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violences

  • Révélations gênantes sur les vols avec violence et intimidation aux fêtes d’Aste Nagusia en 2023 à Bilbao : 75 interpelés sur 79 sont “d’origine arabe”.

    Publié par Guy de Laferrière le 06 avril 2024

    Bien qu’il s’agisse d’un document confidentiel, cette photo présente un intérêt public national pour la presse espagnole libre.

    Cette image des portraits de détenus [27 sur 75] correspond aux personnes arrêtées par l’Ertzaintza et la police locale pour vols avec violence et intimidation. Sur les 4 autres restants, un est sans papiers et les trois autres sont des femmes (Pour l’intégralité des photos, voir ci-dessous la note 1).

    Extraits de l’article de esdiario dans lequel notre courageux confrère espagnol – Alvise Pérez  qui se définit comme un analyste indépendant – a publié ces photos parce qu’il estime que, bien qu’il s’agisse d’un document confidentiel, il présente un intérêt public national.

    Il l’a d’abord fait via son compte Telegram , mais les images se sont ensuite répandues comme une traînée de poudre sur Twitter . De plus, dans ses publications sur les réseaux sociaux, il assure qu’il existe une autre liste d’agressions sexuelles et de viols encore plus longue mais qui, pour le moment, n’a pas vu le jour.

    Bilbao se « repose » déjà après sa Grande Semaine, célébrée du samedi 19 au dimanche 27 août 2023. Sans aucun doute et comme c’est normal, c’est la période de l’année où plus de gens descendent dans les rues de Bilbao et aussi quand davantage de crimes se produisent. Plus il y a de monde et plus il y a de mouvements, plus il y a de crimes. Les autorités municipales estiment que 1 800 000 personnes ont participé aux activités d’Aste Nagusia en 2023 et que les arrestations ont augmenté de 29% par rapport à l’année précédente.

    Cependant, ce qui a le plus retenu l’attention sur les réseaux sociaux ces dernières heures (en avril 2024), c’est la fuite de la liste  des personnes arrêtées par l’Ertzaintza et la police locale de la ville lors de ces célébrations.

    Concrètement, il s’agit des images des dossiers de police correspondant à des personnes arrêtées pour vols avec violence et intimidation.

    Au total, 79 détenus, dont 75 d’origine arabe.

    Les quatre autres personnes restantes sont une personne sans papiers et trois femmes. Le fait que plus de 90 % des personnes interpellées aient ce schéma commun d’origine n’est pas passé inaperçu sur les réseaux sociaux.

    Loin de nous de vouloir “essentialiser une communauté par son origine” ou de pratiquer un “amalgame qui serait nauséabond“, mais les faits parlent d’eux-mêmes et contre un fait, il n’existe pas d’arguments (Proverbe latin : contra factum non datur argumentum).

    Paul DEROGIS

    (1) Source et totalité des portraits des personnes arrêtées : esdiario

  • Darfour Sud : face au regain de violence, l’asile en France ouvert aux ressortissants

    Publié par Guy de Laferrière le 24 octobre 2023

    Darfour Sud : face au regain de violence, l’asile en France ouvert aux ressortissants

    La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) a annoncé lundi 23 octobre qu’elle considère désormais le Darfour Sud en «situation de violence aveugle d’exceptionnelle intensité», ouvrant la voie à la protection des Soudanais originaires de cette région au titre de l’asile en France.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Flambée de violence au Kosovo, disparition du Nagorny-Karabakh : les mauvaises fontières font les bonnes guerres

    Publié par Guy de Laferrière le 02 octobre 2023

    2 Octobre 2023, 06:25am | Publié par Thomas Joly

    Fin septembre, des paramilitaires serbes, retranchés ensuite dans le monastère de Banjska, ont attaqué la police kosovare. Cette dernière a riposté, tuant plusieurs de ses adversaires. Un policier kosovar est mort dans cet échange de tirs, décès donnant lieu à un concert de pleurs de la part des officiels de Pristina, la capitale de cette ancienne province autonome de l’ex- Yougoslavie, dépecée dans les années 1990.

    Kosovo/ Nagorny-Karabakh, « même combat » ?

