Publié par Guy de Laferrière le 04 août 2024
Thomas Jolly, complice de Boucheron en laideur(s) et horreur(s) - nous en reparlerons très bientôt... - porte plainte "pour cyber harcèlement", et même - dit-il - "menaces de mort".
Avec son Boucheron, il est responsable de la partie monstrueuse de la cérémonie d'ouverture, qui a souillé la partie magnifique et grandiose de cette cérémonie.
Maintenant il vient pleurer (comme Barbara Butch, hier, à qui nous avons écrit cette "Lettre ouverte") : "Allô, maman, bobo !"
Il faut assumer, mon gars !
Tu as insulté un pays et une Nation, une Histoire bi-millénaire; tu as inutilement blessé des millions, des centaines de millions de personnes, en France et dans le monde (même Erdogan a interdit la diffusion de "ta" soi-disant cérémonie !); tu t'es accaparé l'Olympisme, le moment de joie et de fête de tout un Peuple pour imposer et faire passer "ta" vision des choses, de l'Histoire, des symboles... une vision que nous trouvons immonde et répugnante, à vomir.
Et maintenant tu pleures !...
Il fallait faire une grandiose cérémonie d'ouverture, en partant de l'humble Lutèce des origines, en exaltant les grands moments de ceux qui ont bâti les monuments magnifiques devant lesquels défilaient les bateaux, pour arriver à la France d 'aujourd'hui, au lieu de nous imposer les mochetés et les horreurs dont votre tête est pleine, toi et ton Boucheron !
Au lieu de cela, au lieu d'une cérémonie nationale, tu as - en quelque sorte - voulu nous ré-éduquer, à la Pol Pot, à la Ho Chi Minh, comme au Laogaï ou au Goulag, en nous expliquant ce qu'il fallait penser de notre Histoire, comment il fallait la voir, comment nous devions la vivre et - surtout - en nous montrant le chemin que nous devions prendre, la France vers laquelle tu nous enjoignais d'aller - toi et ton compère : un chemin que nous refusons catégoriquement de prendre, une vision du passé et du futur de la France que nous combattons radicalement, et que nous combattrons jusqu'à la dernière extrémité, jusqu'à l'avoir terrassée...
Alors, voilà que maintenant tu pleures...
Et tu vas voir la Police, tu sais, cette "Police qui tue", comme dit quelqu'un que tu dois bien aimer, non ?
FAUT ASSUMER, MON GARS ! TU T'ES MIS DES CENTAINES DE MILLIONS DE PERSONNES À DOS, EN FRANCE ET DANS LE MONDE : MAINTENANT, TU TE DÉBROUILLES AVEC ÇA !
Tu comprendras que, pour finir cette sorte de "lettre ouverte", nous ne ne te saluerons pas...
P.S. : Et tu te consoleras avec ton sale fric, salement gagné !
