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extrême gauche

  • “Méga-Bassine” : quand un terme péjoratif inventé par l’extrême-gauche activiste (le collectif “Bassines Non Merci / No Bassaran” en 2021) est adopté par la presse main-stream, puis par l’ensemble de la population…

    Publié par Guy de Laferrière le 21 juillet 2024


    Appelées « réserves de substitution » par les coopératives d’agriculteurs qui les défendent, ces projets ont pour objectif de stocker l’eau dans un lac artificiel de plusieurs hectares. Contrairement aux réserves dites « collinaires », alimentées par le ruissellement des eaux de pluie, l’eau de ces réserves est prélevée dans les nappes phréatiques ou dans les cours d’eau, l’hiver plutôt que l’été.

    Pendant la saison froide, les nappes phréatiques sont plus remplies et pourraient donc, selon les promoteurs de ces initiatives, supporter les prélèvements nécessaires au stockage. L’eau stockée dans ces réserves peut ainsi être utilisée par les agriculteurs pour irriguer et abreuver leurs élevages l’été, lorsque l’eau est plus rare dans les nappes phréatiques ou dans les cours d’eau en raison de la sécheresse.

    « Méga-bassines » est le terme choisi par le collectif « Bassines Non Merci », qui fédère les opposants aux divers projets en France. Selon eux, les méga-bassines reposent sur une privatisation de l’eau par l’agro-industrie. Les opposants dénoncent la fragilisation des nappes phréatiques ainsi qu’une démarche antiécologique et polluante, via notamment l’artificialisation des sols liée à la construction des espaces de stockage et à la fabrication des bâches utilisées pour imperméabiliser les bassines.
    De son côté, l’Etat défend ces projets et les finance à hauteur de 70% par des subventions publiques.

    Le Journal du Dimanche (2022)

    Créé dans le Cher en septembre 2021, le collectif “Bassines Non Merci”, l’un des quatre existants en France, bataille sur cet enjeu. Dans le département, trois bassines sont déjà en fonction ; elles sont bien plus petites que celles des Deux-Sèvres (dont la plus grande couvre 16 hectares et vise à stocker 720 000 m3), mais l’une d’entre elles contient tout de même l’équivalent de 24 piscines olympiques soit 60 000 m3. Le Collectif a fait ses premières armes, dès sa création, en déposant, en vain, un recours gracieux auprès du préfet afin d’empêcher la construction d’une réserve sur la commune de Lazenay. Sa vingtaine d’adhérents plaide pour un changement de modèle agricole. Parmi eux, Catherine Menguy, élue Europe Ecologie-Les Verts à Bourges, cherche des réponses auprès des institutions. Selon elle, “Quand on parle de bassines, il n’est question que d’une minorité, puisqu’elles ne bénéficient qu’à 7 % d’agriculteurs irrigants, pour 6 % des surfaces agricoles, principalement destinées à l’alimentation du bétail. Est-il raisonnable de produire toujours plus de maïs pour nourrir des animaux en batterie ?”

    France 3 Centre Val de Loire

  • Les violences d’extrême gauche arrivent partout en France

    Publié par Guy de Laferrière le 15 juin 2024

    Les violences d'extrême gauche arrivent partout en France

    Sans surprise, le journal Libération, oui ce journal gauchiste qui prenait autrefois la défense des pédophiles, est devenu le porte-voix des actions et mobilisations « contre l’extrême droite », mettant à jour le calendrier pour faciliter le désordre organisé. Soyez prudents, les prochaines semaines vont être agitées. Et ce n’est qu’un avant-goût de ce qui se passera après le 7 juillet.

    Pillages, agressions et dégradations en vue

    Attendez-vous à ce que l’ensemble des nervis antifas et autres casseurs anars sèment la terreur. Ils seront probablement rejoints en fin de manifestations par divers pillards de banlieues flairant la bonne opportunité.

    « Cinq syndicats ont appelé dès lundi à «manifester le plus largement possible» durant le week-end du 15 et du 16 juin. La plupart des marches se dérouleront samedi, mais certaines sont prévues dès ce vendredi soir. Sur son site, la CGT liste 116 lieux de rendez-vous dans 95 départements. »

    L’intersyndicale (CFDT, CGT, Unsa, FSU et Solidaires), les syndicats étudiants (la Fage, l’Unef), et une ribambelle d’associations (SOS Racisme, la Ligue des droits de l’homme, le Planning familial, les Soulèvements de la Terre, de nombreuses associations LGBT, etc) vont porter l’appel à ces manifestations partout dans le pays.

    Les plus grosses manifestations sont prévues à Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Nice, Montpellier, Béziers, Avignon, Nantes, Rennes, Brest, Strasbourg, Nancy, Lille, Besançon, Rouen, Orléans, Angers.

