Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2020
MACRO1
Qu’est-ce qu’un reset ?
L’action de reprogrammer le système en restaurant les « settings » (réglages) par défaut.
Le mensonge percole toutes leurs stratégies obliques.
Le « reset » est donc fake news, fallacie et billevesée, pipeau.
Le « nouveau normal » est l’instauration d’une dictature couvrant le fiasco éco-politique.
Activité économique en Vrounze pour octobre (estimation) ?
Pense moins trente pour cent, option basse.
La dette des états est tellement prodigieuse que l’application délirante des NIRPs (Negative Interest Rate Policy) a littéralement drainé l’épargne populaire.
Comment l’état rémunère-t-il le livret A à + 0.5% en empruntant à – 0.5% ?
Perte sèche. On cause milliards ici.
Le croume intergalactique est prosaïquement irremboursable, point barre (d’or pur).
« La » covid (encore un transgenre) est ingéniée.
La soluce est de débrancher la prise. Turn it off and turn it on again.
Et d’en profiter pour installer un totalitarisme total (tautologisme).
Des études très sérieuses donc non médiatisées (et lycée de Versailles) estiment que la population mondiale doit être réduite de 30% pour redevenir gérable en termes de matières premières.
La machine globale peut fonctionner avec 30% des humains-larbins, supervisés par une « élite » bienveillante.
Résultat des courses : faire canner 70% des habitants de la planète.
Soldes avant incendie et liquidation, tout doit disparaître.
Catch 22 : toi aussi, petit dinosaure…
ç )
MICRO2
Les corps constitués sont en cours de perdre le peu de crédibilité qui leur restait.
Ce matin, nos pandores ponctionnaires implacables sont passés fermer le café du village.
Les empaffés envoient les rookies, des gamins qui étaient encore dans les mollets de papa que je payais déjà des impôts pour salarier leur fat ass.
Tu leur presses le naze, il coule de la limonade.
Essaye ça : on paye ces nervis décérébrés pour nous empêcher de respirer, vivre et travailler.
L’Occupation commence à ressembler à une colonie de vacances, mais j’ai toujours pas envie de prendre le train, j’ai piercing.
Les bleus de mes quinze étaient dans le troquet.
Je tente une percée.
« C’est fermé ! » que gueule la patronne.
« Tu sais bien que je parle pas français » que je rétorque, ajoutant « En allemand, ça donnerait quoi ? »
Ambiance et guerre asymétrique.
Mon pote Denis, un boulanger, m’a dépanné d’un café pris sur le trottoir. Je taille le bout de gras avec un communiste de quarante piges, sans muselière.
Tiens-toi bien. Les pandores font leur demi-tour, avisent une petite vieille au masque mal ajusté. Stoppent pour la morigéner. Toujours cibler les faibles.
La gendarmette me chouffe bien, démasqué. Taillent la route en tournant la tête.
Les képis se chient dessus. Le populo est chaud bouillant, pas toucher.
Savent qu’ils vont probablement se retrouver tôt ou tard avec la gendarmerie encerclée.
Denis se marrait comme une baleine derrière son comptoir. Faut fêter.
« Alexa ? » qu’il dit. « God Save The Queen des Sex Pistols ! »
Musique pulsant de l’arrière boutique.
Never Mind The Bollocks, l’abum qui met encore la crotte au guichet plus de trente piges plus tard.
« God save the Queen
And the fascist regim
They made you a moron
Potential H bomb… »
Ah au fait, Trump va gagner. Pense raz de marée.
Live to fight another day, bitchez’.
ç )
DAMIEN RUZE
Source : leblogalupus