« 84 % des pharmaciens qui nous ont répondu disent avoir déjà subi un acte de violence dans leur officine. Un chiffre plus important que chez les médecins (66 %) mais qui s’explique probablement par les braquages plus fréquents et les toxicomanes en manque, qui réclament des produits de substitution », révèle Mediplanet. […]
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