Elles ont annoncé leur départ de la paroisse Notre-Dame de Nantes, où elles étaient accueillis depuis plus de huit ans.
Elles témoignent de l’impossibilité d’exercer leur mission dans des conditions sereines, exemple à l’appui :
« Mardi dernier encore , lors de mon enseignement à l’église, nous avons dû solliciter l’auditoire pour faire sortir de la rue une personne qui était entrée en état d’ébriété. Et ça sentait le cannabis devant l’église. C’est une triste réalité de notre quotidien.”
“Nous ne sommes pas des « franciscains du Bronx » et nous ne sommes pas censés être des agents de sécurité, bien que nous ayons pris quelques leçons d’« autodéfense. Nous avons non seulement cherché des solutions, mais aussi agi de multiples façons pour essayer de temporiser et de réguler ces problèmes quotidiens. »
« On dit ce qu’on voit. L’insécurité croissante est un fait. »
Source : lesalonbeige