Emmanuel Macron est convoqué chez les francs-maçons le 8 novembre prochain, pour parler notamment de « la fin de vie », le Grand Orient de France étant « très attaché à une évolution de la législation pour faciliter l’aide à mourir ».
De mon côté, je reste très attaché à l’interdiction de la franc-maçonnerie, cette secte destructrice de la famille, du caractère sacré de la vie, de la foi catholique et de l’ethnie française.
Et à ceux qui objecteraient que c’est un combat d’arrière-garde ou de complotistes, je rappelle ce que j’ai déjà rappelé dans Combat pour la France : Le 9 mars 2019, des Gilets Jaunes dégradent le « temple » franc-maçon de Tarbes. Le préfet des Hautes-Pyrénées, Brice Blondel, dénonce alors « une agression contre la République » et il poursuit en précisant : « En s’attaquant à une institution comme celle-là, on s’attaque au fondement même de la République ». C’est un bel aveu.