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violences - Page 5

  • Violences en Martinique : des journalistes de BFMTV visés par des tirs à balles réelles, cinq policiers blessés par balles (MàJ : David Guiraud évoque « un incident »)

    Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2021

    David Guiraud (Porte-parole LFI) évoque « un incident » :


    Cinq policiers blessés par balles

    Dix policiers ont été blessés en Martinique dans la nuit de jeudi à vendredi, dont cinq par balles et cinq autres par des projectiles, selon un nouveau bilan de la police communiqué à l’AFP.

    La Provence


    Des tirs à balles réelles en direction des journalistes de BFMTV

    Les quatre journalistes n’ont pas été blessés et ont eu juste le temps de monter à bord de leur véhicule et de quitter précipitamment les lieux.

    Quatre journalistes, dont un photographe de l’AFP, ont été visés par des coups de feu dans la nuit de jeudi 25 à vendredi 26 novembre dans un quartier de Fort-de-France alors qu’ils couvraient les violences urbaines nocturnes en Martinique. Les journalistes ont essuyé trois tirs dans une rue désertée en raison du couvre-feu strict décrété jeudi soir. Des hommes sur deux motos ont tiré sur les journalistes qui étaient en train de filmer et prendre des photos à bonne distance d’un barrage en feu.

    (…)

    “On est sortis de la voiture pour filmer le barrage de loin. On était près du canal Levassor, tout proche du port de plaisance, un endroit plutôt calme ces derniers jours. On était seuls. J’ai vu deux motos s’arrêter. J’ai crié : ‘Putain y a les motos !'” a raconté Loïc Venance. Les journalistes avaient eu écho que des hommes à moto armés venaient provoquer les forces de l’ordre lors des violences nocturnes.

    “Au moment de monter dans la voiture, il y a eu un premier tir. Puis deux autres tirs avant qu’on file”, a détaillé Julien Taureau. “Ça faisait une heure et demie qu’on tournait dans la ville pour témoigner des violences. On a croisé énormément de policiers qui nous disaient de rentrer. Ils étaient hyper tendus. On s’est dit : ‘c’est hyper calme, c’est pas normal'”, a rapporté le photographe de l’AFP.

    Francetvinfo

    Une équipe de tournage de BFMTV, ainsi qu’un photographe de l’AFP et un photojournaliste de l’agence Abaca Press, ont essuyé des tirs à balles réelles près du centre-ville de Fort-de-France. Ils tournaient une séquence et photographiaient dans une rue, à proximité d’un barrage.

    BFMTV

  • Belgique : 84% des pharmaciens et 66% des médecins ont déjà été agressés

    Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2021

    « 84 % des pharmaciens qui nous ont répondu disent avoir déjà subi un acte de violence dans leur officine. Un chiffre plus important que chez les médecins (66 %) mais qui s’explique probablement par les braquages plus fréquents et les toxicomanes en manque, qui réclament des produits de substitution », révèle Mediplanet. […]

    SudInfo.be via fdesouche

  • La campagne commence à connaître la France « Orange mécanique »

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2021

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    Et avec le projet de dissémination des immigrés dans toutes les régions, cela n’est pas prêt de se calmer…

    Un article du Figaro note une hausse de 8 % des violences en 2020, toutes catégories confondues, dans les zones rurales et périurbaines confiées à la gendarmerie, alors que ces mêmes violences ont baissé de plus de 5 % dans les zones urbaines de la police nationale.

    Ainsi en Bretagne : plus de 20 % d’augmentation en Îlle-et-Vilaine, quasiment autant dans le Finistère et les Côtes-d’Armor. Avec des records également en Gironde (autour de 15 %), sans oublier, au même niveau ou presque, la Marne ou le Calvados, La Seine-et-Marne, la Vendée et le Rhône.

    Un préfet du sud de la France le dit :

    « Dans les zones gendarmerie particulièrement, l’essentiel des faits de violence, dans mon département, vient des violences intrafamiliales, qui ont connu une hausse de 30 %, mais aussi des outrages, rébellions et refus d’obtempérer. Est-ce la conséquence du confinement sur l’humeur de certains de nos concitoyens ? »

    • Les règlements de comptes, homicides et tentatives d’homicide ont augmenté de 3 % en zone police et de plus de 15 % en zone gendarmerie.
    • Les violences à dépositaires de l’autorité ont augmenté d’environ 7 % en zone gendarmerie.
    • Quand les viols ont augmenté de 7 % environ l’an dernier, en zone police, ils ont augmenté de près de 18 % en zone gendarmerie, avec plus de 12 000 faits révélés, soit plus de 30 par jour.
    •  

    Source : lesalonbeige

  • Rennes : « Pas un jour sans se faire insulter »… Le personnel des urgences veut être protégé

    Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2020

    A Rennes, le personnel des urgences du CHU Pontchaillou dénonce la montée de la violence de la part des patients. Mardi, un homme a été jugé pour avoir agressé des soignants de ce CHU il y a un an.

    «On nous avait prévenus qu’il était violent. On avait dû le contentionner sur prescription médicale du médecin. On était presque dix pour le maîtriser». […]  Pour la première fois de leur carrière, ils ont assisté au procès de leur agresseur ce mardi.

    Dans le calme de la salle d’audience du tribunal correctionnel, les deux hommes ont pu exprimer leur ras-le-bol face à la montée de la violence​ dont ils sont victimes. «Ça ne cesse d’augmenter. Il n’y a pas un jour passé sans se faire insulter, sans que l’on nous crache dessus ou que l’on nous menace de mort. C’est devenu normal aux urgences», témoigne Anthonin, qui exerce depuis seize ans comme infirmier.[…] La violence quotidienne dont ils se disent victimes a pris une nouvelle tournure le 15 octobre dernier, quand un homme armé d’un couteau a pris en otage une aide-soignante de leur service. Alertée, la police a dû tirer à deux reprises sur l’agresseur pour le maîtriser. […]

    Absent de l’audience, ce ressortissant afghan de 20 ans avait reconnu avoir « insulté tout le monde » lors de sa garde à vue mais niait les menaces de mort. Le personnel présent cette nuit-là avait rapporté des menaces « de revenir avec une kalachnikov » prononcées par le mis en cause. « On ne sait jamais si ces menaces sont fondées », relève l’avocat, qui regrette que l’établissement ne se porte pas partie civile « pour soutenir son personnel ». […]

    msn/20 minutes via fdesouche

  • Montpellier : un migrant de 17 ans, déjà connu pour des violences, insulte et frappe la femme de ménage de l’hôtel où il est hébergé par le Conseil départemental

    Publié par Guy Jovelin le 28 août 2020

    Par  le 27/08/2020

    Un mineur isolé de 17 ans a insulté et frappé une femme de ménage dans l’hôtel où il est hébergé par le conseil départemental.

    Un mineur isolé a été interpellé ce mercredi à Montpellier pour avoir frappé la femme de ménage de l’hôtel Belagio rue de la Croix verte dans le quartier Euro médecine. C’est dans cet hôtel notamment que le conseil départemental loge un certain nombre de jeunes immigrés clandestins arrivés en France sans aucune ressource, les mineurs isolés sont pris en charge par le département.

    Ce garçon de 17 ans a d’abord insulté la dame avec des propos racistes la traitant de « sale négresse », avant de dégrader la chambre et de la frapper avec un balais.

    Ce mineur était déjà connu pour des violences sur des éducateurs de l’aide sociale à l’enfance.

    France Bleu via fdesouche