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JO Tokyo 2021 : l’haltérophile Laurel Hubbard sera la première athlète transgenre à participer aux Jeux olympiques (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2021

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23/06/2021

Une première dans l’histoire des Jeux olympiques. L’haltérophile et athlète transgenre néo-zélandaise Laurel Hubbard, a officiellement été retenue par sa fédération nationale, lundi 21 juin, pour participer aux prochains JO de Tokyo. La cheffe du Comité olympique néo-zélandais, Kereyn Smith, a précisé que Laurel Hubbard, qui a entamé sa transition de genre en 2013, a rempli toutes les conditions liées à la participation d’athlètes transgenres. Elle sera également l’haltérophile la plus âgée aux Jeux (43 ans).

Pour la cheffe du Comité olympique néo-zélandais, Kereyn Smith, Laurel Hubbard, 43 ans, née homme mais devenue femme à la trentaine (2013), a rempli toutes les conditions liées à la participation d’athlètes transgenres

Bien qu’ayant participé à des compétitions en tant qu’homme, cette athlète a été reconnue comme une sportive féminine après avoir démontré des niveaux de testostérone inférieurs à ceux autorisés par le Comité international olympique (CIO).

 

CNews / FranceInfo

 

07/05/2021

L’haltérophile néo-zélandaise Laurel Hubbard, qui a participé dans sa jeunesse à des compétitions masculines, pourrait devenir la première sportive transgenre à disputer les Jeux olympiques, l’été prochain, à Tokyo.

Le Comité national olympique de Nouvelle-Zélande (NZOC) « est en mesure de confirmer qu’avec les systèmes de qualification révisés par les fédérations internationales, plusieurs haltérophiles néo-zélandais, dont l’athlète transgenre Laurel Hubbard, devraient obtenir une place pour les JO de Tokyo », a-t-il indiqué jeudi.

[…]

Cette règle établie par le Comité international olympique (CIO) est également suivie par la Fédération internationale d’haltérophilie (IWF).

Si, pour certains, elle répond tout simplement aux critères fixés par le CIO, pour d’autres, elle bénéficie d’un avantage indu par rapport aux autres sportives nées femmes.

[…]

La Fédération australienne d’haltérophilie avait de son côté tenté de lui interdire d’y participer, estimant que la musculature et la puissance qu’elle avait développées quand elle était encore un homme lui conféraient un avantage physique, indépendamment de son taux de testostérone.

Radio-Canada

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