    Il y a plus d’une similitude entre la situation du Haut-Karabakh et celle du Kosovo. Ces deux régions, cœurs historiques de deux nations – Serbe et Arménienne  - ont toutes deux été envahies par l’ennemi voisin – Albanais pour les uns, Azéri pour les autres - ce qui a entrainé leur effacement de la carte, partiellement pour la première, totalement pour la seconde. À l’heure où ces lignes sont écrites, les 9/10 ème du Nagorny-Karabakh sont vidés de leurs habitants arméniens. Une épuration ethnique qui n’avoue pas son nom. Les autorités de Bakou ont beau dire qu’elles respecteraient leurs droits, la façon dont leur soldatesque s’est comportée laisse peu d’espoirs aux irréductibles d’avoir une vie « normale » ! D’autant, déjà, que des responsables militaires de cette défunte République d’Artsakh ont été arrêtés, en tant que « criminels de guerre » selon les autorités de Bakou…

     La chance d’une partie des Serbes du Kosovo, par rapport aux Arméniens de l’enclave proclamée indépendante lors de la chute de l’URSS en décembre 1991, est d’être accolée à la Mère-patrie, à partir de la partie nord de la ville mixte de Mitrovica, séparée par la rivière Ibar. Les autres villageois serbes, enclavés, ne doivent leur survie qu’à la molle protection de la KAFOR, la force d’interposition forte de 4500 soldats mise en place par l’OTAN. Le président Serbe Aleksander Vucic, massant des troupes à la frontière du Kosovo, a encore déclaré qu’il ne reconnaitrait jamais l’indépendance de cette ancienne province, « …même si vous devez nous tuer tous » ! (On n’est pas sorti de l’auberge…)

    « Diviser pour régner » !

    En  1921, Staline, alors commissaire aux nationalités de la nouvelle République bolchévique, appliquant au mieux la célèbre maxime «  diviser pour régner »,  avait érigé en Oblast autonome l’enclave arménienne du Nagorny-Karabakh au sein de la République  soviétique d’Azerbaïdjan, à la population majoritairement musulmane, alors que les Arméniens sont chrétiens depuis la nuit des temps. C’était introduire le ver dans le fruit ! Il savait ce qu’il faisait le Géorgien, qui allait s’emparer de tous les leviers de commandes de l’Empire communiste. Pendant toute la durée de vie de l’Union soviétique, les conflits ethniques, qui couvaient comme les braises sous la cendre, étaient contenus,  contrôlés dans cet univers carcéral par « Le petit père des peuples ». Il avait pourtant semé, ici ou là, des petites bombes à retardement, qui n’ont explosé que bien après sa mort,  intervenue en 1953. Les conflits, oui, ont explosé, comme en Moldavie, avec la sécession – réussie – de la Transnistrie et de la Gagaouzie - réglée, elle, pacifiquement - en Géorgie avec l’indépendance proclamée de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud, l’Adjarie rentrant dans le rang avec un  statut d’autonomie. Il aura fallu deux guerres et d’énormes concessions faites par Poutine au satrape Kadyrov, pour que la Tchétchénie calme ses velléités séparatistes. Le Tatarstan s’est assagi, lui aussi – jusqu’à quand ? – tandis que le Daghestan est toujours la proie d’une agitation islamiste.

    Les frontières ne sont pas « des vaches sacrées » !

    En Yougoslavie - création artificielle au lendemain du conflit de 14/18 – si les armes se sont tues, le problème de fond des frontières n’est pas réglé pour autant. L’Albanie aspire à constituer, avec la province du Kosovo détachée de la Serbie érigée en « République indépendante », une « grande » nation albanaise. La Bosnie-Herzégovine est l’exemple type de ce qu’il ne faut pas faire pour solder un conflit ethnique. Les Européistes et autres utopistes onusiens, ont créé un « monstre bicéphale », avec deux entités : la République serbe (SRBSKA), et la Fédération croato-musulmane, autre petit monstre à deux têtes ! Expliquons-nous. Les Serbes de Bosnie n’aspirent qu’à une chose, l’indépendance dans un premier temps, et leur rattachement à la Serbie dans un second. Quant aux Croates et aux Bosniaques musulmans de la Fédération – un mariage contre nature, scellé uniquement par l’hostilité commune envers les Serbes - il serait tellement facile d’en détacher les cantons croates limitrophes de la Croatie, et de les agglomérer à cette dernière. Le solde territorial de cette Fédération serait érigé en République Bosniaque, ethniquement et religieusement homogène, autour de Sarajevo. Cette actuelle grande Bosnie est tellement artificielle, que c’est l’Union européenne qui a créé son drapeau, largement inspiré de la « chaussette » bleue aux étoiles dorées de l’Union bruxelloise !

