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extrême gauche

  • Toulouse : Une cinquantaine de squatteurs d’extrême-gauche prennent d’assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2023

    Une cinquantaine de squatteurs prennent d'assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Ce dimanche 3 septembre, une maison d’un quartier de Toulouse a été prise d’assaut par un important groupe de squatteurs. Les forces de l’ordre sont intervenues.

    L’agent de sécurité posté pour surveiller la maison inhabitée depuis quelque temps n’a pas fait le poids. Une cinquantaine de squatteurs se sont barricadés dans cette habitation toulousaine ce dimanche en fin d’après-midi indique La Dépêche.

    Ils se sont ensuite barricadés à l’intérieur pour tenter d’empêcher toute tentative d’expulsion. Une voisine qui est allée à leur rencontre a été violemment agressée, ajoutent nos confrères.

    Treize squatteurs interpellés

    Quand la police est arrivée sur place, les squatteurs ont argué être installés dans la maison depuis plusieurs jours mais des vidéos prises par l’agent de sécurité et les voisins ont contredit leur version, permettant l’intervention des forces de l’ordre.

    Treize squatteurs – des “sans-abri ou des proches de la mouvance extrême gauche”, d’après les témoins interrogés par La Dépêche – ont été placés en garde à vue pour “violation de domicile” et agression. Ils nient pour le moment toute violence sur la voisine.

    www.midilibre.fr via fdesouche

  • 20 ans après l’affaire Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche

    Publié par Guy de Laferrière le 30 juillet 2023

    20 ans après l’affaire Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche

    Il y a 20 ans, dans la nuit du 16 au 17 juillet 2003, Marie Trintignant tombait sous les coups de son compagnon, le chanteur Bertrand Cantat. Mais l’émoi face à ce que les médias et les militants de gauche appelleraient aujourd’hui un féminicide n’était pas total. Car Bertrand Cantat était un « artiste engagé ». C’est-à-dire qu’il militait publiquement contre le capitalisme – en apostrophant par exemple régulièrement Jean-Marie Messier – et luttait contre « l’extrême droite » – en fustigeant régulièrement le Front national. En plus de cela, c’était un artiste tout court, dont la musique était appréciée par toute la scène culturelle du moment. Autant d’éléments qui ont amené l’ensemble de ses proches à mentir lors du procès afin de cacher la violence du chanteur. Autant d’éléments qui ont amené les médias à se montrer particulièrement magnanimes. Autant d’éléments qui ont fait que le monde politique de gauche a eu beaucoup de mal à attaquer le chanteur. Quelques années plus tard, en 2010, sa compagne Kristina Rady se suicidera après avoir laissé un message glaçant à ses parents sur les violences de Bertrand Cantat. Et là encore, le monde politico-médiatique restera très discret.
    Voici ce qu’écrivait Polémia le 16 septembre 2003, quelques jours après cette affaire Cantat. Le traitement médiatique affolant y est fustigé. Si ce texte a quelque peu vieilli puisque le drame est maintenant ancien, le fond du propos est toujours d’actualité.
    Polémia

    Affaire Cantat : l’angélisation de l’extrême gauche

    Le traitement médiatique de l’affaire Cantat est proprement stupéfiant.

    Voici un homme jaloux et violent qui – peut-être sous l’emprise de l’alcool – frappe une femme et fracasse sa tête si violemment qu’il la tue… avant d’expliquer élégamment son geste par l’hystérie de sa compagne.

    Et pourtant ce monstre de violence bénéficie d’un soutien massif de l’extrême gauche médiatique :

    • tribune de soutien dans les journaux ;
    • réédition à grand bruit d’un ouvrage paru fin juin « L’expérience des limites » ;
    • soirée concert à Vilnius ;
    • atténuation du meurtre par l’exploitation du thème de l’amour passion (« je t’aime, je te tue ») ;
    • pressions diplomatiques sur la Lituanie pour obtenir que le meurtrier soit extradé en France où la justice pourrait être rendue sous la pression de médias favorables…

    Tel est le tohu-bohu organisé par les amis de Bertrand Cantat depuis plus d’un mois. Pourquoi ? Parce que comme l’a écrit le quotidien de référence Le Monde : « Bertrand Cantat est un type bien ». En l’occurrence, le critère du bien et du mal n’est autre que l’engagement politique de Bertrand Cantat. Invitant dans ses concerts ACT UP, le Mouvement pour l’immigration dans les banlieues ou Attac, soutenant le groupe Zebda et favorable à la régularisation des immigrés clandestins, « l’anti-facho » Bertrand Cantat est dans le camp du « bien ». C.Q.F.D. : c’est donc un « type bien ».

