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  • Jordan Bardella visé par une plainte, notamment pour «escroquerie» il risque 10 ANS de prison

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2025

    Six mois après les premières révélations de Libération sur la fabrication de faux documents pour maquiller l’emploi fictif présumé de Jordan Bardella, quand il était assistant d’un eurodéputé en 2015, une association anticorruption a saisi mardi 25 mars le procureur de Paris d’une plainte. Selon nos informations, celle-ci, portée par l’Association de défense écologiste de la démocratie et des libertés (Adelibe), vise notamment à «éviter l’acquisition d’une prescription extinctive qui pourrait toucher lesdites infractions» présumées, à savoir, «détournement de fonds publics», «recel de détournement de fonds publics», «faux», «usage de faux», «escroquerie» et «tentative d’escroquerie».

    La plainte vise à la fois Jordan Bardella et l’ancien eurodéputé auprès duquel il était censé remplir des fonctions à l’époque, Jean-François Jalkh. Cette plainte intervient moins d’une semaine avant le rendu du délibéré dans l’affaire dite des «assistants parlementaires fictifs du Rassemblement national», attendue au 31 mars.

    Jordan Bardella risque 10 ans de prison, 1 million d’euros d’amende et 5 ans d’INÉLIGIBILITÉ dans l’affaire des assistants parlementaires, après le dépôt d’une plainte à son encontre.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Jordan Bardella et Marion Maréchal, en tant que députés européens, sont invités par le gouvernement israélien à intervenir à la Conférence internationale de la lutte contre l’antisémitisme

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2025

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    Jordan Bardella et Marion Maréchal, en tant que députés européens, sont invités par le gouvernement israélien à intervenir à la Conférence internationale de la lutte contre l’antisémitisme, qui se tient à Jérusalem les 26 et 27 mars prochain.
    Qui aurait pu prédire, il y a encore quelques années, que le Rassemblement National, parti honni, ostracisé, éternellement repoussé à la marge, verrait son président adoubé par Israël, ce pays qui, depuis des décennies, distribue les brevets de respectabilité aux leaders européens jugés fréquentables ? La dédiabolisation, entreprise laborieuse et souvent humiliante, trouve ici son aboutissement. Jordan Bardella, jeune premier de la droite nationale, est accueilli par le gouvernement israélien. Un véritable triomphe pour lui. Mais quelle gifle pour Marine Le Pen !
    Elle qui a tout fait, tout sacrifié pour obtenir ce sésame. Elle qui a trahi son père, changé le nom de son parti, multiplié les gages de bonne conduite et les génuflexions médiatiques. Elle qui rêve, depuis tant d’années, d’une visite officielle à Yad Vashem, d’un cliché devant le Mur des Lamentations, symbole suprême de la reconnaissance internationale. Elle est pourtant tenue à l’écart. Pire encore : son propre dauphin, celui qu’elle a fait prince, la devance et reçoit les honneurs auxquels elle aspirait tant. Si, par malheur pour elle, cette visite coïncide avec son inéligibilité dans l’affaire des assistants parlementaires, alors ce sera la fin. Quelle ironie cruelle ! Avoir piétiné l’héritage paternel pour obtenir un blanc-seing qui ne viendra jamais…
    Quant à Marion Maréchal, l’affaire est entendue. Son israélophilie ostentatoire, affichée depuis des années, lui assure une place de choix dans cette mascarade. Qu’elle y voie une consécration n’étonnera personne. Elle aussi cherche l’adoubement, la reconnaissance, la légitimation par des instances étrangères. Triste spectacle d’une droite nationale en quête d’approbation, là où elle devrait, au contraire, affirmer son indépendance et sa souveraineté.
    Car c’est bien là le problème de cette visite. Elle n’est pas simplement un pas de plus dans la quête de respectabilité de Bardella ou une preuve de soumission de Maréchal. Elle est, plus largement, un acte d’allégeance à un État controversé, dans l’esprit d’une éternelle repentance européenne. Toujours s’excuser, toujours se justifier, toujours faire acte de contrition. C’est insupportable.
    L’opposition nationale française n’a pas à aller chercher un quelconque adoubement en Israël ni dans aucun autre pays étranger. Elle n’a de comptes à rendre qu’au peuple français. Il est grand temps qu’elle s’en souvienne.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Bardella prend la fuite lors du Congrès CPAC à Washington

