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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 387

  • Les Français ont obéi docilement comme des moutons qu’on mène à l’abattoir : c’était il y a déjà trois ans…

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Obéir comme des moutons que l'on mène à l'abattoir, 2 avril 2023

    Cela se passe en France en mars 2020 :

    oui, en France, pas en Russie poutinienne.

    Avec le recul, c’est incroyable ! Une policière macronienne “gueule” ses ordres à des passants passifs !

    Dans Contrepoints du 9 mars 2023, notre confrère Yves Bourdillon écrivait :

    “Il y a trois ans jour pour jour, les bureaucraties sanitaires occidentales ont imposé en mode panique et Panurge le confinement anti-covid. Une prophylaxie pourtant jamais utilisée et donc encore moins évaluée dans l’Histoire. Copier une méthode inventée par un régime totalitaire chinois aux données notoirement trafiquées aurait pourtant dû paraître peu judicieux. Mais la boîte de Pandore de ce genre de mesures hyper liberticides a été ouverte. C’est une date historique et funeste, quoique peu s’en souviennent, à commémorer ce 9 mars. Une date qui fera peut-être jurisprudence pour justifier les plus démentes atteintes à vos droits et libertés et un contrôle social numérisé digne d’un roman de Georges Orwell, ou d’Evgueni Zamiatine.

    La version dure du confinement, avec l’exigence d’une auto attestation datée, sous peine d’amende, pour travailler, s’approvisionner, ou se faire soigner n’a été pratiquée, contrairement à ce qu’a prétendu l’Elysée, que par six pays au monde : Italie, Espagne, France, Belgique, Roumanie et Maroc. Vous pourrez raconter à vos petits-enfants, qu’on peut espérer incrédules, qu’on a pourchassé en hélico des promeneurs sur une plage. Les villes de la moitié de la planète ressemblaient au décor muet d’un film catastrophe arpenté par des survivants et des zombies… mais des zombies dérogatoires.

    Cette prophylaxie n’avait pourtant JAMAIS été appliquée NULLE PART et donc encore moins testée ou validée dans l’Histoire de l’humanité. Cette dernière pratiquait jusqu’alors la méthode éprouvée et robuste « tester-isoler-soigner » face aux nombreuses épidémies qu’elle a dû affronter.

    Si des villes ont été mises en quarantaine au Moyen Âge et jusqu’au XIXe siècle pour peste, ou choléra, cela n’avait rien à voir avec l’interdiction de sortir de chez soi. “

    En mars 2020 nous avons collectivement mis le doigt dans un engrenage dévastateur. Les pires dictatures n’auraient jamais osé imaginer pouvoir nous interdire de sortir de chez nous, travailler, recevoir nos amis, imposer de porter un bavoir inutile dans la rue, présenter notre statut vaccinal pour s’asseoir à une terrasse de café.

    La prophylaxie contre le covid l’a fait sans que personne ou presque ne moufte. Preuve a été faite que les populations pouvaient accepter n’importe quelle mesure liberticide du moment qu’on brandit un microbe.

    Et pour répondre au tweet ci-dessus – “Comment a-t-on pu admettre cette folie“, souvenons qu’avoir peur de façon irrationnelle, c’est se préparer à obéir . Voilà pourquoi les gouvernants politiques mais surtout économiques mondiaux utilisent la peur pour nous faire adopter des comportements dociles et même serviles où nous acceptons sans riposte les directives les plus déshumanisantes.

    Le jour où le confinement, ou son petit frère, le contrôle social numérisé de tous, partout, tout le temps, reviendra, souvenez-vous : cela a commencé un 9 mars.

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Chronique des cinglés

    Voici la programmation culturelle de Sucy-en-Brie, Val de Marne. Le maire Marie-Carole Ciuntu est vice-président de la région IDF et membre de LR.

     

    Source : lesalonbeige

     

  • Un scrutin avec près de 93% d’abstention, est-ce réellement un scrutin ?

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Un scrutin avec près de 93% d’abstention, est-ce réellement un scrutin ?

    Selon France info :

    Lors d’une votation organisée dimanche, les Parisiens ont voté à près de 90% contre la présence de trottinettes en libre-service dans la capitale.

    Près de neuf Parisiens sur dix ont dit non, dimanche 2 avril, aux trottinettes en libre-service à Paris. Anne Hidalgo, qui s’était engagée à respecter le résultat du vote, a donc annoncé qu’il n’y en aurait plus à partir du 1er septembre.

