La basilique Saint Denys à Argenteuil abrite la tunique du Christ, relique inestimable du catholicisme. Depuis plusieurs semaines elle est sujette d’attaques répétées de la part de nouveaux vandales issus de l’islam, qui n’hésitent pas à crier « Allah akbar ».
La basilique Saint Denys, à Argenteuil, est sujette à une recrudescence d’actes de vandalisme
La basilique Saint Denys, à Argenteuil, dans le département du Val d’Oise est sujette à une recrudescence d’actes de vandalisme, ces dernières semaines. Selon les informations d’Europe 1, cette « recrudescence inquiète les autorités, à quelques mois d’un événement très important pour les catholiques », la prochaine ostension de la tunique du Christ, relique inestimable du catholicisme, prévue en mars prochain. Plusieurs dizaines de milliers de fidèles sont attendus pour l’occasion.
Depuis un certain temps, la basilique, édifice religieux construit au XIXe siècle est confrontée à des dégradations et profanations : « Tout commence en septembre dernier, relate Europe 1. Au détour d’une visite de la basilique, le vicaire découvre un premier tag, un pénis dessiné sur le presbytère. Pas d’auteur retrouvé, juste un signalement de fait. Mais les actes de vandalisme s’intensifient, jusqu’à la dégradation d’une croix latine en bois de haute valeur et dont la partie verticale est arrachée puis dérobée. Quelques jours plus tard, ce sont des excréments qui sont retrouvés dans l’une des chapelles de la basilique. Mais à chaque fois, l’auteur se volatilise… »
L’enquête a mené à deux adolescents de 14 et 16 ans, surpris en train de crier « Allah Akbar »
L’enquête, qui a duré plusieurs semaines à mener à deux adolescents de 14 et 16 ans, surpris par le sacristain en train de crier « Allah Akbar », signe de ralliement à l’Islam. Interpellés, ils sont placés en garde à vue.
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est fendu d’un tweet sur X de « soutien total » aux fidèles d’Argenteuil arguant que « Les auteurs de tels actes devront être punis avec la plus grande sévérité ».
Mais qui y croit ? Même pas Retailleau.
En termes de sévérité, cela s’arrêtera à un rappel à la loi. Encore un autre ministre de l’Intérieur qui se moque des Français…
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info