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coups

  • Crachats, coups, injures raciales à Toulouse : un resquilleur sub-saharien du métro s’en prend à un agent maghrébin

    Publié par Guy de Laferrière le 26 décembre 2022

    Toulouse. Crachats, coups, injures raciales : le passager du métro s'en prend à un agent Tisséo

    La trêve de Noël a-t-elle encore la moindre signification en ce début de XXIe siècle ? Pas si l’on en croit cette histoire survenue dans le métro de Toulouse, durant la nuit du jeudi 22 au vendredi 23 décembre 2022.

    Le resquilleur rappelé à l’ordre

    Vers 1 heure du matin, un homme s’engouffre dans la station de métro Esquirol avec la ferme intention de franchir les tourniquets sans ticket. Manque de chance, un agent Tisséo campe à proximité pour éconduire les resquilleurs.

    Le passager sans titre tente malgré tout sa chance, se fait rabrouer : il explose de fureur. « D’origine africaine, il a proféré des injures à caractère racial à l’encontre de l’agent d’origine maghrébine », soupire une source policière.

    Crachats et coup de poing à un policier

    Aux insultes ont succédé les crachats et les coups. L’agent Tisséo s’est réfugié dans le local de sécurité attenant et a immédiatement alerté la police. Qui a été accueillie de la même façon. Crachats, coup de poing à un fonctionnaire.

    « Déjà connu des services », cet homme de 28 ans a été maîtrisé et placé en garde à vue pour l’ensemble de son œuvre. Le tout, à deux jours de Noël, et pour un ticket dont le coût unitaire est inférieur à 2 euros…

    actu.fr via fdesouche

  • Ile-de-France : menaces, crachats, coups… pèsent sur le quotidien des chauffeurs de bus

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2020

    Par  le 13/08/2020

    A l’encontre des chauffeurs de bus de la RATP ou entre voyageurs, insultes et violences se banalisent en Ile-de-France et prennent de l’ampleur avec le Covid-19 et le port du masque imposé dans les transports. D’après un rapport consulté par Le Parisien, cet été, presque chaque jour, au moins un machiniste a été insulté, menacé voire agressé. Ou c’est son bus qui a été caillassé.

    «Pour nous, c’est devenu presque banal», reconnaît un machiniste francilien, délégué syndical. […] Cette violence gratuite et généralisée semble être devenue pour les machinistes une composante du métier. Celle que l’on accepte plus ou moins bien en fonction de l’humeur de la journée. «Ce n’est évidemment pas normal, mais comme c’est quotidien, ça devient malheureusement une habitude, confirme Grégory, délégué Sud. Lorsqu’on porte plainte, il n’y a aucune suite », soupire-t-il. «Alors on finit par l’accepter. Il y a des jours où se faire insulter ne nous touchera pas. Et d’autres, où on le vit plus mal». […]

    Le Parisien via fdesouche