Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2021
Et avec le projet de dissémination des immigrés dans toutes les régions, cela n’est pas prêt de se calmer…
Un article du Figaro note une hausse de 8 % des violences en 2020, toutes catégories confondues, dans les zones rurales et périurbaines confiées à la gendarmerie, alors que ces mêmes violences ont baissé de plus de 5 % dans les zones urbaines de la police nationale.
Ainsi en Bretagne : plus de 20 % d’augmentation en Îlle-et-Vilaine, quasiment autant dans le Finistère et les Côtes-d’Armor. Avec des records également en Gironde (autour de 15 %), sans oublier, au même niveau ou presque, la Marne ou le Calvados, La Seine-et-Marne, la Vendée et le Rhône.
Un préfet du sud de la France le dit :
« Dans les zones gendarmerie particulièrement, l’essentiel des faits de violence, dans mon département, vient des violences intrafamiliales, qui ont connu une hausse de 30 %, mais aussi des outrages, rébellions et refus d’obtempérer. Est-ce la conséquence du confinement sur l’humeur de certains de nos concitoyens ? »
- Les règlements de comptes, homicides et tentatives d’homicide ont augmenté de 3 % en zone police et de plus de 15 % en zone gendarmerie.
- Les violences à dépositaires de l’autorité ont augmenté d’environ 7 % en zone gendarmerie.
- Quand les viols ont augmenté de 7 % environ l’an dernier, en zone police, ils ont augmenté de près de 18 % en zone gendarmerie, avec plus de 12 000 faits révélés, soit plus de 30 par jour.
Source : lesalonbeige