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melenchon - Page 7

  • Le match est lancé entre Mélenchon et Belloubet

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 16 septembre 2019.

    Le ministère de la Justice est hanté depuis bien trop longtemps par des politicards qui n’ont rien à y faire. Alors qu’il s’agit de l’un des ministères les plus importants, c’est une ribambelle de nuls qui ont des problèmes avec la justice qui s’y succèdent. Aujourd’hui, c’est au tour de Nicole Belloubet, une figure sombre de la Macronie qui est exposée en plein jour par son nouveau meilleur ennemi, Jean-Luc Mélenchon. Un insoumis qui commence à balancer les dossiers sur ses anciens collègues socialistes… 

    Peu connue du grand public, Nicole Belloubet n’en est pas moins un rouage essentiel de la machine macronienne. Avec son poste de ministre de la Justice, Belloubet est au cœur de tous les nœuds judiciaires à nouer ou à dénouer. Jean-Luc Mélenchon, pense que son avenir est décidé dans le bureau de la ministre et prépare ainsi les esprits à une possible condamnation. Condamné, Mélenchon jurera au procès politique, relaxé, il dira que son innocence ne faisait aucun doute. Mélenchon attend avec inquiétude son procès et tente de déstabiliser avec un certain succès Nicole Belloubet. 

    Une ministre qui ne connaît pas son patrimoine

    L’affaire Cahuzac a fait du mal à la Hollandie. Depuis les politiques font mine de montrer patte blanche et déclarent leur patrimoine à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) mais les ratés sont nombreux. Les ministres oublient qu’ils ont mystérieusement fait fortune dans la politique ou ailleurs… Pour Nicole Belloubet, les « oublis » sont conséquents puisqu’on compte une maison de 184 mètres carrés dans l’Aveyron ainsi que deux appartements de 61 et 32 mètres carrés à Paris. Plus précisément, la ministre possède des parts dans ces trois biens pour une valeur qu’elle estime à 360 000 euros.

    Difficile de croire qu’on puisse oublier autant de biens qui représentent une somme aussi colossale. Mais qu’est-ce que 360 000 euros quand on est ministre ? Du moment qu’il n’y a « aucune intention de fraude » comme le clame Belloubet, il n’y a pas de mal. Juste une faute morale qu’elle a corrigée six mois après son entrée au Gouvernement. Il n’y a pas d’affaire à croire la ministre, mais Mélenchon est d’un avis contraire. « Pour l’instant elle n’a pas eu de signalement. Mais elle sait ce qui est arrivé à ses prédécesseurs ». Urvoas est sous le coup d’une procédure judiciaire et son bref prédécesseur Bayrou est visé par une enquête préliminaire. Le poste de ministre de la Justice serait-il maudit ?

    Pour l’heure Belloubet semble ne pas s’en préoccuper. Elle préfère commenter la situation à Levallois-Perret. Patrick Balkany en prison, c’est sa première-adjointe de femme qui devient maire par intérim. Une promotion obligée qui intrigue, car Isabelle Balkany a aussi été reconnue coupable de fraude fiscale. La ministre s’émeut, mais ses émotions ne valent rien et même moins que rien au regard des lois. Si cette situation ubuesque ne lui plaît pas, elle n’a qu’à changer la loi. N’est-elle pas ministre de la Justice ?

    Une ministre qui se voit bien poursuivre sa mission pour la Macronie, car quand on lui parle de places de prison, elle assure qu’ « il n’y a aucun doute, le président s’était engagé à 15.000 places, elles seront construites. Elles seront construites sans doute pour le second quinquennat, ce qu’on a toujours annoncé d’ailleurs ». Le second quinquennat ? Oui, Belloubet et toute la Macronie sont déjà dans le coup d’après avec une réélection prévue en 2022. Une hypothèse loin d’être irréaliste, car si Macron est détesté, personne ne semble être encore en mesure de le décrocher d’un pouvoir qui lui va si mal.

     

    Source : 24heuresactu

  • Mélenchon en panique avant son procès

    Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 14 septembre 2019

    Jean-Luc Mélenchon est un homme apeuré. Avant même de voir tomber Patrick Balkany pour une toute autre affaire, le leader des Insoumis est omniprésent dans les médias comme pour se rassurer son avenir judiciaire. Suspecté dans deux affaires, Mélenchon devra répondre les 19 et 20 septembre d’acte de « rébellion, provocation et actes d’intimidation envers l’autorité judiciaire ». Des motifs d’accusation qui pourraient presque faire croire que l’ancien cacique du PS est un véritable insoumis. Malheureusement pour lui et ses électeurs naïfs, il n’en est rien.  