    Ainsi, le meurtre d’une femme sous l’effet de la violence masculine – meurtre qui servirait à diaboliser son camp si son auteur était une personnalité de droite ou d’extrême droite ou un dirigeant du patronat – est légitimé, atténué, ou au contraire magnifié par une présentation romantique, à partir du moment où le meurtrier est d’extrême gauche.

    Cette affaire révèle la formidable puissance de ce courant politique violent capable de justifier, sans sourciller, le crime privé particulièrement odieux de l’un des siens.
    Elle révèle aussi sa formidable intolérance et son goût de la violence : « Noir Désir », tout un programme que l’extrême gauche assume jusqu’au bout fût-ce au prix de la justification du meurtre d’une jeune femme féministe et socialiste !

    Polémia
    27/07/2023 – 1re publication : 16 septembre 2003

    Crédit photo : Wikimedia Commons [CC 4.0]

  • À Toulouse, des étudiants d’extrême-gauche occupent la fac, brûlent des copies et pillent le Crous : ils exigent un 10/20 aux partiels. Même les communistes ne le supportent plus. (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2023

    18/04/23

    Une trentaine d’étudiants occupent un bâtiment de Toulouse-2 depuis le 8 mars et en profitent pour dégrader les lieux. Ils exigent d’obtenir 10/20 à tous les partiels.

    Difficile de savoir ce qui se passe concrètement dans le bâtiment «Gai Savoir», à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. Depuis le 8 mars, un petit groupe d’étudiants opposé à la réforme des retraites occupe jour et nuit un bâtiment de la faculté situé sur le campus du Mirail. Une mobilisation désormais isolée et contestée par la plupart des associations étudiantes, de droite comme de gauche.

    «Une trentaine d’étudiants occupent les locaux et le dégradent quotidiennement. Nous avons pu constater de nombreux tags, graffitis et du mobilier dégradé. L’odeur d’urine est insoutenable», décrit l’UNI, qui affirme avoir constaté les dégâts sur place. Des vols et violences ont également été relevés par le syndicat de droite. «Des objets appartenants à des professeurs comme à des étudiants ont été dérobés», précise l’UNI. Plusieurs copies d’examen – dont personne n’est en mesure d’affirmer si elles étaient vierges ou remplies – ont également été brûlées «symboliquement»«Nous avions un bâtiment tout neuf, il est désormais détruit et va nécessiter de nombreux travaux», poursuit l’Union nationale inter-universitaire.

    Le Figaro


    16/04/23

     Revendications ubuesques, salles de cours transformées en discothèque, les étudiants communistes critiquent vertement le virage de la mobilisation à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. “C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes

    « Nous n’avons pas peur de passer pour un syndicat jaune qui trahit la cause. On se devait de réagir et dénoncer ce qui ne va pas », ose Raphaël Montazaud, le président de l’union des étudiants communistes (UEC). L’élève en L2 en philosophie et ses camarades ne digèrent pas la tournure que prend le mouvement social au sein de l’université Jean-Jaurès à Toulouse ces derniers jours.

    « Depuis mercredi dernier, date de la dernière assemblée générale à la fac, il y a eu un glissement sur les revendications. La mobilisation ne tourne quasiment plus autour de la réforme des retraites. On est passé sur un mouvement de lutte pour mettre en place le 10 améliorable‘», explique le jeune syndicaliste. Le « 10 améliorable » ou 10 « plancher » consiste à poser comme acquis la moyenne quelle que soit la qualité du travail.

