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francs-maçons

  • Macron chez les francs-maçons

    Publié par Guy de Laferrière le 24 octobre 2023

    Publié le  par 

    Emmanuel Macron est convoqué chez les francs-maçons le 8 novembre prochain, pour parler notamment de « la fin de vie », le Grand Orient de France étant « très attaché à une évolution de la législation pour faciliter l’aide à mourir ».

    De mon côté, je reste très attaché à l’interdiction de la franc-maçonnerie, cette secte destructrice de la famille, du caractère sacré de la vie, de la foi catholique et de l’ethnie française.

    Et à ceux qui objecteraient que c’est un combat d’arrière-garde ou de complotistes, je rappelle ce que j’ai déjà rappelé dans Combat pour la France Le 9 mars 2019, des Gilets Jaunes dégradent le « temple » franc-maçon de Tarbes. Le préfet des Hautes-Pyrénées, Brice Blondel, dénonce alors « une agression contre la République » et il poursuit en précisant : « En s’attaquant à une institution comme celle-là, on s’attaque au fondement même de la République ». C’est un bel aveu.

  • Les Francs-Maçons sont à la manœuvre

    Publié par Guy de Laferrière le 22 août 2023

    Auteur : 

    Serge Abad Gallardo dénonce la franc-maçonnerie à la manœuvre

    Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon converti à la foi catholique, souligne l’importance de la fraternelle parlementaire dans la vie politique française. Cet organisme inter-obédiences et inter-partis politiques occupe une place majeure dans le processus législatif républicain.

     

     

  • Officine criminelle de francs-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2022

    Officine criminelle de francs-maçonsOfficine criminelle de francs-maçons

    Avec un peu d’amalgame, on demanderait de dissoudre la franc-maçonnerie… :

    Deux chefs d’entreprise ont été mis en examen en juin à Paris, soupçonnés d’avoir commandité une violente agression pour se faire payer une dette, via des membres d’une officine dirigée par des francs-maçons qui aurait organisé une série de crimes, selon deux sources proches du dossier.

    Pierre T., gérant d’une entreprise de construction à Toulouse, et son partenaire Alain M., ont été mis en examen le 24 juin et placés sous contrôle judiciaire, ont indiqué vendredi 12 août ces sources, confirmant une information du Parisien. «Mon client qui n’a jamais eu affaire de toute sa vie à la justice n’a rien à voir avec le cœur de cette affaire. Sans rien savoir, il est manifestement tombé dans une béchamel infernale», a affirmé auprès de l’AFP l’avocate de Pierre T., Me Marie Burguburu.

    Instruit à Melun jusque-là, ce dossier a été transféré à Paris mi-mars et joint à l’information judiciaire visant une officine criminelle dirigée par des francs-maçons et suspectée d’au moins un assassinat. Pour récupérer une dette d’environ 300.000 euros, Pierre T. et Alain M. sont soupçonnés d’avoir commandité, entre 2019 et janvier 2020, une stratégie d’intimidation – messages menaçants, dépôts de rats morts, incendie d’un portail – envers le gérant d’une entreprise de BTP débiteur, jusqu’à la violente agression du compagnon de ce dernier en Seine-et-Marne. Pour ce faire, ils auraient été mis en relation avec Yannick P., ancien agent de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et l’un des exécutants présumés de cette officine criminelle, dont les principaux acteurs ont été arrêtés. Ce dernier aurait ensuite demandé, contre quelques milliers d’euros, à Sébastien L., l’un des principaux hommes de main de la cellule, de brûler le portail du couple et de «donner quelques gifles, quelques tartes».

    «Mon client a pris toutes ses responsabilités, ainsi qu’il l’a toujours fait dans ce dossier», a déclaré Me Antoine Ory, avocat de Sébastien L., déjà mis en examen dans d’autres volets. Pour Me Joseph Cohen-Sabban, avocat du couple victime, «on reste interloqué face au manque de la plus élémentaire moralité de la part de personnages par ailleurs bien intégrés». Cette enquête à tiroirs, qui avait démarré fortuitement fin juillet 2020 avec l’évitement d’une possible tentative d’assassinat d’une coach en entreprise à Créteil, a été élargie à de nombreux autres faits. La cellule est suspectée d’avoir ordonné l’assassinat du pilote de rallye Laurent Pasquali en 2019; un projet d’assassinat d’un «syndicaliste gênant» de la CGT à Bourg-en-Bresse la même année; de projets criminels visant le maire de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) Sylvain Berrios ou un opposant congolais au président Sassou Nguesso, Ferdinand Mbaou, etc.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le but des libéraux impies…

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2022

    Auteur : 

    « Le but des libéraux impies n’est rien moins que l’élimination de l’Église par la destruction des États catholiques qui la soutiennent.

    Ces États étaient les murs de la foi. Il était donc nécessaire de les décomposer.

    Et une fois que ces défenses de l’Église auraient été détruites, une fois que les institutions politiques qui étaient sa protection et l’expression de son influence bienfaisante auraient été supprimées, l’Église elle-même serait paralysée et abattue, et avec elle la famille chrétienne, l’école chrétienne, l’esprit chrétien, et même le nom chrétien lui-même.

    Léon XIII voit clairement ce plan satanique, ourdi par les sectes maçonniques, et qui atteint aujourd’hui ses ultimes conséquences. »

    Mgr Marcel Lefebvre

     

    Source : medias-presse.info

  • État des lieux de l’affaire politico-criminelle mêlant barbouzes et francs-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2021

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    La tentative d’assassinat ratée d’une formatrice en coaching à Créteil en juillet 2020 et l’arrestation d’un commando appartenant à la direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) a entraîné la découverte de multiples projets d’exécution. Une affaire hors normes.

    La police a mis au jour une organisation criminelle dont les principaux membres appartenaient à une loge maçonnique. Ils sont soupçonnés d’avoir commandité des agressions, voire des meurtres, en ayant recours à des mercenaires et des plantons de la DGSE qui pensaient remplir des missions pour le compte de l’État.

    Deux hommes armés arrêtés au petit matin dans un quartier résidentiel de Créteil… Lorsqu’ils ont hérité de l’affaire au creux de l’été 2020, les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne ne s’attendaient certainement pas à ouvrir une boîte de Pandore. À tomber sur le corps d’un champion automobile enterré dans une forêt de Haute-Loire. À ressortir les photos d’un élu francilien au visage tuméfié. À découvrir que la vie d’un syndicaliste de province ne tenait qu’à un fil.

    Ils ignoraient sans doute aussi qu’ils auraient à investir des lieux aussi secrets que sensibles. Une base du service action de la DGSE près d’Orléans, et une loge maçonnique des Hauts-de-Seine dans lesquelles plusieurs projets sanglants semblent avoir été orchestrés. À ce stade des investigations, douze personnes sont mises en examen. Si toutes restent présumées innocentes, une majorité d’entre elles a livré aux enquêteurs des récits glaçants.

    […]

    L’intégralité disponible sur FranceTV Info