Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2025
La France a franchi un nouveau cap dans l’effondrement de son autorité régalienne : le parquet de Nanterre vient d’annoncer le renvoi aux assises du policier qui, en juin 2023, avait ouvert le feu sur un conducteur délinquant multi-récidiviste de 17 ans, Nahel Merzouk.
Rappel des faits :
Nahel n’avait ni permis de conduire, ni âge légal pour conduire.
Le jour des faits, il était au volant d’une Mercedes Classe A AMG Line, modèle estimé à 55.000 euros — une voiture manifestement hors de portée d’un adolescent sans revenus.
Il a refusé d’obtempérer lors d’un contrôle, mettant potentiellement en danger les agents présents.
Mais ce n’est pas tout.
Contrairement à ce que certains voudraient faire croire, Nahel était bien connu des services de police, avec 15 mentions au fichier des antécédents judiciaires :
• 5 refus d’obtempérer,
• recel,
• rébellion,
• usage de fausses plaques,
• circulation sans assurance,
• usage et détention de stupéfiants.
Il venait d’être interpellé quelques jours avant sa mort, et devait comparaître devant le tribunal pour enfants en septembre 2023.
Il s’agit d’une décision politique et non judiciaire.
Plutôt que de soutenir ses forces de l’ordre confrontées quotidiennement à une montée de la violence, la magistrature choisit d’exhiber un policier en victime expiatoire. Une décision scandaleuse, dictée par l’idéologie, où la morale victimaire des voyous tient lieu de droit et où le juge d’instruction se transforme en relais d’une extrême gauche militante.
Un fonctionnaire de police, protégé par l’article 122-5 du Code pénal, est renvoyé aux assises pour s’être défendu dans un contexte tendu.
Pendant ce temps, les voyous deviennent martyrs et les émeutiers sont excusés au nom de leur mal-être social.
Nous le disons sans détour :
Ce n’est pas la légitime défense qui crée l’insécurité, c’est cette justice soumise au délire Rousseauiste, d’où résulte un laxisme institutionnalisé, qui mine la sécurité quotidienne des Français.
Il faut remettre les choses à l’endroit
La première cause de l’insécurité, c’est la magistrature politisée.
La seconde, c’est l’immigration de masse et l’effondrement de l’assimilation qui produisent des générations de délinquants endoctrinés dans la haine de la France.
Nous exigeons la relaxe immédiate du policier injustement poursuivi et la réaffirmation du droit des forces de l’ordre à se défendre sans risquer la prison ou même le procès.
Les voyous comme Nahel méritent la mort.
Il en va de la survie de notre civilisation.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France