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fusillades

  • Nantes : 12 fusillades en 12 jours, dans l’indifférence générale

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2022

    Le journal régional Breizh Info dresse la liste impressionnante des fusillades qui éclatent régulièrement dans Nantes, depuis mars dernier : au 23 avril, ils en avaient compté 19, 20 en réalité puisque du plomb avait été retrouvé dans un volet rue du Honduras le 19 mars dernier, auxquelles se sont ajoutées trois de plus du 25 au 27 avril, et une dans la nuit du 27 au 28 avril.

    Soit 24 depuis le début de l’année, et 12 en autant de jours depuis le 16 avril.

    Dans l’indifférence générale, tant des responsables politiques, juridiques… et des médias, très occupés à glorifier Emmanuel Macron d’avoir évité le spectre de la guerre civile.

    « Maintenant que la campagne présidentielle socialiste est finie, Johanna Rolland, maire de Nantes, devrait envisager un jumelage avec Marioupol, et appeler les tchétchènes à la rescousse pour pacifier la ville« , ironisent les policiers nantais.

     

    Source : medias-presse.info

  • En Suède, le nombre de fusillades meurtrières atteint un niveau record en 2021

    Publié par Guy Jovelin le 02 janvier 2022

    Suède – Le nombre de fusillades meurtrières reste à un niveau record

    La fusillade meutrière de Linköping était la 47e de l’année. – Ni la police ni les autres autorités n’ont réussi à l’enrayer ce phénomène, explique le criminologue Manne Gerell. La violence mortelle par arme à feu est restée à un niveau élevé depuis les années 1990.

    Depuis 2017, plus de 40 personnes sont abattues chaque année, selon les statistiques de la police. Cette violence est liée aux conflits au sein des réseaux criminels, entre différents gangs criminels concurrents.

    SVT.se via fdesouche

  • Fusillades et règlements de comptes : Nîmes dans la spirale des violences

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2020

    16/09/2020 à 8h05
     

    La capitale gardoise voit se développer des règlements de comptes qui rappellent ceux de la grande voisine marseillaise.

    Depuis début 2020, les armes ont parlé à douze reprises à Nîmes (Gard), dont sept fois avec des fusils d’assaut. Des rafales tirées le plus souvent dans les quartiers sensibles de la ville, la ZUP, à l’ouest, et les quartiers sensibles du Chemin bas et du Mas de Mingue, au sud. Le motif? Des conflits entre équipes rivales sur fond de trafic de stupéfiants…

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien via fdesouche

  • Toulouse : l’été plombé par les fusillades

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2020

     
    fusillades
    © Pixabay

    A Toulouse, l’été s’annonçait chaud sur les thermomètres. Il l’est également dans les rues de la ville. Plusieurs fusillades ont éclaté dans la ville rose, visant tour à tour des dealers, le frère d’un joueur de football et des bandes. 

    Quatre morts des une dizaine de blessés. C’est le terrible bilan de l’été à Toulouse où les coups de feu ont retenti dans différents quartiers de la ville. Des Izards à Saint-Simon, en passant par le Stadium ou les Minimes, les règlements de compte ou les agression par arme à feu se sont multipliés depuis le mois de mai. 

    Déconfinement : prémisse d’un été de plomb

    Alors que la France vivait sa dernière semaine de confinement, à Bagatelle, les armes étaient déjà sorties de chez elles. Le jeudi 7 mai au soir, un homme d’une trentaine d’années a été la cible de « deux détonations », selon des témoins. Une agression qui pourrait être mise sur le compte « de faits de vols ou de rackets auprès des commerçants du quartier », indique La Dépêche. La victime s’est présentée d’elle-même aux urgence, sa cuisse traversée par un projectile. Le suspect court toujours. Quelques heures plus tard, c’est un rodéo dans le secteur du Mirail qui a occasionné des coups de feu entre participants. Aucun blessé n’a été signalé.

