Voici le communiqué de L’Oriflamme Rennes à la suite de la condamnation de l’un de leurs militants pour une simple banderole déployée.
Ce lundi 9 octobre, un militant du mouvement politique L’Oriflamme Rennes a été condamné par le tribunal correctionnel de Rennes à 4 mois de prison ferme pour le simple fait d’avoir participé à une contre-manifestion pacifique de dix minutes qui visait à dénoncer la tenue d’une lecture organisée par des drag-queens dans la médiathèque de Saint-Senoux et cela devant des enfants âgés de trois à six ans.
Cette lecture, faite par des drag-queens militants visait notamment à présenter la “diversité des familles” à des enfants qui ne disposent encore d’aucun esprit critique. Il est inadmissible que des drag-queens disposent de jeunes enfants dans des lieux publics dans le but de leur enseigner leur catéchisme déconstructionniste.
L’Oriflamme était donc intervenu pour dénoncer cette gabegie. Toutefois, la justice a décidé de condamner notre militant à 4 mois de prison ferme pour incitation à la haine et organisation d’une manifestation non déclarée, et l’a en outre condamné à indemniser les parties civiles qui s’estiment victimes d’une contestation légitime et pacifique des leurs actions militantes.
Alors que la France s’effondre, les patriotes sont les seuls à être réellement condamnés par des magistrats qui ne cachent plus leur idéologie et leur dépendance à l’État, alors que les infractions reprochées à notre militant n’étaient nullement qualifiées juridiquement.
La pression du tribunal médiatique dans une ville gangrénée par l’extrême gauche aura-t-elle contraint l’autorité judiciaire ?
En outre, la perspective d’une condamnation définitive est de nature à compromettre son avenir professionnel.
Cette cagnotte vise donc à soutenir notre militant, sa femme et son jeune fils, pour payer les frais d’avocats et affronter son avenir.
Source : medias-presse.info