présidente de « l’Union des syndicats des travailleurs Kanaks et des exploités » (sic !). Certains leaders des indépendantistes du FLNKS parlent, aussi, de « trahison », et désavouent leurs représentants à Paris, qui ont signé l’accord avec des « loyalistes », tout aussi critiqués par leur camp.

    « Un long fleuve qui ne sera pas tranquille » !

    D’abord, qu’est-ce qu’un « État » ? Sa définition juridique est, à peu près, la suivante : « personne morale de droit public détentrice de la souveraineté »…

    Première difficulté, comment organiser un État différent de l’État français, tout en l’intégrant au sein de la République ? Quel casse-tête pour un étudiant en droit et, même, pour un professeur agrégé de droit constitutionnel !

    Question connexe, « qui portera le pantalon », en l’occurrence, qui aura le dernier mot en matière financière et de, justement, souveraineté, ce concept recouvrant les pouvoirs régaliens : justice, police, défense et diplomatie ? On parle même d’une « nationalité calédonienne ». Les Caldoches et les Kanaks auront-ils, dans ce cas, un passeport différent de celui de la République française ? Beaucoup de questions sans réponses, on  évolue en plein brouillard.

    Il est prévu sur place un référendum en février 2026 – ce  ne sera jamais que le cinquième, tous les précédents ayant accouché d’un « non » à l’indépendance -, et, selon les résultats, la convocation du Parlement en congrès, pour modifier la constitution et acter la création de cette nouvelle fameuse entité politique, différente de la France, mais tout en y étant. Comprenne qui pourra !

    « État associé » ?

    Certes, il y a des exemples d’États associés, les îles Cook et Niue avec la Nouvelle Zélande - des confettis dans l’océan Pacifique très faiblement peuplés -, et Porto-Rico avec les Etats-Unis, pour  les plus connus. Mais il ne faut pas se leurrer, la création d’un « État » ne peut déboucher, à terme, que sur l’indépendance. Si Porto-Rico n’a pas encore choisi cette voie, c’est qu’une majorité de ses habitants aspire à devenir citoyens américains de plein droit, ce que refuse, pour l’heure Washington, pour des raisons économiques, démographiques et migratoires. L’île des Caraïbes est entre deux chaises, situation parfaitement inconfortable. Est-ce ce que nous voulons pour la Nouvelle-Calédonie encore française ?

    Un dangereux précédent

    D’autre part, accorder ce statut à la Nouvelle-Calédonie, serait ouvrir la boite de Pandore. Quels arguments pourrions-nous opposer au gouvernement de la Polynésie française pour refuser ce statut, ou aux îles des Antilles, pire, aux autonomistes corses ? Ce serait la porte ouverte à des revendications sécessionnistes qui ne manqueraient pas de fleurir ici ou là, même dans l’hexagone. Ayons toujours présent à l’esprit que  les termites du séparatisme islamique, régional ou ethno-linguistique, sont toujours à la manœuvre.

    La seule solution raisonnable - nous l’avons déjà dit ici -, serait une partition du « Caillou ». La province du nord et celle des îles formant une Kanaky indépendante, liée par des accords de coopération avec la France, et la transformation de la province du sud, en un département d’outre-mer. On ne peut que s’indigner et combattre cette nouvelle reculade du pouvoir macronien, qui n’en n’est pas à une trahison près de la France !

  • LA NOUVELLE CALÉDONIE EST DEVENUE FRANÇAISE, C'EST UN FAIT PRODUIT PAR L'HISTOIRE : ELLE DOIT LE RESTER !

    Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2025

    Très intéressant article sur la Nouvelle Calédonie, dans Boulevard Voltaire !  "Rendre le Canada aux Hurons et aux Algonquins, restituer les États-Unis aux Sioux et aux Cheyennes, le Mexique aux Aztèques, le Pérou aux Incas… Et pourquoi pas l’Antarctique aux pingouins ?..."

    https://www.bvoltaire.fr/strictement-personnel-les-desaccords-de-noumea/?fsp_sid=1074

    LA NOUVELLE CALÉDONIE EST DEVENUE FRANÇAISE,

    C'EST UN FAIT PRODUIT PAR L'HISTOIRE :

    ELLE DOIT LE RESTER !

     

    Source : lafautearousseau

  • Nouvelle Calédonie : alerte à la Chine, mais attention ! Alerte aussi à l'Azebaïdjan, ce repaire de nazéris !

