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  • Macron ou le monde à l’envers !

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Il paraît que Macron a honte… Il y a de quoi, mais c’est l’image de la France que donne cet élu d’un heureux hasard quelque peu “organisé” qui devrait rendre honteux tous les Français. Le pays, aujourd’hui se résume aux discours prononcés par un histrion narcissique et à une réalité de plus en plus ubuesque, un pays chaotique, une “gouvernance” absurde qu’une immense majorité subit avec calme dans une discipline résignée.

    macron,monde à l'enversA Marseille, la police, Préfet en tête, vérifie le port du masque et la possession d’une attestation autorisant la sortie, ce qu’en d’autres temps on appelait l'”ausweis”. On verbalise les distraits à tour de bras. Dans un quartier connu pour son trafic de drogue, le Préfet est rayonnant : les trafiquants ne sont pas venus avec leur attestation. Ils reviendront plus tard, quand l’opération sera finie. Ce haut-fonctionnaire ne semble pas avoir conscience de l’inversion des priorités et des personnes : le trafic est manifestement une habitude plus ou moins tolérée, le port du masque naguère présenté au sommet de l’Etat comme inutile voire dangereux est une obligation cruciale qui justifie un contrôle sévère et une répression sans faille. Que le premier soit le fait de délinquants, et le second de tous les citoyens, lui échappe totalement, à moins que la difficulté dans un cas et la facilité dans l’autre rassurent un homme dont toute la carrière est fondée sur le principe du “pas de vague”. Quant à l’assignation à résidence de tous les citoyens, sauf ceux qui peuvent transformer leur quartier en poudrière si on s’avisait de les contrôler de trop près, son caractère liberticide est une idée étrangère à un homme heureux de faire respecter la loi à ceux qui ne souhaitent nullement l’enfreindre. Pour les autres c’est plus risqué !

    A Paris, des policiers emportés par leur zèle “masqueur” ont interpellé un récalcitrant qui s’est réfugié dans son local professionnel. Ils ont pénétré, à trois, dans l’immeuble et l’ont roué de coups sous les yeux avides d’une caméra. Un collègue les a rejoints et n’a pas hésité à jeter une grenade à l’intérieur. En matière de bavure, c’est évidemment un sommet. Mais c’est surtout un signe effrayant de l’absurdité dans laquelle est tombé notre pays : quatre policiers en examen et deux en prison. C’est le monde à l’envers, et c’est le résultat “logique” d’un pays qui ne tourne plus rond, que les Allemands ont osé appeler “l’Absurdistan”. Première justification brandie par les policiers : la peur ! Et oui, la peur a changé de camp. A force d’être agressés et molestés quand ils sont en infériorité numérique, de ne pouvoir utiliser leurs armes que de manière exceptionnelle, de se trouver très facilement en proie à des enquêtes de l’IGPN, voire à des poursuites judiciaires menées par des juges qui n’aiment guère la police, les policiers ont peur. C’est ce sentiment, et cette situation qui les privent d’une autorité nécessaire à l’exercice de leur métier. Les images de policiers battant en retraite sous les projectiles de manifestants, ou fuyant en voiture sous les pierres un quartier sensible, celles des commissariats bombardés par des tirs de mortier d’artifice, le souvenir du couple de policiers abattu devant leur enfant par un terroriste islamiste, ont par trop affaibli la sanctuarisation des lieux et des personnes qui sont investis de l’autorité publique. Celle-ci exige la distance nécessaire au respect. Le contact physique abolit cette distance et favorise la suspicion de bavure, et la bavure elle-même. L’emploi des armes, létales contre des incendiaires, ou à impulsion électrique pour les rebelles, l’utilisation systématique des canons à eau devraient limiter au minimum les brutalités qui résultent du contact. La dissuasion jouerait rapidement, en espérant bien sûr que la Justice suive.

    Or, faute du courage de faire respecter la loi et l’ordre par la force systématique, et non la brutalité arbitraire, le pouvoir a tenté de faire passer une loi à nouveau liberticide, interdisant aux journalistes de prendre des images des policiers en action. Ne rien changer aux comportements, mais interdire de les filmer, c’était une facilité grossière que l’exécutif espérait obtenir dans le nuage obsédant du Covid, et grâce à une Assemblée soumise. Non seulement la tentative n’est pas passée inaperçue, mais elle s’est transformée en boomerang. On touchait une nouvelle fois à la liberté de la presse, et ceci dans un pays dont le président joue au donneur de leçon à l’encontre des “illibéraux”. Pris la main dans le sac, le gouvernement a voulu s’en tirer en faisant réécrire l’article le plus litigieux du texte par une “commission indépendante” ! A force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux. A nouveau, le monde à l’envers ! Là-dessus, vint la bavure : des policiers devant une caméra se sont acharnés sur un producteur noir. Tous les ingrédients étaient réunis pour un scandale à l’américaine : le racisme supposé, la profession médiatique de la victime, et devant une caméra qui fournit le meilleur argument contre l’article 24 de la loi sur la Sécurité Globale ! Du coup les manifestations ont fait un tabac, et comme d’habitude des incidents en fin de journée avec des policiers fuyant sous les projectiles, une image obsédante du macronisme de plus en plus difficile à récupérer pour s’ériger en défenseur de l’ordre républicain.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • LES BONIMENTEURS EN ACTION

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 01, 2020, 10:42

    bonimenteurs,film de série b

    Nous vivons une période étrange, donnant par­fois l’impression d’être entrés par effraction dans un film de série B.