    Bigre, les Parisiens se sont donc “largement” exprimés contre les trottinettes en libre-service… Au détour de l’article, on apprend quand même que

    103 000 Parisiens ont participé à la votation sur les 1,3 million d’inscrits sur les listes électorales à Paris, soit 7,46% de participation.

    La presse en roue-libre.

     

    Source : lesalonbeige

  • La violence accoucheuse… de tempêtes stériles !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

    les4verites

    Le grand écrivain catholique anglais Chesterton disait naguère : « Le monde s’est divisé entre conservateurs et progressistes. L’affaire des progressistes est de continuer à commettre des erreurs. L’affaire des conservateurs est d’éviter que les erreurs ne soient corrigées. »

    C’est cette citation qui me revenait à l’esprit en assistant au numéro de duettistes que se livrent d’un côté le « parti de l’ordre », emmené par notre sémillant président, et de l’autre le parti du désordre dont le dirigeant (pour l’heure) incontesté demeure Jean-Luc Mélenchon.

    Naturellement, en regardant avec consternation l’actualité politique et sociale, la première idée qui vient à l’esprit de tout Français est de condamner sans équivoque la violence.

    Cela vaut bien sûr pour la violence des « black blocks » en marge des manifestations contre la réforme des retraites. Cela vaut aussi pour ce qui vient de se passer à Sainte-Soline – où, samedi dernier, 200 manifestants ont été blessés (dont 40 sont dans un état grave et l’un se trouve même entre la vie et la mort), ainsi que 47 gendarmes.

    Depuis le début de la nouvelle mandature, on entendait de temps à autre des commentateurs se féliciter que les débats « toniques » à l’Assemblée permettent à toutes les tendances politiques de s’exprimer et donc diminuent d’autant la violence dans la société.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette analyse se révèle, à l’usage, fort défaillante.

    Au contraire, tout se passe comme si nous revenions aux temps « glorieux » de la Convention montagnarde où les députés d’extrême gauche, sous la pression de « la rue » ou de « l’opinion publique » (je mets les deux expressions entre guillemets car aucun de nous, bien qu’homme de la rue et participant de l’opinion publique, ne peut se sentir solidaire de ces excités), devenaient de plus en plus violents verbalement, légitimant ainsi en retour la violence physique hors de l’Assemblée.

    Ce que je décris là est bien connu pour l’extrême gauche. Mais la plupart des commentateurs s’arrêtent là.

    Or, la violence contemporaine, comme la violence révolutionnaire, s’exerce, comme diraient les marxistes, de manière dialectique.

    Pour le dire autrement, LFI a besoin de Renaissance, comme naguère les jacobins avaient besoin des girondins ou la Commune de Thiers.

    Pour nourrir la violence révolutionnaire, il faut le parti de l’ordre (« idéalement » violent lui aussi) – et la peur que ce dernier inspire à ses opposants. En sens inverse, le parti de l’ordre se nourrit de la violence du parti révolutionnaire.

    Mais le plus navrant dans tout cela, c’est que nous savons désormais par expérience, qu’aucune de ces deux alternatives ne peut rien apporter de bon à la société et aux personnes concrètes.

    Je ne le dis pas seulement en songeant – ce qui est l’évidence même – que la violence ne peut rien apporter de bon et que tous les slogans révolutionnaires sur la nécessité de cette violence (« on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs », « la violence accoucheuse de l’histoire », etc.) ont abouti à des situations plus dures encore pour les malheureux que la Révolution prétendait servir.

    Je le dis surtout en constatant que « conservateurs » et « progressistes » – ici LFI et Renaissance – partagent une commune méconnaissance (pire, une commune indifférence) pour la nature humaine.

    LFI nous voit comme simple cellule du Léviathan collectiviste ; Renaissance comme de simples consommateurs. Comment diable peut-on bâtir une réforme politique tant soit peu durable sur la base d’une anthropologie aussi sommaire ?

     
  • l'élection de Sophie Binet à la place de Philippe Martinez

    Publié par Guy de Laferrière le 02 avril 2023

    Thomas Joly

    Avec l'élection de Sophie Binet à la place de Philippe Martinez, même chez les fossiles communistes de la CGT, la vaginocratie s'installe. On ne pouvait pas rêver mieux pour que ce syndicat se consume de l'intérieur. Il n'y a plus qu'à savourer tranquillement la lente agonie de cette organisation parasitaire et nocive.
     
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