Deux militants du groupe italien «Dernière Génération» ont mené une action dans le musée de Florence. Heureusement, la toile était protégée par une vitre.
La méthode commence à se répandre. Ce vendredi, des militants écologistes se sont collé la main à la glu sur la vitre du « Printemps », de Botticelli, exposé dans un musée de Florence, rapporte The Guardian.
Deux des trois activistes présents, membres du groupe « Ultima Generazione » (Dernière Génération) ont collé leur main tandis que le troisième a déroulé une banderole portant le message « Dernière Génération, plus de gaz, plus de charbon ».
D’après des vidéos rapidement diffusées sur les réseaux sociaux, un garde s’est approché des deux militants et les a décollés d’un geste de la vitre – sur laquelle deux traces sont apparues. Selon l’agence de presse italienne Ansa, trois personnes (un homme et deux femmes) ont été emmenées par la police. Le tableau, lui, est indemne puisqu’il était protégé par une vitre.