    Ce vendredi 13 septembre, Jean-Luc Mélenchon a beaucoup ri. Patrick Balkany, maire de Levallois et figure bien connue pour son goût de l’argent et du luxe est finalement tombé. Condamné à quatre ans de prison, il a immédiatement été envoyé en cellule au grand dam de sa femme et de ses soutiens habitués à une justice laxiste. Balkany en prison et son avocat voit sa réputation en prend un coup. Un « ami » de Mélenchon avec lequel il échange des amabilités à quelques jours du procès dans lequel Eric-Dupont Morretti défendra les policiers qui ont eu le redoutable privilège de participer aux perquisitions qui ont rendu fou de rage Mélenchon.

    Des hurlements sous le coup de la loi ?

    Quand Mélenchon est en colère (ou a très peur), ça se voit. Il invective, menace, hurle et finit pas gueuler, « La République, c’est moi ! ». S’il n’était pas connu pour sa carrière de politicard, les Français auraient pu croire à un mauvais reportage sur la justice au quotidien et les illuminés dont elle doit s’occuper. Le leader des Insoumis a très mal pris qu’on commence à regarder ses comptes de campagne et qu’on le retrouve de bon matin dans son appartement en compagnie de Sophia Chikirou. Une réunion très matinale de travail interrompue qui a mis de mauvais poil ce bon Jean-Luc lequel a filé dans les locaux de LFI pour faire la police.

    Malheureusement, les vrais policiers étaient déjà là avec un juge afin de procéder à une perquisition en règle. C’est là que Mélenchon a déparé et depuis, il se dit victime d’une machination politique digne des pires heures du stalinisme. Cela ne devrait guère déranger le gauchiste qu’il est, mais quand on est « seul » à faire « l’objet d’une saisie, d’une enquête préliminaire et de perquisitions géantes avec des  méthodes qui sont d’habitude réservées au grand banditisme », on panique un peu.

    « Je risque dix ans de prison et 150.000 euros d’amende je ne rigole plus. […] Je suis fier de moi et j’ai eu raison de leur tenir tête ». Un député qui se prend pour la République, menace la police, ne se contrôle plus, mais qui se décerne une médaille d’honneur… Mélenchon perd les pédales et sent que le boulet judiciaire risque de l’emporter. Depuis des mois, il crie au procès politique, se fait passer pour un authentique résistant au système et voit dans la présence de Dupont-Morretti à son procès la marque du pouvoir.

    N’a-t-il pas compris que cet avocat se pointe quand un procès très médiatique a lieu ? C’est le meilleur moyen de s’assurer une clientèle riche et désespérée. En voyant Balkany être condamné à la prison, Mélenchon a vu que Dupont-Morretti pouvait perdre un combat et reprend espoir. Sauf que les images de son comportement outrancier et menaçant restent et que sa possible future condamnation ressemblera à une petite tape sur les doigts. Les faits qui lui sont reprochés lors du procès à venir ne sont pas si grave et le système             a besoin de cet épouvantail pour continuer à ratisser large. Mélenchon ne terminera pas sa carrière en prison comme Lula ou Balkany… Nous voilà presque rassurés.

     

    Source : 24heuresactu

  • La compagne communiste algérienne de Mélenchon devient chroniqueuse de BFMTV

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2019

    Publié le 5 juillet 2019 Auteur par Rédaction
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    « Pendant des années, Sophia Chikirou a accusé les journalistes de BFMTV d’à peu près tous les maux. Que ce soit sur les questions sociales, les affaires de Jean-Luc Mélenchon ou bien évidemment sa couverture de la France insoumise, la chaîne d’information en continu a eu droit à des tweets et déclarations incendiaires récurrents de la part de la communicante.

    Mais comme l'a remarqué l'Obs en étudiant la grille de rentrée de BFMTV, celle qui a dirigé Le Média jusqu’en juillet 2018 a visiblement changé son fusil d’épaule. À partir du mois de septembre, elle interviendra effectivement de manière régulière à l’antenne, dans le cadre d’un débat opposant l’éditorialiste Alain Duhamel à des personnalités de sensibilité différente.

    Comme Natacha Polony ou l’ancienne ministre Aurélie Filippetti, Sophia Chikirou se retrouvera ainsi en face-à-face avec l’ancien chroniqueur politique de RTL, à une heure de grande écoute. Un retournement de veste notable de la part d’une femme qui n’a eu de cesse de critiquer les médias en général, avec un attachement tout particulier à la condamnation de BFMTV. » (source) via contre-info537f0e9_80oIrnFk2SboaE6-KTl9vLy3.jpg