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peuple

  • Pour un bien commun enraciné : reconquérir notre peuple, notre terre, notre foi

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2025

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    Julien Dir, Breizh info cliquez ici

    On nous parle sans cesse de “vivre ensemble”. Ce slogan, cette formule anesthésiante, c’est le cataplasme que le Système applique sur la plaie béante de notre civilisation. Derrière cette expression, il n’y a pas de fraternité réelle, pas d’amour véritable. Il y a la gestion froide et administrative d’un enchevêtrement de communautés qui ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, et qui, trop souvent, se méfient les unes des autres. C’est l’anti-bien commun.

    Le vrai bien commun, celui qui élève et soude, ne naît pas d’un slogan publicitaire financé par Bruxelles ou par un ministère de la “Cohésion sociale”. Le bien commun naît du sol, des pierres, des croix plantées à la croisée des chemins. Il naît de la mémoire d’un peuple, de ses morts, de ses prières, de son sang versé pour que la maison tienne debout.

    Redonner le goût de vivre à notre jeunesse

    Regardez notre jeunesse : on lui vole ses racines, on lui détruit ses repères, on lui inculque la honte de son identité. On lui promet un avenir de “transition permanente” et de “crises inéluctables”, du climat à l’économie, en passant par la peur fabriquée de sa propre disparition. Alors elle se replie, elle se drogue, elle s’abrutit, elle fuit dans les écrans. Elle ne croit plus en rien.

    Le bien commun, c’est le contraire : c’est donner envie de vivre. C’est donner envie d’aimer, de fonder une famille, de transmettre un nom, une terre, un héritage. C’est rappeler à un jeune Breton que sa patrie, ce ne sont pas seulement des frontières sur une carte, mais un enchevêtrement d’églises romanes, de chapelles, de calvaires, de ports, de villages et de campagnes qui portent encore l’empreinte des siens.

    Foi, civilisation et fraternité réelle

    On ne bâtira rien de solide sans renouer avec notre foi, qu’elle soit pleinement catholique ou inscrite dans une spiritualité héritée de nos pères. Sans la transcendance, sans le regard tourné vers plus grand que nous, le matérialisme vide nos âmes et laisse la place aux marchands de rêves artificiels et aux politiciens cyniques.

    Le bien commun, c’est retrouver confiance en nous, en notre civilisation, et arrêter de courber l’échine devant ceux qui nous méprisent. C’est se serrer les coudes avec nos voisins, nos amis, notre famille, et préférer la compagnie de ceux qui partagent notre histoire, nos coutumes, notre langue, plutôt que de s’extasier devant l’effacement de tout ce qui nous définit.

    Conquérir, protéger, transmettre

    Le bien commun ne se quémande pas, il se conquiert. Il exige du courage, de la volonté et, parfois, du sacrifice. Cela veut dire protéger nos terres, nos métiers, nos traditions, notre sécurité. Cela veut dire refuser la dilution de notre peuple dans un grand magma mondialisé où plus rien n’a de sens. Cela veut dire transmettre à nos enfants non pas un pays épuisé, fracturé, honteux de lui-même, mais une patrie fière, sûre de sa place dans l’Histoire et prête à y rester.

    La Bretagne, comme toute l’Europe, ne retrouvera pas le sourire avec les slogans creux des communicants du régime. Elle le retrouvera le jour où ses clochers sonneront pour annoncer non pas la reddition, mais la renaissance.

    Le bien commun, ce n’est pas “vivre ensemble” avec n’importe qui, dans n’importe quelles conditions. C’est vivre debout, ensemble, enracinés dans notre terre et dans notre foi, unis par le sang, la culture et l’espérance.

  • “Le peuple n’est pour rien dans les révolutions”

    Publié par Guy de Laferrière le 19 août 2023

    “Le peuple n’est pour rien dans les révolutions”

    Patrick Malvezin, né en 1949, a rédigé une thèse dirigée par Pierre Boutang sur Joseph de Maistre, les conditions ontologiques du recours à la tradition. Il vient de publier un ouvrage sur Joseph de Maistre ou le mystère du gouvernement, Parcours d’une oeuvre et d’une vie. Dans cet ouvrage préfacé par l’abbé Lorans, il revient sur la vie et les oeuvres de Joseph de Maistre, ancien franc-maçon bouleversé par la révolution, confronté au mystère du gouvernement. À la lecture des textes les plus significatifs du magistrat savoisien, l’auteur nous montre l’actualité de la pensée de cet auteur contre-révolutionnaire, devenu un adversaire résolu des Lumières et de la Révolution.  A propos de la contre-révolution, l’auteur cite ces lignes de Joseph de Maistre, tirées des Considérations :

