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voitures électriques

  • Un exemple-type du danger et de l'arnaque de la voiture électrique

    Publié par Guy de Laferrière le 03 août 2023

    lafautearousseau

    (Dans Le Parisien) Un exemple-type du danger et de l'arnaque de la voiture électrique : le bateau en feu depuis plus d'une semaine au large de la Hollande :

    "VIDÉO. « Il n’y a pas de moyen d’extinction » : le feu du Freemantle Highway, un cauchemar pour les secours

    Un cargo est en feu au large des côtes néerlandaises depuis le 26 juillet. Un « feu perpétuel » très difficile à éteindre, à cause de la présence de 498 véhicules électriques à bord et de leur batterie lithium-ion, comme l’explique Nicolas Tamic, directeur adjoint du Cedre..."

    https://www.leparisien.fr/video/video-il-ny-a-pas-de-moyen-dextinction-le-feu-du-freemantle-highway-un-cauchemar-pour-les-secours-01-08-2023-T4V2PL7IGRCLFK4UZ72VVF43YE.php?at_creation=Le%20Parisien&at_campaign=Partage%20Twitter%20CM&at_medium=Social%20media

     Pour les batteries lithium ion, il n’y a pas de moyen d’extinction, ça n’existe pas. C’est vraiment un problème...

     

  • Volkswagen annonce que les voitures électriques génèrent jusqu’à 70% d’émissions de plus que leurs équivalents à essence

    Publié par Guy de Laferrière le 06 juillet 2023


    En effet, selon le Daily Mail, de nombreux propriétaires se tournent vers des modèles plus récents, laissant ainsi d’importantes quantités de voitures électriques d’occasion indésirables sur le marché automobile. Au Royaume-Uni, la majorité des achats de voitures sont effectués via des plans de crédit, offrant aux clients la possibilité d’échanger leur véhicule contre un nouveau modèle après un contrat de trois ans. Cette pratique rend peu probable la compensation des émissions supplémentaires engendrées par les voitures électriques.

    Les achats personnels sur contrat (PCP) ont connu une popularité croissante grâce aux taux d’intérêt bas de la dernière décennie, permettant aux consommateurs de rembourser leur voiture par des versements mensuels. Cependant, cette obsession du financement automobile compromet les objectifs climatiques du gouvernement britannique, alors qu’une interdiction de la vente de nouvelles voitures à essence et diesel se profile en 2030.

    En 2021, Volvo a révélé que les émissions provenant de la production de voitures électriques peuvent être jusqu’à 70% plus élevées que celles des modèles à essence. Le constructeur automobile a indiqué qu’il faudrait parcourir entre 48 280 et 110 015 km pour qu’un véhicule électrique devienne réellement plus respectueux de l’environnement, soit généralement entre quatre et neuf ans.

    La principale raison de cette situation réside dans les batteries utilisées pour alimenter les voitures électriques. Elles nécessitent des matières premières telles que le cobalt et le lithium — comme le rappelait François-Xavier Pietri — qui doivent être extraites dans des régions comme l’Afrique et l’Amérique du Sud avant d’être transportées à travers le monde. Ce processus entraîne un coût environnemental élevé pour la fabrication des véhicules électriques, et cerise sur le gâteau : 40 000 enfants sont exploités dans les mines et rémunérés 1 dollar par jour pour extraire le précieux cobalt.

    L’absurdité de la situation actuelle est indéniable. Les voitures électriques, censées être une alternative écologique, se retrouvent avec des émissions plus élevées que les voitures à essence lors de leur production. De plus, la tendance des consommateurs à échanger régulièrement leurs véhicules grâce aux plans de crédit compromet la capacité des voitures électriques à compenser les émissions supplémentaires sur le long terme.

    Source

  • Voitures électriques : un régal pour les pirates

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Le Parlement européen a approuvé le 14 février dernier les nouveaux objectifs en matière de réduction des émissions de CO2 pour les voitures et les camionnettes neuves : zéro émission de CO2 en 2035. Au passage, notons que les hyper-riches ne sont pas concernés. Comme l’indique le communiqué du Parlement européen, “les constructeurs qui immatriculent moins de 1.000 véhicules neufs par an continueront d’être exemptés”. Les milliardaires amateurs de bolides de luxe ne devront toujours pas partager les soucis de la plèbe… Pour atteindre les objectifs zéro carbone, les institutions de l’Union Européenne misent sur les voitures électriques. Or les problèmes s’accumulent : manque d’infrastructures de recharge électrique, explosion du coût de l’électricité et… probabilité de piratage en pagaille.

    Car les voitures électriques regorgent de systèmes connectés, bien plus que les voitures à essence. C’est sur ce spectre du piratage des voitures électriques ainsi que des bornes de recharge que nous nous arrêterons aujourd’hui. Le Wall Street Journal a publié une intéressante enquête sur le sujet. Et propose quelques exemples de piratages récents à grande échelle.

    “En février dernier, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les chargeurs pour voitures électriques installés sur une autoroute russe se sont éteints et leurs écrans ont affiché des messages pro-Kiev.”

    “En avril dernier, les chargeurs de l’île de Wight ont subitement diffusé des films pornographiques.”

    Ce ne sont là que des exemples qui démontrent que les voitures électriques sont une cible privilégiée pour les cyberattaques. Pour comprendre pourquoi, il faut savoir qu’une voiture de luxe à essence contient environ 150 puces électroniques alors qu’une voiture électrique en contient près de 3.000, parce que tout est électronique dans une voiture électrique. Et tout peut donc être piraté à distance, la direction, le freinage, les accélérations… Il est même possible de créer des départs d’incendie.

    Et les bornes de recharge ont également des connexions Internet cellulaires. L’un des risques est que des pirates parviennent à infecter une voiture avec un certain type de logiciel qui pourrait ensuite infecter la borne de rechargement puis l’ensemble du réseau de charge via les ordinateurs reliés aux bornes centrales de recharge publiques. De la sorte, le pirate entrerait dans l’ensemble du système d’un grand nombre de voitures électriques. Un autre risque majeur est lié aux mises à jour électroniques envoyées par les constructeurs automobiles à leurs véhicules électriques. Par ce vecteur, des cyberpirates pourraient introduire des logiciels malveillants dans des milliers voire des millions de véhicules électriques.

    “Les pirates pourraient ensuite prendre le réseau en otage et demander une rançon, ou l’utiliser pour attaquer le réseau électrique.”, explique le Wall Street Journal.

    Pour couronner le tout, ajoutons que les voitures électriques sont aussi les plus faciles à voler, sans effraction, via un simple boîtier électronique.

     

    Source : medias-presse.info