    Un non-sens méritocratique qui dévalue forcément la qualité des diplômes en sortie d’études. « Jamais le “10 améliorable” n’a été appliqué autrement que de manière isolée et exceptionnelle. En 2020, le tribunal administratif a rendu un jugement contre cette mesure prise dans une université parisienne pour le semestre du premier confinement », indique l’UEC dans un communiqué de presse.

    Raphaël Montazaud affirme que certaines autres organisations étudiantes jouent un « jeu trouble » en faisant croire que le « 10 améliorable » est « possible à faire passer » et que certains adossent artificiellement cette revendication à la lutte contre la réforme des retraites. »

    Pire, l’étudiant en philosophie imagine que ce glissement dans le champ des revendications est « en train de dévaluer toute capacité de mobilisation. » « En tant que vice-président étudiant de l’université Jean-Jaurès, je reçois des mails d’étudiants affolés à cause d’un probable déplacement des dates d’examen. On sent aussi le personnel un peu traumatisé par ces blocages et ces occupations », assure-t-il.

    Le président de l’UEC qui au départ soutenait l’occupation du bâtiment « Gai Savoir » transformé en ZAM (Zone autogérée du Mirail) estime qu’il est temps de siffler la fin de la récré. « C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes ! Le Gai Savoir est en voie de zadification. Il y a un noyau dur d’une quinzaine de personnes à l’intérieur qui organisent plus des soirées qu’autre chose. Il n’y a plus d’objet politique à leurs démarches. À l’intérieur, certains étudiants se sont fait voler, d’autres se sont fait chasser sans raison. Il est temps que l’on dispose à nouveau de cours dans ce bâtiment. »

    La Dépêche

  • Lyon : l’extrême gauche pleurniche auprès de Moussa Darmanin après l’agression de militants LFI par des identitaires

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Allo, Moussa, bobo, les identitaires c’est pas des rigolos…

    Une enquête a été ouverte mardi au lendemain de l’agression présumée de militants insoumis – LFI – qui distribuaient des tracts demandant «la fermeture des locaux fascistes» dans le vieux Lyon, fief historique de l’ultra-droite locale.

    Le maire écologiste de Lyon Grégory Doucet a annoncé sur Twitter avoir saisi la justice, qui a confirmé l’ouverture d’une enquête pour «violences par pluralité d’auteurs».

    La fédération rhodanienne de La France insoumise a indiqué dans un communiqué que plusieurs de ses militants avaient été agressés dans le quartier du vieux Lyon (centre-ville), alors qu’ils distribuaient des tracts visant à dénoncer «la violence des groupuscules d’extrême-droite».

    «Plusieurs individus violents sont arrivés en courant et hurlant des slogans nationalistes et fascistes. Ils ont tabassé un jeune camarade à coups de pied et poing», a affirmé LFI 69, précisant qu’une «jeune militante» qui tentait de s’interposer avait été «bousculée et projetée au sol».

    En pleurnichant, ils appellent Moussa Darmanin au secours et demandent à être reçus «en urgence» pour dénoncer au ministre de l’Intérieur, le spécialiste des dissolutions à droite,  «les agissements violents des identitaires lyonnais».

    De son côté, le maire de Lyon a de nouveau appelé à «fermer» les locaux où se réunissent des militants d’extrême droite, le bar associatif «La Traboule» connu comme un fief des nostalgiques de Génération identitaire – dissous en 2021 par notre cher Moussa – et la salle de boxe «L’Agogé» qui se présente comme «la première salle de sport identitaire de France».

    Suite à ces récents évènements, la préfecture du Rhône a interdit une manifestation prévue jeudi par les identitaires, ce rassemblement organisé traditionnellement le premier soir de la Fête annuelle des Lumières étant selon les autorités «susceptible de générer de sérieux troubles à l’ordre public».

    Voilà des gens incapables de faire régner l’ordre dans les territoires occupés par les islamistes, mais toujours prompts à courir sus aux patriotes. Forts avec les faibles, faibles avec les forts.

