Face à l’appel d’Éliette Abécassis à reconnaître la souffrance des deux côtés, Sarah Saldmann qui qualifiait les français de Goy « Non-juif » a réagi avec une froideur déconcertante.
Évoquant les civils palestiniens, elle a simplement déclaré : « C’est déplorable. Ils n’y sont pour rien, ce sont des civils » —des mots qui auraient pu refléter une forme de compassion. Cependant, elle a aussitôt minimisé la portée de cette tragédie en ajoutant, « Mais est-ce que c’était le sujet du film ? » Un commentaire qui, pour beaucoup, semble réduire les 180 000 morts palestiniens à un simple point secondaire, indigne d’être pleinement considéré dans la discussion.
Source : lesmoutonsrebelles