    En formant des hypothèses sur la centre-révolution, on commet trop souvent la faute de raisonner comme si cette contre-révolution devait être et ne pouvait être que le résultat d’une délibération populaire. Le peuple criant, dit-on ; le peuple veut, le peuple ne consentira jamais ; il ne convient pas au peuple, etc. Quelle pitié ! Le peuple n’est pour rien dans les révolutions, ou du moins, il n’y entre que comme instrument passif. Quatre ou cinq personnes, peut-être, donneront un roi à la France. Des lettres de Paris annonceront aux provinces que la France a un roi, et les provinces crieront : vive le roi ! A Paris même, tous les habitants moins une vingtaine, peut-être, apprendront, en s’éveillant, qu’ils ont un roi. Est-il possible, s’écrieront-ils, voilà qui est d’une singularité rare ? Qui sait par quelle porte il entrera ? Il serait prudent, peut-être, de louer des fenêtres d’avance, car on s’étouffera. Le peuple, si la monarchie se rétablit, n’en décrétera pas plus le rétablissement qu’il n’en décréta la destruction, ou l’établissement du gouvernement révolutionnaire.

     

    Source : lesalonbeige

  • "le Peuple contre les élites"

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2022

    Au jeu des sept familles... Dans la famille Foldingue, je demande... :

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    À la Rédaction de lfar, on s'amuse toujours quand on voit ou entend (sur BFM ou partout) des choses comme "le Peuple contre les élites" : quoi, ce serait "ça", des "élites" ? La bonne blague ! En voilà une qu'elle est bonne !!!!!

    Et un baudet pour Loiseau, un !

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    Source : lafautearousseau

  • Affaiblissement d’un peuple ou d’une civilisation

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2020

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

    Les causes de la décadence sont presque partout les mêmes dans l’histoire : individualisme et hédonisme excessifs, amollissement des mœurs, égoïsme social, dévirilisation, mépris des valeurs héroïques, intellectualisation des élites, déclin de l’éducation populaire, détournement ou abandon de la spiritualité et du sacré, etc.
    D’autres causes sont fréquentes : modification du substrat ethnique, dégénérescence des aristocraties naturelles, perte de la mémoire historique, oubli des valeurs fondatrices. La décadence survient lorsque le souci du maintien dans l’histoire de la communauté-du-peuple s’estompe, lorsque les liens communautaires de solidarité et de lignage s’affaiblissent.

    Pour résumer, on peut dire que la décadence voit des symptômes apparemment contraires se conjuguer : l’excessive intellectualisation des élites, de plus en plus coupées du réel, et la primitivisation du peuple. Panem et circenses…
    L’Europe connaît aujourd’hui une telle situation. La plupart du temps, la décadence est mal perçue comme telle et refusée par ses contemporains. Ceux qui la dénoncent sont assimilés à des prophètes de malheur. Les époques de décadence se parent souvent du masque de la renaissance. Ces attitudes sont des comportements de conjuration du réel, d’occultation des symptômes dans le but de rassurer.

    Aucune décadence ne doit être considérée comme irréversible. Il faut cultiver l’optimisme tragique de Nietzsche.
    (Georges Bernanos).

    L’image contient peut-être : une personne ou plus
     
     
     
  • Gouvernement des juges et des notables... Gouvernement contre le peuple.

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Le Conseil constitutionnel, au nom des sacro-saintes "libertés publiques" vient d'invalider la loi imposant un suivi des djihadistes à leur sortie de prison.
     
    Cette loi, par la faiblesse de son contenu et la timidité des mesures qu'elle instaurait - bracelet électronique, obligation de pointer chaque semaine dans un commissariat ou une gendarmerie, devoir de signalement d'un changement d'emploi ou de résidence, sans oublier l'incontournable, dérisoire et toujours hilarant "suivi psychologique en vue de déradicalisation" - relevait, certes, de la cautère sur une jambe de bois (le traitement clinique le plus efficace étant, selon nous, l'expulsion pour les étrangers et pour les binationaux après déchéance de la nationalité,  et peine de mort dans les cas les plus graves).
     
    Cette loi tirée au robinet d'eau tiède du politiquement correct et de "l'arc de raison", pauvre loi d'un régime défaillant et criminel par laisser-faire, se résumait, en quelque sorte et pour user d'une expression à la mode, à une série de gestes barrières à minima pour la protection des Français. C'était déjà trop.
     
    Les réformes constitutionnelles successives ont donné à ceux que l'on nomme bien à tort "les sages du Palais royal", sorte d'Ehpad pour vieux politiciens et hauts fonctionnaires en fin de vie publique, une emprise exorbitante sur la conduite des affaires de l'État. La faute en incombe à la lâcheté et à l'esprit d'abandon des Présidents successifs de cette Cinquième République moisie. 
     
    Gouvernement des juges, gouvernement des notables, des conseils, des comités, des conventions... Gouvernement des lobbies, gouvernement des convents. En dehors du peuple et contre le peuple.
     
    l'État national remettra demain les choses en ordre.