    Publié par Guy Jovelin le 21 février 2025

    Prenant prétexte d’un salut nazi (?) fait par Steve Bannon lors du congrès CPAC, Jordan Bardella a décidé de renoncer à intervenir. Un signe de plus de la chiraquisation du Rassemblement national, qui fait de la peur de son ombre l’alpha et l’omega de ses décisions politiques. Imaginons un instant que ce parti parvienne au pouvoir, ce qui n’est pas réellement gagné, il suffira d’une campagne de presse pour le faire renoncer, reculer, dans un mouvement de chiraquisation pitoyable…
    Réaction de Steve Bannon à propos de l’annulation de Jordan Bardella à la CPAC :
    « C’est un petit garçon, s’il annule à cause de ce que dit la presse mainstream sur mon discours, il n’est pas digne de diriger la France »
     

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  • Bardella au service de l’intelligence artificielle et du transhumanisme

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2024

    Jordan Bardella, Laurent Alexandre et Yuval Noah Harari

    C’est un point qu’il est important de rappeler, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, est aujourd’hui parmi la classe politique française, celui qui se fait le plus le porte-voix des idées malsaines de son ami et conseiller Laurent Alexandre, chantre de l’Intelligence Artificielle et du transhumanisme, ainsi que de Yuval Noah Harari, promoteur de nouvelles technologies démiurgiques et de la religion des data et naturellement ami de Klaus Schwab, gourou du Forum économique mondial en quête de successeur.

    Le RN au service de l'Intelligence Artificielle et du transhumanisme

    Dans certaines de ses interventions, Jordan Bardella partage sa technophilie galopante, parle de colonisation du cosmos, de sélection embryonnaire, d’Homo deus ou d’IA forte, vante les progrès des NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives) en déplorant les ardeurs régulatrices de l’Europe. Sur ce dernier point, il faut d’ailleurs remarquer qu’il fut en 2022, avec ses collègues du RN siégeant au Parlement européen, l’un des plus zélés défenseurs de l’IA sans contrainte, répondant plus que quiconque aux attentes des lobbyistes des GAFAM.

    La Commission européenne avait avancé en 2021 sa proposition de loi relative à l’intelligence artificielle : l’Artificial Intelligence Act afin d’encadrer par des règles communes le développement de cette technologie. Il s’agissait officiellement de séparer les pratiques et technologies entre celles qui doivent être purement et simplement interdites, et celles qui doivent être soumises à des régulations plus fortes selon une approche fondée sur le niveau de « risque » qu’elles représentent.

    Vote au Parlement européen conforme aux attentes des GAFAM

    En février 2022, les rapporteurs du texte proposaient que les systèmes d’IA générant des textes complexes sans surveillance humaine fassent partie de la liste des technologies « à haut risque ».

    Bien entendu, Microsoft et Google, pour ne citer qu’eux, ont exercé un intense lobbying sur les décideurs politiques de l’UE pour défendre ChatGPT (dont Microsoft est l’un des principaux investisseurs) des obligations imposées aux systèmes d’IA à haut risque.

    En juin 2023, à l’approche du vote du texte, les eurodéputés Kosma Zlotowski et Adam Bielan ont déposé au nom du groupe ECR (conservateurs) l’amendement 791 proposait d’inclure dans le texte un considérant à la gloire de l’Intelligence Artificielle présentée comme « l’occasion unique d’accroître la productivité, la prospérité, le confort de la vie et le bien-être au travail ». Rien que ça. Les innombrables personnes qui perdront leur emploi à la suite du développement de ces technologies apprécieront. L’amendement 791 ajoutait que le texte ne devrait pas « ralentir le développement » de l’IA. Cet amendement fut bien évidemment soutenu par Dot Europe, lobby européen au service des GAFAM.

    L’amendement 791 a finalement été rejeté mais Jordan Bardella et ses collègues du RN s’étaient empressés de voter en sa faveur.

    Pierre-Alain Depauw

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    Source : medias-presse.info