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2024

    Nouvelle Calédonie : alerte à la Chine, mais attention ! Alerte aussi à l'Azebaïdjan, ce repaire de nazéris !

    (extrait vidéo 1'48)

    https://x.com/ericosx/status/1820559842718998901

    LA NOUVELLE-CALÉDONIE EST FRANÇAISE !

    ELLE VEUT LE RESTER (ELLE L'A DIT PAR TROIS FOIS) !

    ELLE DOIT LE RESTER !


    CALEDONIE TERRE DE FRANCE | Facebook
     
  • Non à l’abandon de la Nouvelle Calédonie !

    Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2021

    Auteur

    Parmi ces atouts, il faut citer en premier lieu deux éléments sur lesquels nos dirigeants n’ont aucune prise : l’histoire et la géographie.

    L’un de nos premiers atouts est en effet le merveilleux patrimoine que nos aïeux ont amoncelé au fil des siècles.

    Mais il ne faudrait pas non plus oublier que la France dispose d’une géographie incroyablement favorable. En métropole d’abord où, sur un territoire réduit, nous disposons de tant de climats, de tant de paysages différents, de milliers de kilomètres de côtes, etc.

    Mais aussi en outre-mer. La France est présente sur tous les continents. Et elle dispose de l’un des premiers domaines maritimes du monde (premier ou deuxième selon la façon dont on mesure la chose).

    Malheureusement, la France est dirigée depuis des décennies par des gens qui ne comprennent pas l’intérêt de ces atouts prodigieux.

    Ainsi observe-t-on une sorte d’acharnement à abandonner la Nouvelle-Calédonie depuis les années 1980 – et c’est contre cet acharnement que réagit Jean-Claude Martinez, avec le talent qu’on lui connaît.

    Un troisième référendum sur l’indépendance doit avoir lieu le 12 décembre prochain (s’il n’est pas reporté d’ici là !).

    À cette occasion, le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, a déclaré : « Au sens des Nations Unies, la Nouvelle-Calédonie fait partie des territoires qui sont encore à décoloniser. On ne peut pas y échapper, c’est une parole qui a été donnée à l’ensemble des parties par les présidents de la République successifs. »

    Cette déclaration est d’abord une forfaiture : les dirigeants politiques n’ont aucune légitimité à disloquer le pays qu’ils ont reçu mission de gouverner.

    C’est aussi un lâchage scandaleux des populations fidèles à la France.

    Il est vrai qu’hélas, c’est une vieille tradition.

    Nous allons commémorer en 2022 le 60e anniversaire de l’abandon de l’Algérie – et toutes les risettes de M. Macron aux harkis n’y feront rien : la réalité, c’est que la France a monstrueusement condamné ses fils au choix cruel entre « la valise et le cercueil », quand elle ne les a pas, purement et simplement, livrés à leurs bourreaux.

    Avant cela, nous avions abandonné en Indochine des populations qui nous avaient fait confiance.

    Ici, la trahison des oligarques est, s’il se peut, plus visible encore, puisqu’ils ont, par un sordide tour de passe-passe, interdit à bon nombre de Français fidèles de voter au motif absurde qu’ils étaient blancs – fabriquant littéralement un corps électoral largement fondé sur la race (qui, comme chacun sait, n’existe pas !).

    Mais ce nouveau bradage annoncé est aussi un contresens historique majeur.

    Il saute aux yeux que le sort du monde va désormais se jouer dans le Pacifique. La France y est, grâce notamment à la Nouvelle-Calédonie, une grande puissance et c’est le moment que nous choisissons pour livrer notre province aux tyrans communistes chinois.

    Comment s’étonner que l’Australie se méfie d’alliés aussi peu fiables que M. Macron ?

     

    Source : les4verites

  • NOUVELLE CALÉDONIE : CE 12 DÉCEMBRE, DIRE NON À LA CHINE, OUI À LA FRANCE (POUR LA TROISIÈME FOIS !)

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2021

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    PAS BESOIN D'ÉPILOGUER,

    TOUT LE MONDE LE SAIT :

    CE 12 DÉCEMBRE

    LA NOUVELLE CALEDONIE CHOISIRA LA CHINE

    OU DE CONTINUER AVEC LA FRANCE

    POUR NOUS C'EST CLAIR :

    OUI À LA NOUVELLE CALÉDONIE TOUJOURS FRANÇAISE !

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    Source : lafautearousseau.