    Il faut craindre des attaques et des dégradations contre de nombreux lieux identifiés pour accueillir des réunions patriotes ainsi que contre des lieux de culte. La plus grande vigilance est de rigueur.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Toulouse : Une cinquantaine de squatteurs d’extrême-gauche prennent d’assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Publié par Guy de Laferrière le 04 septembre 2023

    Une cinquantaine de squatteurs prennent d'assaut une maison gardée par un vigile, se barricadent et agressent une voisine

    Ce dimanche 3 septembre, une maison d’un quartier de Toulouse a été prise d’assaut par un important groupe de squatteurs. Les forces de l’ordre sont intervenues.

    L’agent de sécurité posté pour surveiller la maison inhabitée depuis quelque temps n’a pas fait le poids. Une cinquantaine de squatteurs se sont barricadés dans cette habitation toulousaine ce dimanche en fin d’après-midi indique La Dépêche.

    Ils se sont ensuite barricadés à l’intérieur pour tenter d’empêcher toute tentative d’expulsion. Une voisine qui est allée à leur rencontre a été violemment agressée, ajoutent nos confrères.

    Treize squatteurs interpellés

    Quand la police est arrivée sur place, les squatteurs ont argué être installés dans la maison depuis plusieurs jours mais des vidéos prises par l’agent de sécurité et les voisins ont contredit leur version, permettant l’intervention des forces de l’ordre.

    Treize squatteurs – des “sans-abri ou des proches de la mouvance extrême gauche”, d’après les témoins interrogés par La Dépêche – ont été placés en garde à vue pour “violation de domicile” et agression. Ils nient pour le moment toute violence sur la voisine.

    www.midilibre.fr via fdesouche

  • 20 ans après l’affaire Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche

    Publié par Guy de Laferrière le 30 juillet 2023

    20 ans après l’affaire Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche

    Il y a 20 ans, dans la nuit du 16 au 17 juillet 2003, Marie Trintignant tombait sous les coups de son compagnon, le chanteur Bertrand Cantat. Mais l’émoi face à ce que les médias et les militants de gauche appelleraient aujourd’hui un féminicide n’était pas total. Car Bertrand Cantat était un « artiste engagé ». C’est-à-dire qu’il militait publiquement contre le capitalisme – en apostrophant par exemple régulièrement Jean-Marie Messier – et luttait contre « l’extrême droite » – en fustigeant régulièrement le Front national. En plus de cela, c’était un artiste tout court, dont la musique était appréciée par toute la scène culturelle du moment. Autant d’éléments qui ont amené l’ensemble de ses proches à mentir lors du procès afin de cacher la violence du chanteur. Autant d’éléments qui ont amené les médias à se montrer particulièrement magnanimes. Autant d’éléments qui ont fait que le monde politique de gauche a eu beaucoup de mal à attaquer le chanteur. Quelques années plus tard, en 2010, sa compagne Kristina Rady se suicidera après avoir laissé un message glaçant à ses parents sur les violences de Bertrand Cantat. Et là encore, le monde politico-médiatique restera très discret.
    Voici ce qu’écrivait Polémia le 16 septembre 2003, quelques jours après cette affaire Cantat. Le traitement médiatique affolant y est fustigé. Si ce texte a quelque peu vieilli puisque le drame est maintenant ancien, le fond du propos est toujours d’actualité.
    Polémia

    Affaire Cantat : l’angélisation de l’extrême gauche

    Le traitement médiatique de l’affaire Cantat est proprement stupéfiant.

    Voici un homme jaloux et violent qui – peut-être sous l’emprise de l’alcool – frappe une femme et fracasse sa tête si violemment qu’il la tue… avant d’expliquer élégamment son geste par l’hystérie de sa compagne.

    Et pourtant ce monstre de violence bénéficie d’un soutien massif de l’extrême gauche médiatique :

    • tribune de soutien dans les journaux ;
    • réédition à grand bruit d’un ouvrage paru fin juin « L’expérience des limites » ;
    • soirée concert à Vilnius ;
    • atténuation du meurtre par l’exploitation du thème de l’amour passion (« je t’aime, je te tue ») ;
    • pressions diplomatiques sur la Lituanie pour obtenir que le meurtrier soit extradé en France où la justice pourrait être rendue sous la pression de médias favorables…

    Tel est le tohu-bohu organisé par les amis de Bertrand Cantat depuis plus d’un mois. Pourquoi ? Parce que comme l’a écrit le quotidien de référence Le Monde : « Bertrand Cantat est un type bien ». En l’occurrence, le critère du bien et du mal n’est autre que l’engagement politique de Bertrand Cantat. Invitant dans ses concerts ACT UP, le Mouvement pour l’immigration dans les banlieues ou Attac, soutenant le groupe Zebda et favorable à la régularisation des immigrés clandestins, « l’anti-facho » Bertrand Cantat est dans le camp du « bien ». C.Q.F.D. : c’est donc un « type bien ».

    Ainsi, le meurtre d’une femme sous l’effet de la violence masculine – meurtre qui servirait à diaboliser son camp si son auteur était une personnalité de droite ou d’extrême droite ou un dirigeant du patronat – est légitimé, atténué, ou au contraire magnifié par une présentation romantique, à partir du moment où le meurtrier est d’extrême gauche.