    Dont l’objectif n’est pas vraiment que l’histoire soit vraie, ni même vraisemblable, mais simplement qu’elle soit palpitante et que le spectateur en redemande.

    Pour le moment, le «scénario» mêle deux histoires: la crise sanitaire, feuilleton admirablement anxiogène que nous avons été forcés de suivre pendant des mois, mais qui semble un peu marquer le pas ces derniers temps; et la question des violences policières.

    Car, dans le monde médiatique, dès qu’une actualité séduit moins l’audimat, on passe à une autre – et, alors, bon courage pour trouver de nouvelles informations sur la première!

    Dorénavant donc, la prestation quotidienne du croque-mort en chef ne fait plus recette. Nous passons donc à autre chose et, comme le spectateur aime se faire peur, nous en «prenons plein les mirettes » sur les violences policières.

    Le panurgisme des journalistes et le manque d’esprit critique du public font le reste.

    Désormais le principal problème de la France est devenu les violences policières – et particulièrement, bien sûr, le racisme policier.

    Mais réfléchissons. Il arrive tous les jours que des patrouilles de policiers se laissent caillasser, sinon pire, dans les quartiers abandonnés à la charia et aux caïds. Pour une seule raison : la peur de la bavure.

    Comment imaginer, dès lors, que la police compte des sauvages qui se jettent sur un homme qui ne leur aurait rien fait en lui criant «sale nègre», comme la doxa médiatique prétend que s’est passée l’interpellation du producteur de rap Michel Zecler.

    J’ignore ce qui s’est passé. Mais le scénario médiatique est parfaitement invraisemblable.

    D’autant qu’il tombe à point nommé, après un «teasing» sur l’évacuation «musclée» d’un camp de «migrants» (dont je rappelle au passage qu’ils n’ont pas le droit d’être en France et qu’il est très étrange qu’on les  évacue» sans les reconduire à la frontière). Après la séquence sur Emmanuel Macron, protecteur des Français contre le covid, voici la séquence: l’extrême gauche nous protège des violences policières.

    Mais ne trouvez-vous pas curieux que des gens qui revendiquent l’utilisation de la violence politique dénoncent si fort la violence policière – du moins quand elle frappe les «antifas» car je ne les ai pas entendu protester devant le gazage de manifestants pacifiques contre la loi Taubira?

    Et ne trouvez-vous pas étrange que la manifestation de samedi ait réuni 45 000 personnes selon la police, alors que les rassemblements de plus de 1 000 personnes sont interdits?

    J’ignore dans quelle pièce «on» nous fait jouer, mais il y a une chose dont je suis bien certain : les médias dominants nous prennent pour des imbéciles!

     

    Source : les4verites

  • Confinement à Bruxelles : un député européen et des diplomates dans une orgie sexuelle interrompue par la police

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Auteur : 

    Belgique – Vendredi soir, la police est intervenue rue des Pierres, dans un immeuble du centre de Bruxelles. La police intervient régulièrement ces jours-ci pour mettre fin à des fêtes en appartements, désormais interdites au nom du confinement imposé sous prétexte de lutte contre l’épidémie de Covid-19. Mais la fête interrompue par la police était cette fois d’un genre particulier : il s’agissait d’une orgie sexuelle avec alcool et stupéfiants.

    Vingt-cinq personnes participaient à cette soirée de débauche. A l’arrivée de la police, l’un des participants a tenté de s’échapper par la corniche mais s’est blessé et a été rattrapé par les policiers. Et là, surprise : l’individu était un député européen qui a tenté de faire jouer son immunité parlementaire.

    Parmi les autres participants à cette orgie sexuelle se trouvaient plusieurs diplomates. Le ministère des Affaires étrangères de Belgique a donc été appelé en pleine nuit.

    L’affaire a été confirmée par la porte-parole du Parquet de Bruxelles. Sans toutefois qu’elle accepte de donner des précisions sur le député européen et les diplomates en question.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Agence Française de Développement va mobiliser 1 milliard d’euros supplémentaires pour le développement de l’Afrique

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Trois ans après le discours de Ouagadougou au cours duquel le président de la République française, Emmanuel Macron, a annoncé un engagement fort de la France aux côtés des entrepreneurs africains, le groupe Agence française de développement (AFD) s’engage à mobiliser 1 milliard d’euros supplémentaires dans le cadre de l’initiative Choose Africa. Ce nouveau volet baptisé « Choose Africa Résilience », sera mis en œuvre par Proparco, et doit permettre de répondre aux besoins des TPE-PME en Afrique impactées par les crises sanitaire et économique liées à la pandémie de Covid-19. Cette initiative, initialement fixée à 2,5 milliards d’euros pour la période 2018-2022, est ainsi portée à 3,5 milliards d’euros. […]

    Jeune Afrique via fdesouche

  • L’UE veut des portes dérobées dans les messageries chiffrées pour “lutter contre le terrorisme”

    Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2020

    Auteur : 

     
    L’UE projette de créer une porte dérobée dans les applications de messagerie chiffrées pour ‘lutter contre le terrorisme”
     
    Les documents internes du Conseil de l’Union européenne montrent que le bloc veut maintenant interdire le cryptage de bout en bout sur les services de messagerie tels que WhatsApp et Signal, en réponse aux récents attentats terroristes islamiques en France et en Autriche.
     
