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  • Islamisme :   ce sera nous ou eux.

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2019

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    En 18 ans, depuis le 11 septembre 2001, l'islamisme politique à commis 32 000 attentats de par le monde et fait plus de 150 000 morts, des centaines de milliers de blessés et mutilés, sans parler des combattants Syriens, irakiens, Kurdes tombés l'arme à la main ou massacrés après leur capture, et les innombrables victimes civiles des guerres qu'il a menées au nom d'Allah. Le quotidien allemand Die Weltvient d'en publier la longue liste sanglante. Elle parle d'elle-même.
    Face à cette offensive qui n'est que la continuité d'une lutte millénaire menée contre l’Occident, sa civilisation et ses valeurs dans une volonté de conquête et de soumission à la fois terrestre et eschatologique, nos vieilles nations chrétiennes et principalement notre continent européen sont démunis.
    Les trois causes de notre faiblesse sont connues :
    • Le renoncement à ce que nous sommes, c’est-à-dire des peuples chrétiens, porteurs d'une longue et glorieuse Histoire, d'une construction humaniste éclairée par le Divin autant que par la raison, détenteurs de cette clarté qui ordonne la complexité du monde, et comptables d'une destinée ; l'oubli de nos valeurs et de nos principes qui portèrent longtemps le sceau lumineux de l’honneur, du courage et de l’héroïsme ; la perte de la foi en nous-mêmes.
    • La désunion continentale et l'angélisme millénariste qui ont conduit nos États d'une part à croire au mythe de la fin de l'Histoire et à la paix éternelle, d'autre part à s'en remettre peu à peu pour leur sécurité à la seule puissance américaine, se condamnant ainsi à n’être que des jouets dans un jeu stratégique planétaire.
    • Le juridisme, le culte du légalisme appliqué au nom de l'humanisme universel et le carcan de l'État de droit.
    Pour le Parti de la France, le combat doit être simultanément mené à trois niveaux différents.
     
    1. À l'extérieur de nos frontières. Par des actions de renseignement et de traitement ponctuel des résultats en termes d’élimination des chefs islamistes par nos services spéciaux. Par des actions d'envergure mais limitée dans le temps afin d’éviter l'embourbement de nos unités militaires (cf. le Mali), chaque fois que nos intérêts sont menacés ou que des ressortissants français sont en danger. Par une coopération efficace avec nos partenaires européens, avec nos alliés et avec la Russie.
    2. Sur le territoire national. Par un regroupement administratif préventif dans des centres de rétention, d'examen et d'interrogatoire par les agents de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure, de tous les suspects, avant, le cas échéant, incrimination judiciaire pour Intelligence avec l’ennemi en vertu de l'Article 411-4 du Code pénal. Celui-ci dispose que « le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende » ; par l'expulsion de tous les tenants avérés de l’islam radical, expulsion immédiate pour les étrangers, après déchéance de la nationalité française pour les binationaux ; par la reconstitution d'une cour de sûreté de l'État compétente pour toute entreprise terroriste avec rétablissement de la peine de mort ; par la Reconquista des cités perdues et la lutte sans merci contre la pègre des quartiers, terreau fécond et soutien logistique de l’islamisation ; par l'application du principe d'immigration zéro et la mise en œuvre progressive d'une politique concertée ou pas de retour au pays.
    3. Sur le sol européen. Par la constitution d'une Europe des Nations libres et indépendantes dotée des moyens du contrôle de ses frontières extérieures et d'un outil efficace de renseignement coopératif.
    Toutes les périodes de guerre qu'a traversées la France ont vu se mettre en place des mesures dérogatoires au droit commun afin de palier les vides ou les creux juridiques.
    Ces mesures, le Système, par faiblesse et par idéologie, ne les prendra jamais.
    Dès lors l'alternative est claire : ou la vraie droite française parvient aux responsabilités et fonde l'État national, ou le Pays et notre civilisation sombreront, vaincus sans avoir combattu par un ennemi impitoyable.
     
    Jean-François Touzé - Délégué National du Parti de la France aux Études et Argumentaire