Islam : la tunique du Christ à Argenteuil en péril

Publié par Guy de Laferrière le 25 novembre 2024

Auteur : Francesca de Villasmundo

La tunique du Christ, relique inestimable du catholicisme

La basilique Saint Denys à Argenteuil abrite la tunique du Christ, relique inestimable du catholicisme. Depuis plusieurs semaines elle est sujette d’attaques répétées de la part de nouveaux vandales issus de l’islam, qui n’hésitent pas à crier « Allah akbar ».

La basilique Saint Denys, à Argenteuil, est sujette à une recrudescence d’actes de vandalisme

La basilique Saint Denys, à Argenteuil, dans le département du Val d’Oise est sujette à une recrudescence d’actes de vandalisme, ces dernières semaines. Selon les informations d’Europe 1, cette « recrudescence inquiète les autorités, à quelques mois d’un événement très important pour les catholiques », la prochaine ostension de la tunique du Christ, relique inestimable du catholicisme, prévue en mars prochain. Plusieurs dizaines de milliers de fidèles sont attendus pour l’occasion.

Depuis un certain temps, la basilique, édifice religieux construit au XIXe siècle est confrontée à des dégradations et profanations : « Tout commence en septembre dernier, relate Europe 1. Au détour d’une visite de la basilique, le vicaire découvre un premier tag, un pénis dessiné sur le presbytère. Pas d’auteur retrouvé, juste un signalement de fait. Mais les actes de vandalisme s’intensifient, jusqu’à la dégradation d’une croix latine en bois de haute valeur et dont la partie verticale est arrachée puis dérobée. Quelques jours plus tard, ce sont des excréments qui sont retrouvés dans l’une des chapelles de la basilique. Mais à chaque fois, l’auteur se volatilise… »

L’enquête a mené à deux adolescents de 14 et 16 ans, surpris en train de crier « Allah Akbar »

L’enquête, qui a duré plusieurs semaines à mener à deux adolescents de 14 et 16 ans, surpris par le sacristain en train de crier « Allah Akbar », signe de ralliement à l’Islam. Interpellés, ils sont placés en garde à vue.

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est fendu d’un tweet sur X de « soutien total » aux fidèles d’Argenteuil arguant que « Les auteurs de tels actes devront être punis avec la plus grande sévérité ».

Mais qui y croit ? Même pas Retailleau.

En termes de sévérité, cela s’arrêtera à un rappel à la loi. Encore un autre ministre de l’Intérieur qui se moque des Français…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Une élue EELV d’Argenteuil traite des policiers de « Français de merde »

Publié par Guy de Laferrière le 03 octobre 2024

Auteur : Léo Kersauzie

Une élue qui ne montre pas l’exemple

Donia Lassoued, 39 ans, est conseillère municipale EELV d’Argenteuil (Val-d’Oise).

Le 25 septembre, cette élue écologiste a été interpellée avec son conjoint dans le 17e arrondissement de Paris pour outrage à agent. Selon la police, la conseillère municipale, qualifiée de « très agressive », aurait traité les policiers de « Français de merde ». Tiens, c’est pas du racisme anti-Français, ça ?

Quant au charmant monsieur qui l’accompagnait, il s’est opposé physiquement au contrôle de police.

Le racisme anti-Français n’intéresse pas la justice

Les faits sont confirmés par le Parquet de Paris qui précise que Donia Lassoued est accusée d’outrage à personne dépositaire de l’autorité publique. Le racisme anti-Français ? Personne n’y a pensé au Parquet, naturellement. L’élue écope donc d’une simple sanction de principe  : elle devra faire un stage de citoyenneté en novembre 2024, bénéficiant de ce qui est appelé une alternative aux poursuites.

Oserions-nous douter que la sanction eut été la même si un élu municipal « d’extrême droite » avait traité quelqu’un d’« Arabe de merde » ?

Léo Kersauzie

 

Source : medias-presse.info

Argenteuil (95) : trois blessés par balle lors d’une rixe entre une centaine d’individus

Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2022

perubu 18/03/2022 à 19h24

 

Le jeudi 17 mars, la police a été appelée par des riverains du stade Auguste-Delaune à Argenteuil (Val d’Oise) aux alentours de 20h30. Effrayés par des coups de feu, les témoins rapportent avoir vu des individus armés de fusils et de barres de fer.

Les forces de l’ordre sont arrivées, découvrant alors une centaine d’individus en train de s’affronter. N’étant pas les bienvenus, les policiers ont été victimes de jets de pierres sur leur véhicule. Ils ont donc eu recours à des tirs de cougar (grenades lacrymogènes) pour disperser les jeunes.

C’est alors qu’ils ont découvert trois hommes âgés d’une vingtaine d’années, blessés aux jambes et au postérieur par des tirs de plomb. Avant que les secours ne les emmènent, leurs jours n’étant pas en danger, les policiers ont interrogé les blessés qui n’ont apporté aucune information supplémentaire à l’enquête, comme le rapporte Actu 17.

Un peu plus tard rue d’Epinay, trois suspects âgés de 16 à 18 ans ont été arrêtés. Deux d’entre eux avaient des taches de sang sur leurs vêtements. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté urbaine. La piste privilégiée serait un affrontement entre jeunes originaires des quartiers Joliot-Curie et ceux de la ZUP.

La situation à Argenteuil est assez tendue. En novembre dernier, la ville faisait parler d’elle lorsqu’une cinquantaine d’individus avaient décidé de tirer au mortier sur les policiers et le commissariat d’Argenteuil.

cnews via fdesouche

Argenteuil (95) : une trentaine de jeunes d’environ 13 ou 14 ans ont tenté de mettre le feu au poste de police, aucune interpellation

Publié par Guy Jovelin le 03 novembre 2021

Jeanne 02/11/2021 à 22h09

 

Ils ont pris pour cible un lieu symbolique de l’autorité. Entre 20 et 30 jeunes vêtus en noir ont tenté de mettre le feu au poste de police de la dalle d’Argenteuil alors qu’il était inoccupé, lundi soir. Âgés d’environ 13 ou 14 ans, ils ont placé une poubelle devant la façade de l’immeuble et y ont mis le feu dans la soirée. Ils ont également lancé des projectiles contre le bâtiment et endommagé des fenêtres au premier étage. Ces dernières ne correspondant pas aux locaux de la police mais à ceux de l’antenne sociale du conseil départemental qui compte notamment un centre de protection maternelle et infantile.

Le feu a seulement noirci le rideau de fer du poste de police. Les jeunes ont été dispersés un temps grâce à l’intervention de médiateurs. La police est intervenue plus tard et a essuyé quelques tirs de mortiers

Certains des fauteurs de troubles se préparaient à les recevoir en prévoyant de lancer des projectiles depuis la place de la Commune-de-Paris sur des véhicules qui sortaient de sous la dalle, rue Jean-Lurçat. Une vingtaine de policiers du secteur, appuyés par une soixantaine de CRS venus de l’Essonne, sont intervenus. Les auteurs des dégradations se sont rapidement enfuis. Aucune interpellation n’a eu lieu. Deux véhicules ont été incendiés allée Beethoven, mais il n’est pas établi que cela avait un rapport avec les dégradations du poste de police.

[…]

 

Le Parisien via fdesouche