    Pourquoi ne pas appliquer aux Balkans ce qui a été reconnu judicieux, à terme, pour l’Afrique ? Le dogme de l’intangibilité des frontières a été bousculé sur le continent noir. Le Soudan ex-anglo/égyptien, a été découpé en deux Etats au terme d’une longue guerre civile, le Soudan proprement dit, capitale Khartoum – pays en proie à une autre guerre fratricide  - et le Sud-Soudan. L’Erythrée s’est séparée de l’Ethiopie – fait internationalement reconnu – ce qui n’a pas calmé pour autant l’irrédentisme tigréen, alors que le Somaliland, autoproclamé indépendant, fait toujours partie, pour la communauté internationale, de la Somalie, capitale Mogadiscio…C’est un malheur géopolitique que le Biafra, l’ex-province orientale du Nigéria, ait raté sa sécession en janvier 1970.Les Ibos chrétiens ou animistes, n’ont rien à voir avec les musulmans du nord de cette Fédération artificielle, en proie aux agressions de la secte islamiste Boko-Haram. D’ailleurs, c’est toute la carte du continent africain injustement divisé, écartelé, découpé entre les grandes puissances européennes  lors du Congrès de Berlin en 1885, qu’il aurait fallu redessiner lors des indépendances. Les Sud-africains avaient bien tenté de morceler leur territoire et celui de la Namibie en différents Etats ethniques, mais la chute du régime de l’Apartheid et l’hostilité des grandes puissances, a jeté aux oubliettes ce plan de partage. Même un ministre gaulliste comme Alain Peyrefitte, maire de Provins, avait écrit en 1961 un livre, « Faut-il partager l’Algérie ? » dont, malheureusement pour la France et, surtout, pour les Pieds Noirs et les Harkis,  le général De gaulle ne tira aucun profit. Albion ne céda pas en 1947 aux exigences et récriminations unitaires  du Mahatma Gandhi, et partagea son Empire des Indes en deux pays, réparties sur trois territoires : l’Inde proprement dite, le Pakistan occidental et le Pakistan oriental. (Ce  dernier devenant au 1971 le Bangladesh.) Il n’est pas jusqu’à l’archipel des Comores qui fut divisé en deux entités, la République fédérale islamique des Comores, et l’île française de Mayotte, dont on connait par ailleurs, les problèmes migratoires et hydrauliques. Même de vieilles nations comme le Royaume-Uni avec l’Ecosse, l’Espagne avec la Catalogne ou la France avec la Corse, sont parcourues par des courants séparatistes. Il s’en est fallu d’un cheveu que le Québec ne quitte le giron canadien lors de  deux référendums, perdus à cause de l’unité  électorale des adversaires à l’indépendance de « la  Belle province ». (Partie remise ?) Le Kurdistan est toujours écartelé entre quatre pays - comme la Pologne de jadis - et seule sa partie irakienne bénéficie d’une substantielle autonomie. En Europe, je ne vois qu’un divorce réussi sans confrontation, l’éclatement de l’artificielle Tchécoslovaquie, créée sur les ruines de l’Empire des Habsbourg au lendemain de la Première guerre mondiale. Deux Etats nouveaux sont nés, la Tchéquie à partir de la Bohême-Moravie, et la Slovaquie, ressuscitée.

    Reculer pour mieux sauter ?

    En ex-Yougoslavie, si les frontières de la  Macédoine, du Monténégro et de la Slovénie ne bougeront pas, rien ne semble définitif pour la Bosnie, la Croatie ou la Serbie, cette dernière ayant déjà en son sein une province autonome, la Voïvodine, avec une petite minorité hongroise. Une minorité magyare que Victor Orban, Premier ministre à Budapest, a doté de passeports hongrois pour ceux des membres de cette ethnie qui le veulent, comme en Transylvanie roumaine ou en Slovaquie. On peut penser que pour ces pays, à la fois membres de l’Union européenne et de l’OTAN, les frontières ne bougeront plus. Mais rien ne dit que la Moldavie, si elle échappe à l’emprise moscovite, ne voudra pas, à terme, se réunifier au sein d’une « Grande Roumanie » dont elle fut séparée par la guerre.

    Un irrésistible appétit territorial azéri ?

    Dans le Caucase, l’Azerbaïdjan vient de « récupérer », après trente ans d’attente, l’enclave du Nagorny-Karabakh. Sera-ce suffisant pour calmer l’appétit azéri ? Grande est la tentation de faire de la Turquie et de l’Azerbaïdjan, deux pays voisins, en effaçant la frontière arméno-iranienne, qui  les sépare. Ne serait-ce pas le vœu secret, non explicitement formulé d’Erdogan, la président turc, qui se prend de plus en plus  comme le néo-sultan de tous les peuples musulmans de l’Asie centrale, jusqu’au Sin-Kiang chinois, l’ex-Turkestan oriental ?  Très paradoxalement, un Iran chiite pourrait être le seul voisin compréhensif de l’Arménie. À moins que cette dernière, déçue par son protecteur russe, ne vise un nouveau suzerain, américain cette fois, ennemi de l’Iran, mais bien vu par la Géorgie, son autre voisine ? On le voit, les cartes peuvent être complètement redistribuées. Il peut y avoir une « tectonique des plaques » géopolitique, surtout si un conflit israélo-iranien  bousculait tout cet  échafaudage particulièrement instable.