    Tout cela se terminera comme pour les collaborateurs du Camp des saints de Jean Raspail…

    Sources : AFP / Le Figaro / Twitter mairie de Lyon

  • A Toulouse l’extrême-gauche règne par la censure et la violence sur la fac du Mirail: « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche » ironise le député LFI de la circonscription

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    […]

    « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche », abonde fièrement François Piquemal, député LFI de la 4ème circonscription de Haute-Garonne, sur laquelle est implantée l’université. Ici, l’espace idéologique semble être dominé sans partage. Slogans anticapitalistes, néoféministes, pro Palestine et anti « extrême-droite » offrent une mosaïque de couleurs rouges, où le bleu est proscrit. On y retrouve évidemment les formations situées à l’extrême gauche de l’échiquier politique, comme Révolution permanente, le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) de Philippe Poutou ou La France Insoumise. Même le Parti Socialiste et EELV y semblent exclus, sûrement trop ternes pour y figurer. De nombreuses manifestations partageant une idéologie commune et excluante, animent la vie du campus. « C’est très rare de passer une journée sans voir brandir des pancartes prônant l’antispécisme, l’écologie radicale ou autre », raconte Daphné, 21 ans, étudiante en civilisation étrangère.

    Dans un lieu de formation aspirant à développer un esprit critique, la diversité politique et idéologique n’est guère au rendez-vous. « Quand certaines idées ne passent pas, et bien elles ne passent pas », tonne François Piquemal, qui ajoute: « c’est tout de même préférable que les idées racistes ou de capitalisme extrême n’aient pas leur place ici ». Les tracts politiques de la droite et du centre y sont systématiquement retirés. « Nous avons beaucoup tracté durant les législatives, elles étaient déjà remplacées dès le lendemain », regrette Sébastien Canovas, responsable des jeunes Les Républicains de Haute-Garonne, parfois même en moins d’une heure.

    […]

    « C’est impossible pour quelqu’un de non politisé de devenir de droite dans cette université », explique Yann Montigny, ancien étudiant en japonais et membre de Génération Zemmour.

    Octobre 2021, vers midi, une journée assez banale sur le campus de l’université Jean Jaurès, qui va voir son sol se couvrir de rouge… sang. Alors que Damien, militant Génération Zemmour, finit son repas au self, il décide d’aller coller des affiches de son parti sur le campus avec un ami. « Il n’y avait pas trop de passage, on en a profité », se rappelle Damien. Un jeune homme, vêtu de noir de la tête aux pieds, s’approche alors des jeunes militants. « Il se place en face de nous et commence à nous insulter, nous menace et arrache nos stickers ». L’individu, un militant « antifa » selon Damien, se décide finalement à partir, avant de revenir, déterminé. « Je me penche pour récupérer d’autres stickers, et à ce moment là je prends un coup de poing américain dans le crâne », rapporte le jeune homme. Le crâne est légèrement ouvert et sanguinolant. « Quand la sécurité est arrivée, l’antifa leur a dit: « Attrapez-les, c’est des fachos ». Ils nous ont dévisagé ». Hospitalisé et recousu avec quatre points de suture, Damien a fait confirmer sa blessure par un médecin expert juridique, avant de déposer plainte. Mais cette dernière n’a pas abouti. « Les caméras étaient comme par hasard tournés autre part. L’université n’a ensuite rien communiqué sur l’incident… Cinq jours plus tard, je suis reparti coller des affiches, ils ne me font pas peur ». « C’est quand même une provocation de venir coller des affiches pour quelqu’un qui a été pénalement condamné par la justice », commente le député LFI François Piquemal. Contactée, la présidence n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations, tout comme le vice-président étudiant. Aucun professeur non plus n’a voulu communiquer sur le sujet. « Valeurs actuelles, c’est pas mon truc », a répondu un enseignant en histoire.

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    « Certains cours étaient clairement orientés politiquement, certains ont changé de nom et sont devenus des cours de féminisme », déplore Tom, notre ancien étudiant en sociologie. D’autres, comme lui, confirment la présence de certains biais idéologiques : « Une professeur a dit que plus les gens votent à droite, moins ils sont cultivés », rapporte Marine, 25 ans, étudiante en sciences humaines économiques et sociales.

    […]

    Valeurs Actuelles via fdesouche