La capitale gardoise voit se développer des règlements de comptes qui rappellent ceux de la grande voisine marseillaise.
Depuis début 2020, les armes ont parlé à douze reprises à Nîmes (Gard), dont sept fois avec des fusils d’assaut. Des rafales tirées le plus souvent dans les quartiers sensibles de la ville, la ZUP, à l’ouest, et les quartiers sensibles du Chemin bas et du Mas de Mingue, au sud. Le motif? Des conflits entre équipes rivales sur fond de trafic de stupéfiants…
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