Le Parti de la France : persécution politico-judiciaire (08/10/2024)
Publié par Guy de Laferrière le 08 octobre 2024
Thomas Joly
Jérôme Bourbon, dans son éditorial du n°3631 de l'hebdomadaire Rivarol, évoque la persécution politico-judiciaire du Parti de la France. Juste un correctif : personne n'est à ce jour mis en examen !
Extraits : « [...] On l’a vu encore lors des dernières législatives où un candidat du Parti de la France en Meurthe-et-Moselle, Pierre-Nicolas Nups, ainsi que son suppléant, Alexandre Hinger, le président du mouvement, Thomas Joly, et deux autres cadres du parti (Maxime Morlon et Thomas Petit), ont été mis en examen puis, le jeudi 3 octobre, placés en garde à vue pendant neuf heures pour avoir simplement conçu et placardé une affiche électorale où l’on voyait un garçonnet blond aux yeux bleus avec ce slogan : « Donnons un avenir aux enfants blancs ». Cela n’impliquait objectivement aucune haine envers les autres races, aucun rejet des autres peuples et ethnies, mais faire sienne une telle profession de foi, vouloir défendre, sauver, protéger les enfants blancs, leur donner un avenir, un espoir, leur permettre des conditions de vie et de travail décentes et un développement harmonieux est considéré aujourd’hui comme de l’incitation à la haine raciale. Le mouvement Black Lives Matter peut défendre avec énergie voire agressivité la cause noire et s’en prendre ouvertement aux Blancs, ce n’est pas considéré comme du racisme ou de la haine mais que des Français de souche entendent « donner un avenir aux enfants blancs » dans le cadre d’une campagne législative est jugé insupportable. Dès qu’il a pris connaissance de l’affiche incriminée, Pascal Schneider, le maire d’une des communes de la circonscription, Neuves-Maisons, a même déposé plainte et saisi le procureur de la République, qui a ouvert aussitôt une enquête confiée à la brigade de recherches de Nancy. Laquelle enquête a pour motif « provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à raison de l’origine ou de l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Comme si cela ne suffisait pas, une seconde plainte a également été déposée à l’encontre de Pierre-Nicolas Nups par la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) de Nancy. Via un communiqué de presse, la Licra — qui soutient sans sourciller le génocide palestinien à Gaza perpétré par l’entité sioniste, mais la contradiction ne la gêne pas ! — annonce « condamner fermement l’odieuse affiche titrée “Donnons un avenir aux enfants blancs” » estimant qu’un tel slogan « est contraire aux valeurs de la République et constitue un appel à la haine à caractère raciste ».
Pour la LICRA, tuer ou mutiler des dizaines de milliers de civils palestiniens, ce n’est pas du racisme ni de la haine mais l’affiche du Parti de la France avec un blondinet dessus et une campagne verte derrière lui, c’est en revanche de la haine raciale caractérisée. Voilà les misérables pharisiens auxquels nous avons affaire ! Le Parti de la France a publié ces derniers jours un bref communiqué dénonçant les odieuses persécutions politiques et judiciaires dont il est victime : « Le jeudi 3 octobre, Thomas Joly, Pierre-Nicolas Nups, Maxime Morlon, Alexandre Hinger et Thomas Petit étaient convoqués dans plusieurs gendarmeries suite à une enquête, diligentée par le Parquet de Nancy, en rapport avec l’affiche du Parti de la France “Donnons un avenir aux enfants blancs”. La garde à vue a duré pas moins de 9 heures alors que les 5 auditionnés ont usé de leur droit à garder le silence et qu’ils ont chacun remis une déclaration libre sur papier réfutant tout caractère illégal de l’affiche incriminée et démontrant l’interprétation malveillante qui en a été faite par des adversaires politiques. Ces persécutions politico-judiciaires resteront sans effet sur la volonté des cadres du Parti de la France de dire la vérité et de défendre le peuple français envers et contre tout. »
On le voit, le gouvernement change mais la persécution des patriotes, des nationaux, des nationalistes et des dissidents demeure intacte. Il ne suffit pas que Gérald Moussa Darmanin ne soit plus à l’Intérieur ni Eric Dupond-Moretti à la Justice pour que la répression cesse ou diminue soudainement. C’est tout un Système cosmopolite qui reste en place et étend ses monstrueux tentacules. [...] »
Source :
rivarol.com
Rivarol n°3631 du 9/10/2024 (Papier)
12:25 | Tags : parti de la france, persécution politico-judiciaire, rivarol | Lien permanent | Commentaires (0)