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feu

  • Un exemple-type du danger et de l'arnaque de la voiture électrique

    Publié par Guy de Laferrière le 03 août 2023

    lafautearousseau

    (Dans Le Parisien) Un exemple-type du danger et de l'arnaque de la voiture électrique : le bateau en feu depuis plus d'une semaine au large de la Hollande :

    "VIDÉO. « Il n’y a pas de moyen d’extinction » : le feu du Freemantle Highway, un cauchemar pour les secours

    Un cargo est en feu au large des côtes néerlandaises depuis le 26 juillet. Un « feu perpétuel » très difficile à éteindre, à cause de la présence de 498 véhicules électriques à bord et de leur batterie lithium-ion, comme l’explique Nicolas Tamic, directeur adjoint du Cedre..."

    https://www.leparisien.fr/video/video-il-ny-a-pas-de-moyen-dextinction-le-feu-du-freemantle-highway-un-cauchemar-pour-les-secours-01-08-2023-T4V2PL7IGRCLFK4UZ72VVF43YE.php?at_creation=Le%20Parisien&at_campaign=Partage%20Twitter%20CM&at_medium=Social%20media

     Pour les batteries lithium ion, il n’y a pas de moyen d’extinction, ça n’existe pas. C’est vraiment un problème...

     

  • LA DAME DU MONOPRIX

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023

     
     
    LA DAME DU MONOPRIX
    Hier, au Monoprix, une dame âgée qui pèse bien docilement sa pomme et sa poire, son seul dîner du soir sans doute puisque son cabas était vide. J’ai failli lui proposer de lui offrir une semaine de courses mais je n’ai pas osé de peur d’insulter sa dignité.
    Cette dame eut pu être de ma famille puisque, tout le monde chez moi n’a pas eu ma chance. Elle était de cette France révolue qui ne se plaint pas, qui a bossé une vie durant sans rien attendre sinon un vague repos au moment de la retraite. Ils sont des millions de sa génération qui s’éteint doucement à être les victimes des criminels et des prédateurs qui ont pris, depuis des décennies, nos destins en otage.
    Ce n’est pas aux poubelles qu’il convient de mettre le feu mais aux ordures qui ont conduit à cette tragédie !
    C. Rol
     
    Peut être une image de 2 personnes, personnes debout et costume
     
     
     
     
     
     
     
  • Carpentras (84) : Abid El Hassouni s’encastre dans un poteau près d’une école avec sa voiture volée, puis revient mettre le feu au véhicule, brûlant la cantine scolaire ainsi que l’espace informatique

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Abid El Hassouni, 24 ans, entre dans le box du tribunal correctionnel de Carpentras. Il est 16h33, le 16 mars. Des cheveux noirs tirés vers l’arrière, la peau mate et un polo blanc, le Carpentrassien écoute la présidente Sandrine Izou revenir sur ce qui lui est reproché : l’incendie d’une voiture qui se propage à la cantine de l’école des Garrigues, à Carpentras.

    Des délits graves, « exceptionnels », insiste pour la partie civile Me  Frédéric Bassompierre. Ils coûtent cher au prévenu : cinq ans de prison dont 30 mois assortis d’un sursis probatoire et il est maintenu en détention. Le jeune homme doit régler 300 000 euros de provision pour les dommages et intérêts.

    La salle de cantine et l’espace informatique anéantis

    Le tribunal a fait un bond en arrière, jusqu’au 6 janvier 2022. Il est près de 6 h 30. Le conducteur d’une Volkswagen Polo sportive, volée dans la Drôme un mois plus tôt, perd le contrôle de son véhicule au croisement des routes de Velleron et Pernes-les-Fontaines. La vitesse et l’alcool… C’est comme ça qu’Abid El Hassouni explique l’accident.

    La voiture s’encastre dans un poteau de l’école après être passée entre des cyprès. Le chauffard part en courant.