    Le week-end du 25-26 avril avait déjà occasionné une série de quatre fusillades, à Bagatelle, La Reynerie, Croix-Daurade et Empalot. Cette fois sur fond de trafic de drogue d’après les enquêteurs. Plusieurs blessés avaient été pris en charge. 

    Lire aussi : 14 juillet : 9 voitures brûlées, des feux de poubelles, pas de trêve sanitaire pour les délinquants

    Le 23 mai au soir dans le quartier des Arènes, un rodéo sauvage a failli mal tourné. Appelé par des riverains après avoir entendu « des coups de feu », les policiers se sont retrouvés face à des chauffards, n’hésitant pas à leur foncer dessus. L’une des voitures est passée à « quelques centimètres » d’un fonctionnaire de police. Une personne a été arrêtée et jugée en comparution immédiate. 

    Le 23 juin, c’est dans le quartier d’Empalot que les armes refont parler d’elles. Un individu a tiré à la chevrotine sur un homme. Blessé au dos et à l’abdomen, il a été transféré à l’hôpital de Rangueil dans un état grave. Les policiers d’élite du Raid ont été appelé pour appréhender le tireur, aperçu dans un immeuble du quartier quelques minutes après les faits. En vain, la personne interpellée n’était pas le forcené qui court toujours.

    Juillet sanglant 

    Le 13 juillet, le frère du footballeur de Tottenham (Angleterre) Serge Aurier, Christopher, a été tué dans un établissement de nuit du secteur Saint-Simon. Touché à l’abdomen, il est décédé des suites de ses blessures à l’hôpital. Un homme s’est rendu aux policiers, quelques jours plus tard, expliquant avoir agit sur fond de jalousie. 

    Trois jours plus tard, le corps d’un homme a été retrouvé sans vie à proximité du Stadium, sur l’île du Ramier. Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime était âgée de 16 ans et aurait reçu une balle dans le flanc, avant d’être achevé d’une balle dans la tête. 

    Pas de trêve en août 

    Le mois d’août a été chaud. Un soir de canicule, le 8 août sur la place des Pradettes, un homme de 25 ans a été grièvement blessé par un tir aux alentours de 2 heures du matin. Un autre homme qui l’accompagnait a lui aussi été visé par les tirs. Il a réussi à échapper à ses agresseurs, au nombre de deux et équipé au moins d’un fusil, en montant dans une voiture qui l’a conduit à l’hôpital. Quelques jours avant, les policiers avaient déjà été appelés pour des coups de feu, sans qu’aucune trace ne soit retrouvée par les enquêteurs. Le quartier des Pradettes a connu des affrontement entre bandes rivales au début du mois. 

    Dans le quartier des Izards à l’embouchure de la station de métro Trois Cocus, un groupe de jeunes a été la cible d’un tireur. Un homme de 29 ans a été tué et deux autres personnes ont été blessées par des balles de 9mm tiré par un individu, semble-t-il, à pied. Si la victime n’est pas connue des services de police, les deux blessés seraient lié aux trafics de stupéfiants qui gangrènent le quartier. Une dizaine de coups de feu auraient été tiré, au milieu des passants. 

    Lire aussi : « 98% des interpellés sont issus de la communauté maghrébine », selon un policier de Haute-Garonne

    Le jeudi suivant, une seconde fusillade a éclaté dans le même quartier, quasiment au même endroit. Trois coups de feu aurait été tiré sans faire de victime et sans même que des douilles ne soient retrouvées sur les lieux. 

    Dimanche 16 août, c’est dans le quartier des Minimes, cher à Claude Nougaro, qu’un adolescent de 15 ans a été blessé par balles. Touché à la jambe droite, ses jours ne sont pas en danger mais la mauvaise série continue de se dérouler sous les yeux des policiers impuissants. La victime serait un guetteur du quartier, chargé de prévenir les dealers de l’arrivée des forces de l’ordre. Le tireur court toujours après avoir pris la fuite à bord d’une grosse berline noire. 

