Et avec le projet de dissémination des immigrés dans toutes les régions, cela n’est pas prêt de se calmer…
Un article du Figaro note une hausse de 8 % des violences en 2020, toutes catégories confondues, dans les zones rurales et périurbaines confiées à la gendarmerie, alors que ces mêmes violences ont baissé de plus de 5 % dans les zones urbaines de la police nationale.
Ainsi en Bretagne : plus de 20 % d’augmentation en Îlle-et-Vilaine, quasiment autant dans le Finistère et les Côtes-d’Armor. Avec des records également en Gironde (autour de 15 %), sans oublier, au même niveau ou presque, la Marne ou le Calvados, La Seine-et-Marne, la Vendée et le Rhône.
Un préfet du sud de la France le dit :
« Dans les zones gendarmerie particulièrement, l’essentiel des faits de violence, dans mon département, vient des violences intrafamiliales, qui ont connu une hausse de 30 %, mais aussi des outrages, rébellions et refus d’obtempérer. Est-ce la conséquence du confinement sur l’humeur de certains de nos concitoyens ? »
- Les règlements de comptes, homicides et tentatives d’homicide ont augmenté de 3 % en zone police et de plus de 15 % en zone gendarmerie.
- Les violences à dépositaires de l’autorité ont augmenté d’environ 7 % en zone gendarmerie.
- Quand les viols ont augmenté de 7 % environ l’an dernier, en zone police, ils ont augmenté de près de 18 % en zone gendarmerie, avec plus de 12 000 faits révélés, soit plus de 30 par jour.
Source : lesalonbeige