« Dans le cas d’une transition de genre d’un homme devenu femme, la joueuse n’a pas le droit de participer aux épreuves féminines, jusqu’à ce qu’une nouvelle décision de la Fide soit prise », a précisé l’organisation basée à Lausanne (Suisse).
En réaction, le vice-président de la Fédération française d’échecs, Jean-Baptiste Mullon, a assuré auprès de Libération que la France n’allait « pas suivre la décision de la Fide », jugée « transphobe ». « A priori, la Fide n’a pas le pouvoir d’imposer cette décision aux championnats nationaux. Donc en ce qui concerne la fédération française, nous restons libres d’appliquer nos règlements, où nous ne faisons aucune différence entre les joueurs », a-t-il avancé.
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