    Face à cette terrible série, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, compte rencontrer à la rentrée le Premier ministre Jean Castex, en déplacement ce mardi à Mondonville, pour lui demander des effectifs de police supplémentaire. L’élu estime que 200 nouveaux policiers seraient nécessaire pour calmer les ardeurs des trafiquants et des délinquants qui pullulent dans la ville rose. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Toulouse : 4 fusillades en un week-end malgré le confinement

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2020

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    © Pixabay

    Toulouse deviendrait-elle Chicago ? Le confinement n’arrête pas les incidents impliquant les armes à feu. Entre règlements de compte et mystère sur les raisons de ces violences, pas moins de quatre fusillades ont été recensées en l’espace d’un week-end à Toulouse. 

    On a beau être en période de confinement, les armes sortent de chez elles. Et pas seules, les tireurs les accompagnent tout autant. En l’espace de trois jours, trois fusillades ont été répertoriées sur la ville rose, blessant trois personnes. 

    Une première fusillade vendredi soir à Bagatelle

    Vendredi soir, vers 20h30, les pompiers découvrent, rue du Lot dans le quartier de Bagatelle, un jeune homme de 18 ans touché à la gorge. La victime a été pris pour cible par un ou plusieurs assaillants quelques minutes plus tôt. Opéré dans la nuit, ses jours sont désormais hors de dangers mais le mystère demeure encore sur les raisons de son agression. Selon La Dépêche, la famille de la victime serait bien connu de la justice, notamment deux d’entre eux auraient déjà été condamnés lourdement par la cour d’assise. Mais les enquêteurs vont avoir du mal à établir les raisons de cette tentative d’homicide, puisque même la victime ou les quelques témoins ne souhaitent visiblement collaborer avec les autorités, rapporte le quotidien. L’arme n’a pas non plus été retrouvée. Le parquet a confié l’enquête au service régional de la police judiciaire de Toulouse. 

    Lire aussi : Mirail : une nuit d’émeutes en plein confinement

    Il prie dans son appartement et reçoit une balle

    Samedi soir, dans le quartier du Mirail, c’est cette fois un habitant du quartier qui a été touché par un tir. Alors qu’il priait dans sa maison, une balle aurait ricoché dans son appartement avant de le toucher à la main. Âgée de 51 ans, la victime a été transformé en urgence au CHU Purpan. Là encore, l’origine du tir n’a pas été éclaircie et on ne sait même pas si le quinquagénaire était visé, souligne La Dépêche. 

    Une heure et demie plus tard, dans le quartier d’Empalot, rue d’Antibes, une dizaine de coups de feu ont été entendus par des habitants du secteur. Selon des témoins, « une personne habillée en noir et vêtue d’un casque de moto se serait approchée d’un logement situé au rez-de-chaussé, arme à la main, avant d’ouvrir le feu », rapporte le quotidien. Une dizaine d’impacts de balle ont été relevés sur la vitre. Le locataire âgé de 54 ans, pris pour cible n’a pas été blessé. Là encore, peu de précisions autour de cette tentative d’homicide, les enquêteurs du Groupe d’appui judiciaire devront faire la lumière sur cette exécution manquée. 

    Lire aussi : La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    À Croix-Daurade, un homme dans un état grave

    Le week-end s’est conclu comme il a commencé. Vers 20h30, rue du Général Albert d’Amade (quartier Croix-Daurade), un homme a été blessé par balles. Selon des témoins, « un individu serait sorti d’une berline noire qui circulait à proximité de la victime », rapporte La Dépêche. Une dizaine de coups de feu ont été entendu. La victime a été transportée à l’hôpital et se trouverait dans un état « grave », selon le journal. L’agression aurait eu lieu près d’un point de vente de stupéfiants. L’enquête est désormais entre les mains du parquet de Toulouse. 

    La rédaction d’Infos-Toulouse

     

    Source : infos-toulouse