    Cette affaire révèle la formidable puissance de ce courant politique violent capable de justifier, sans sourciller, le crime privé particulièrement odieux de l’un des siens.
    Elle révèle aussi sa formidable intolérance et son goût de la violence : « Noir Désir », tout un programme que l’extrême gauche assume jusqu’au bout fût-ce au prix de la justification du meurtre d’une jeune femme féministe et socialiste !

    Polémia
    27/07/2023 – 1re publication : 16 septembre 2003

    Crédit photo : Wikimedia Commons [CC 4.0]

  • À Toulouse, des étudiants d’extrême-gauche occupent la fac, brûlent des copies et pillent le Crous : ils exigent un 10/20 aux partiels. Même les communistes ne le supportent plus. (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2023

    18/04/23

    Une trentaine d’étudiants occupent un bâtiment de Toulouse-2 depuis le 8 mars et en profitent pour dégrader les lieux. Ils exigent d’obtenir 10/20 à tous les partiels.

    Difficile de savoir ce qui se passe concrètement dans le bâtiment «Gai Savoir», à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. Depuis le 8 mars, un petit groupe d’étudiants opposé à la réforme des retraites occupe jour et nuit un bâtiment de la faculté situé sur le campus du Mirail. Une mobilisation désormais isolée et contestée par la plupart des associations étudiantes, de droite comme de gauche.

    «Une trentaine d’étudiants occupent les locaux et le dégradent quotidiennement. Nous avons pu constater de nombreux tags, graffitis et du mobilier dégradé. L’odeur d’urine est insoutenable», décrit l’UNI, qui affirme avoir constaté les dégâts sur place. Des vols et violences ont également été relevés par le syndicat de droite. «Des objets appartenants à des professeurs comme à des étudiants ont été dérobés», précise l’UNI. Plusieurs copies d’examen – dont personne n’est en mesure d’affirmer si elles étaient vierges ou remplies – ont également été brûlées «symboliquement»«Nous avions un bâtiment tout neuf, il est désormais détruit et va nécessiter de nombreux travaux», poursuit l’Union nationale inter-universitaire.

    Le Figaro


    16/04/23

     Revendications ubuesques, salles de cours transformées en discothèque, les étudiants communistes critiquent vertement le virage de la mobilisation à l’université Jean-Jaurès de Toulouse. “C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes

    « Nous n’avons pas peur de passer pour un syndicat jaune qui trahit la cause. On se devait de réagir et dénoncer ce qui ne va pas », ose Raphaël Montazaud, le président de l’union des étudiants communistes (UEC). L’élève en L2 en philosophie et ses camarades ne digèrent pas la tournure que prend le mouvement social au sein de l’université Jean-Jaurès à Toulouse ces derniers jours.

    « Depuis mercredi dernier, date de la dernière assemblée générale à la fac, il y a eu un glissement sur les revendications. La mobilisation ne tourne quasiment plus autour de la réforme des retraites. On est passé sur un mouvement de lutte pour mettre en place le 10 améliorable‘», explique le jeune syndicaliste. Le « 10 améliorable » ou 10 « plancher » consiste à poser comme acquis la moyenne quelle que soit la qualité du travail.

    Un non-sens méritocratique qui dévalue forcément la qualité des diplômes en sortie d’études. « Jamais le “10 améliorable” n’a été appliqué autrement que de manière isolée et exceptionnelle. En 2020, le tribunal administratif a rendu un jugement contre cette mesure prise dans une université parisienne pour le semestre du premier confinement », indique l’UEC dans un communiqué de presse.

    Raphaël Montazaud affirme que certaines autres organisations étudiantes jouent un « jeu trouble » en faisant croire que le « 10 améliorable » est « possible à faire passer » et que certains adossent artificiellement cette revendication à la lutte contre la réforme des retraites. »

    Pire, l’étudiant en philosophie imagine que ce glissement dans le champ des revendications est « en train de dévaluer toute capacité de mobilisation. » « En tant que vice-président étudiant de l’université Jean-Jaurès, je reçois des mails d’étudiants affolés à cause d’un probable déplacement des dates d’examen. On sent aussi le personnel un peu traumatisé par ces blocages et ces occupations », assure-t-il.

    Le président de l’UEC qui au départ soutenait l’occupation du bâtiment « Gai Savoir » transformé en ZAM (Zone autogérée du Mirail) estime qu’il est temps de siffler la fin de la récré. « C’est devenu la chapelle Sixtine des gauchistes ! Le Gai Savoir est en voie de zadification. Il y a un noyau dur d’une quinzaine de personnes à l’intérieur qui organisent plus des soirées qu’autre chose. Il n’y a plus d’objet politique à leurs démarches. À l’intérieur, certains étudiants se sont fait voler, d’autres se sont fait chasser sans raison. Il est temps que l’on dispose à nouveau de cours dans ce bâtiment. »

    La Dépêche