    Un projet de résolution sur le cryptage, daté du 6 novembre et qui devait être réexaminé par un comité de rédaction à deux reprises d’ici la fin du mois de novembre, indique que si l’UE considère le cryptage comme un outil utile pour protéger la vie privée, il est néanmoins un obstacle aux efforts de lutte contre le terrorisme, la criminalité organisée, l’exploitation des enfants et la cybercriminalité.
     
    La résolution demande qu’il soit exigé des services de messagerie utilisant un cryptage de bout en bout de créer une porte dérobée permettant aux gouvernements d’accéder aux messages privés, mettant ainsi fin à tout semblant de vie privée que ces applications auraient pu offrir.
     
    Quelques extraits:
    “Pour les autorités compétentes, l’accès aux preuves électroniques est non seulement essentiel pour mener à bien les enquêtes et ainsi traduire les criminels en justice, mais aussi pour protéger les victimes et contribuer à assurer la sécurité.
    Il est extrêmement important, tout en protégeant la vie privée et la sécurité des communications par le cryptage, de réserver aux autorités compétentes en matière de sécurité et de justice pénale, la possibilité d’accéder légalement aux données pertinentes …dans le cadre de la lutte contre la criminalité grave et/ou organisée et le terrorisme, y compris dans le monde numérique. Toute action entreprise doit soigneusement mettre en balance ces deux exigences.”
     
    Il était prévu que la résolution, qui n’a par elle-même pas de caractère contraignant, soit soumise une fois finalisée au Conseil des représentants permanents des États membres de l’UE (COREPER), où elle pourra être adoptée sans aucun débat.
     
    Ce n’est pas la première fois que le thème de l’intrusion des pouvoirs publics dans la vie privée des citoyens surgit, sous une forme ou une autre. Il fallait juste attendre l’occasion propice pour faire passer, sans avoir l’air d’y toucher, ce projet cher aux coeur de certains membres de l’élite. 
     
    Le média autrichien ORF a indiqué que l’attentat terroriste islamique du mois dernier à Vienne avait été mis en avant pour réclamer ce changement. L’on se souvient que celui-ci s’était produit dans ce petit pays paisible peu après une série d’attentats similaires en France; et que Macron avait sauté sur l’occasion pour inviter Sebastian Kurz à Paris, pour discuter d’une action commune contre le “terrorisme islamique”. 
    Le vivre-ensemble était bien oublié.
    Mais comme l’a également noté la chaîne, l’agence antiterroriste autrichienne BVT avait reçu un avertissement, visiblement ignoré, des services de renseignements slovaques concernant la menace posée par le terroriste, et donc le fait d’avoir eu ou pas de porte dérobée vers les services de messagerie n’aurait fait aucune différence.
     
    Curieusement, l’Union européenne se préoccupe aujourd’hui de la lutte contre la terreur islamique. Mais la solution qu’elle préconise consiste à violer les droits fondamentaux de la masse de ses citoyens respectueux de la loi, au lieu de faire ce que le bon sens voudrait : adopter une politique migratoire plus rationnelle, qui n’inonderait pas ses pays membres de migrants souvent hostiles (parfois à juste titre), venus d’un Moyen-Orient qu’elle a contribué à mettre à feu et à sang.
    Par ailleurs, la migration massive entraîne presque toujours des troubles civils dus à des conflits entre cultures et religions. C’est dans l’ordre des choses, et l’histoire est là pour le démontrer.
     
    Les élites mondialistes qui soutiennent tout à la fois l’immigrationisme sauvage et la surveillance, ne sont nullement incultes. Elles agissent délibérément, comme elles le font toujours, pour atteindre les objectifs qu’elles se sont fixés, à savoir un gouvernement plus envahissant, avec des libertés toujours plus restreintes pour les populations.
     
    Tout d’abord, on crée le problème avec une mauvaise politique (l’immigration de masse). Ensuite, lorsqu’on est confronté au terrorisme (spontané ou auquel on donne un coup de pouce), on ne le résout pas avec la solution de bon sens qui consisterait à revoir la mauvaise politique initiale qui a causé le problème, mais on institue plutôt des contrôles gouvernementaux de plus en plus stricts (comme l’interdiction des messages cryptés) à l’encontre d’une population innocente dans son ensemble, ouvrant ainsi la voie, étape par étape, vers un totalitarisme qui constitue la destination finale.