    Une heure et demie plus tard, nouvelle scène. Surréaliste. Deux personnes arrivent à bord d’une voiture. L’un d’eux descend et vide un bidon d’essence sur le toit de la Polo volée qui s’embrase sous les yeux de plusieurs dizaines de personnes, dont des enfants et leurs parents. Des employées de l’établissement interpellent pourtant l’incendiaire en lui disant qu’il y a des élèves. Il répond : « Je n’ai pas le choix, je ne suis pas assuré. »

    Les flammes se propagent en quelques secondes. L’espace réservé à la cantine est réduit à un amas de débris calcinés.

    Un préjudice estimé à 712 000 euros

    (…)

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Argenteuil (95) : une trentaine de jeunes d’environ 13 ou 14 ans ont tenté de mettre le feu au poste de police, aucune interpellation

    Publié par Guy Jovelin le 03 novembre 2021

    Ils ont pris pour cible un lieu symbolique de l’autorité. Entre 20 et 30 jeunes vêtus en noir ont tenté de mettre le feu au poste de police de la dalle d’Argenteuil alors qu’il était inoccupé, lundi soir. Âgés d’environ 13 ou 14 ans, ils ont placé une poubelle devant la façade de l’immeuble et y ont mis le feu dans la soirée. Ils ont également lancé des projectiles contre le bâtiment et endommagé des fenêtres au premier étage. Ces dernières ne correspondant pas aux locaux de la police mais à ceux de l’antenne sociale du conseil départemental qui compte notamment un centre de protection maternelle et infantile.

    Le feu a seulement noirci le rideau de fer du poste de police. Les jeunes ont été dispersés un temps grâce à l’intervention de médiateurs. La police est intervenue plus tard et a essuyé quelques tirs de mortiers

    Certains des fauteurs de troubles se préparaient à les recevoir en prévoyant de lancer des projectiles depuis la place de la Commune-de-Paris sur des véhicules qui sortaient de sous la dalle, rue Jean-Lurçat. Une vingtaine de policiers du secteur, appuyés par une soixantaine de CRS venus de l’Essonne, sont intervenus. Les auteurs des dégradations se sont rapidement enfuis. Aucune interpellation n’a eu lieu. Deux véhicules ont été incendiés allée Beethoven, mais il n’est pas établi que cela avait un rapport avec les dégradations du poste de police.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Avignon : Mohamed allume des incendies à la moindre frustration

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2020

    Mohamed, arrivé du Soudan en 2015, est SDF. Depuis, ce grand gaillard a vivoté mais n’a pas réussi à se stabiliser pour rester en France. Sa demande d’asile lui a été refusée en 2018. Et depuis l’été dernier, ce jeune homme de 27 ans n’a pas cessé de se faire remarquer dans la cité des Papes. Le 4 août dernier, après avoir été hospitalisé à Montfavet, il a rencontré une patiente et a cru qu’il pourrait se marier avec elle. Lorsqu’il est retourné la voir au sein de l’établissement, le personnel lui a interdit l’accès au site. Pour se venger, il est revenu allumer un feu sur un tas de feuille.

    Le 2 novembre dernier, rebelote. Mohamed s’est à nouveau fait remarquer. Une place en hébergement d’urgence au 115 lui ayant été refusée, il a incendié une voiture et en a endommagé deux autres. Ces dégradations volontaires l’ont conduit à comparaître, vendredi, devant le tribunal correctionnel.

    J’ai appelé pour un hébergement. Je suis SDF. J’ai passé la nuit dans une voiture. J’ai appelé le lendemain, on m’a dit de rappeler l’après-midi et quand j’ai rappelé, on m’a dit que ce n’était pas possible, relate le traducteur de Mohamed. Je voudrais rentrer chez moi.” Un examen psychiatrique a conclu à une schizophrénie paranoïde. Mohamed souffre de délire persécutoire. Un simple “non” suffit pour le faire vriller.

    La Provence via fdesouch