    La France et l’Europe aux abonnés absents ?

    Alors que quotidiennement nos chaines de télévision nous abreuvent d’images en provenance d’Ukraine, particulièrement LCi - avec ses messages dithyrambiques à la gloire de Zelinsky ânonnés par ses propagandistes et ses « pétroleuses » appointés – la défense des intérêts arméniens se fait plus discrète. Dans l’affaire arménienne, l’Europe et la France, pour l’instant, brillent par leur absence, exception faite des interventions et démarches  courageuses de quelques personnalités publiques, ayant sûrement en tête les retombées électorales supposées favorables, auprès de la communauté arménienne …

    Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • Week-end de violences à Aurillac (15) : Menaces par arme à feu sur fond de trafic de drogue, violences au couteau et coups de feu au Foirail

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    Le week-end du commissariat d’Aurillac a été particulièrement agité, avec plusieurs gardes à vue en cours pour des faits de violence avec armes, sans lien évident entre les différentes affaires.

    Il est environ 16 heures, quand le commissariat et la police municipale sont alertés, jeudi 29 avril, d’un conflit qui dégénère en centre-ville, rue de Noailles. Sur place, les forces de l’ordre trouvent deux hommes qui en viennent aux mains, dans une bagarre un peu nébuleuse où un couteau apparaît dans une main, puis l’autre, tandis qu’un belligérant part chercher… des pierres d’une vingtaine de centimètres.

    Il devra être maîtrisé par la police municipale avec un pistolet à impulsion électrique. Les deux hommes ont été placés en garde à vue, et le sont encore, ce dimanche soir.

    Menaces avec arme

    Les policiers du commissariat d’Aurillac ont enchaîné les sorties, ce week-end. Il est approximativement 20 heures quand ils se dépêchent rue du Collège, alors qu’un homme dit avoir été menacé avec une arme à feu. Les forces de l’ordre ont trouvé sur place un homme de 20 ans correspondant à la description réalisée, et ont retrouvé une arme factice.

    Le jeune homme est en garde à vue, une enquête pour violences avec menace d’une arme est en cours. Selon nos informations, le mobile pourrait être à chercher du côté d’un trafic de stupéfiants.

    Coups de feu au foirail

    Plus tard dans la nuit, vers 3 heures du matin, deux hommes ont été blessés, sur le Foirail, à proximité du Bobo. Des vérifications sont en cours, mais le plus légèrement blessé semble être un dommage collatéral et n’a peut-être été blessé que par un éclat. Client du bar, il serait sorti au mauvais moment.

    L’autre homme, blessé à la jambe, présente bien une blessure par balle. L’enquête suit son cours, aucune hypothèse n’est aujourd’hui privilégiée. Deux hommes ont été vus, sur place, par plusieurs témoins. Aucune interpellation n’a été réalisée. (…)

    La Montagne

  • Carcassonne (11) : fort de 17 condamnations à son casier judiciaire, ce Marocain sorti de détention depuis quinze jours, repart en prison pour de nouvelles violences

    Publié par Guy de Laferrière le 03 janvier 2023

    Ce lundi 2 janvier, un Marocain de 39 ans a été jugé en comparution immédiate pour des faits de violences en état d’ivresse et de rébellion envers les deux policiers venus l’interpeller. Il était sorti de prison depuis le 14 décembre.

    Fort de 17 condamnations à son casier judiciaire, dont une à quatre ans de prison pour des coups mortels alors qu’il était âgé de 16 ans, Mounaïm fait partie de ces personnes que l’on peut qualifier de dangereuse. Âgé aujourd’hui de 39 ans, ce Marocain résidant à Castelnaudary était sorti de prison depuis le 14 décembre, après avoir purgé deux ans de détention pour des faits de violences… Ce lundi après-midi, c’est pourtant devant le tribunal de Carcassonne que ce ressortissant marocain est arrivé sous escorte policière, après avoir passé une nuit à la maison d’arrêt. Cette fois-ci, ce sont pour des faits de violence en état d’ivresse manifeste et de rébellion sur deux fonctionnaires de police, que le trentenaire était jugé en comparution immédiate. L’affaire remonte au 31 décembre, à Carcassonne.

    […]

     

    L’Indépendant via fdesouche